corbier
noɯnoɯ ɐʎ ıuıu
LAlgérie stoppe lapprovisionnement en gaz vers le Caire
La bombe à retardement qui mine les relations Algéro-égyptiennes après les tumultueux matchs explosifs entre les sélections des deux pays, commence vraisemblablement à avoir raison des « relations bilatérales excellentes et exceptionnelles entre les deux pays frères ». LAlgérie qui a eu à subir les affres dune « Egypte folle et furieuse » dêtre éliminer de la qualification pour la coupe du monde 2010 par une excellente équipe dAlgérie a réagit fortement cette fois ci à l'encontre du Caire en stoppant l'approvisionnement en gaz vers ce pays
Sans le règlement de lUkraine de ses factures envers la Russie, cette crise latente aurait connue le même sort que celle qui vient d'éclater entre Alger et le Caire.
* Lintégrité physique de la délégation algérienne victime d'une agression caractérisée au Caire en novembre dernier, on ne peut qualifier cela que de sauvagerie à l'Egyptienne, le drapeau national brûlé par des Egyptiens, sans foi ni loi , qui nont pas hésité à porter atteinte même aux valeureux martyrs de la révolution algérienne, en somme, les Egyptiens ont honteusement franchis toutes les lignes rouges, mais malgré cela, lAlgérie officielle a réagit au début pas un silence si significatif, mais si assourdissant pour Moubarak et consorts. Le premier ministre Ahmed Ouyahia, a déclaré avant-hier que la ligue Arabe a salué le "silence Algérien" comme sage réaction aux provocations Egyptiennes éhontées.
* Mais à force de presser on risque lexplosion, dit-on à lAlgérienne. En effet, lAlgérie a fini par réagir sans déblaterer et sans polémiquer. Au fait, Lexpert pétrolier égyptien, Ibrahim Zahrane, a affirmé que lAlgérie « a cessé son approvisionnement en gaz vers lEgypte. Et cela après que le gouvernement Egyptien na pu honorer des factures précédentes du gaz provenant dAlgérie». « LAlgérie a fixé des conditions strictes pour rouvrir les vannes gazières, entre autre, le règlement des dettes de lEgypte en la matière », a-t-il ajouté .
* Du coup, les relations économiques entre lAlgérie et lEgypte ont essuyé un grand coup de revers avec cette mesure « punitive » prise par la partie Algérienne. Cela intervient après linterdiction par la douane algérienne de 709 produits égyptiens de pénétrer dans le marché Algérien. Cette mesure, rappellons le, a soulevé lire des autorités Egyptiennes qui ont menacé de déposer plainte auprès de la ligue arabe ! Avec les réactions qui peuvent certainement découler de cette mesure drastique, la crise entre les deux pays ne peut que sintensifier encore davantage.
* Une source proche du bureau du premier ministre affirme que si lAlgérie a réagit de la sorte, cest par ce que lEgypte a refusé de « se soumettre aux nouvelles dispositions Algériennes réglementant le commerce extérieur et lexportation de nos produits vers l'étranger. Ces mesures stipulent que lEgypte doit « payer davance ces factures » de gaz importé dAlgérie. LEgypte refuse, où certainement ne peut pas le faire, et le résultat est là.
* Cette décision na pas tardé a affecter le marché de consommation d"Oum Dounia" : une grave crise sans précèdent en gaz butane a frappé de plein fouet une grande partie de la population Egyptienne ces jours-ci. Alors que le citoyen égyptien voit sa situation sociale se détériorer de plus en plus, les Moubarek et fils se targuent et osent exporter léquivalent de la quantité du gaz provenant dAlger vers Israél. Ce qui a provoqué lire et létonnement de la rue Egyptienne. Cette dernière sinterroge sur les contours de cet énième cadeau de Moubarek à Tel-Aviv.
* Le comble est que le prix offert à Tel-Aviv est bien meilleur que celui dAlgérie, « le soi-disant pays frère ». Lexpert pétrolier égyptien ajoute que son pays a eu des antécédents de la même nature avec lArabie Saoudite. Mais le royaume saoudien a eu à recourir à lultime issue : celui même pris par lAlgérie : couper les vannes. A la lumière de ce qui précède, il est impératif de souligner que la responsabilité du manque de ce produit chez les citoyens égyptiens incombe exclusivement aux gouvernement Moubarek, qui sacrifie son peuple pour plaire à Natanyahu et les criminels de guerre contre Gaza.
La bombe à retardement qui mine les relations Algéro-égyptiennes après les tumultueux matchs explosifs entre les sélections des deux pays, commence vraisemblablement à avoir raison des « relations bilatérales excellentes et exceptionnelles entre les deux pays frères ». LAlgérie qui a eu à subir les affres dune « Egypte folle et furieuse » dêtre éliminer de la qualification pour la coupe du monde 2010 par une excellente équipe dAlgérie a réagit fortement cette fois ci à l'encontre du Caire en stoppant l'approvisionnement en gaz vers ce pays
Sans le règlement de lUkraine de ses factures envers la Russie, cette crise latente aurait connue le même sort que celle qui vient d'éclater entre Alger et le Caire.
* Lintégrité physique de la délégation algérienne victime d'une agression caractérisée au Caire en novembre dernier, on ne peut qualifier cela que de sauvagerie à l'Egyptienne, le drapeau national brûlé par des Egyptiens, sans foi ni loi , qui nont pas hésité à porter atteinte même aux valeureux martyrs de la révolution algérienne, en somme, les Egyptiens ont honteusement franchis toutes les lignes rouges, mais malgré cela, lAlgérie officielle a réagit au début pas un silence si significatif, mais si assourdissant pour Moubarak et consorts. Le premier ministre Ahmed Ouyahia, a déclaré avant-hier que la ligue Arabe a salué le "silence Algérien" comme sage réaction aux provocations Egyptiennes éhontées.
* Mais à force de presser on risque lexplosion, dit-on à lAlgérienne. En effet, lAlgérie a fini par réagir sans déblaterer et sans polémiquer. Au fait, Lexpert pétrolier égyptien, Ibrahim Zahrane, a affirmé que lAlgérie « a cessé son approvisionnement en gaz vers lEgypte. Et cela après que le gouvernement Egyptien na pu honorer des factures précédentes du gaz provenant dAlgérie». « LAlgérie a fixé des conditions strictes pour rouvrir les vannes gazières, entre autre, le règlement des dettes de lEgypte en la matière », a-t-il ajouté .
* Du coup, les relations économiques entre lAlgérie et lEgypte ont essuyé un grand coup de revers avec cette mesure « punitive » prise par la partie Algérienne. Cela intervient après linterdiction par la douane algérienne de 709 produits égyptiens de pénétrer dans le marché Algérien. Cette mesure, rappellons le, a soulevé lire des autorités Egyptiennes qui ont menacé de déposer plainte auprès de la ligue arabe ! Avec les réactions qui peuvent certainement découler de cette mesure drastique, la crise entre les deux pays ne peut que sintensifier encore davantage.
* Une source proche du bureau du premier ministre affirme que si lAlgérie a réagit de la sorte, cest par ce que lEgypte a refusé de « se soumettre aux nouvelles dispositions Algériennes réglementant le commerce extérieur et lexportation de nos produits vers l'étranger. Ces mesures stipulent que lEgypte doit « payer davance ces factures » de gaz importé dAlgérie. LEgypte refuse, où certainement ne peut pas le faire, et le résultat est là.
* Cette décision na pas tardé a affecter le marché de consommation d"Oum Dounia" : une grave crise sans précèdent en gaz butane a frappé de plein fouet une grande partie de la population Egyptienne ces jours-ci. Alors que le citoyen égyptien voit sa situation sociale se détériorer de plus en plus, les Moubarek et fils se targuent et osent exporter léquivalent de la quantité du gaz provenant dAlger vers Israél. Ce qui a provoqué lire et létonnement de la rue Egyptienne. Cette dernière sinterroge sur les contours de cet énième cadeau de Moubarek à Tel-Aviv.
* Le comble est que le prix offert à Tel-Aviv est bien meilleur que celui dAlgérie, « le soi-disant pays frère ». Lexpert pétrolier égyptien ajoute que son pays a eu des antécédents de la même nature avec lArabie Saoudite. Mais le royaume saoudien a eu à recourir à lultime issue : celui même pris par lAlgérie : couper les vannes. A la lumière de ce qui précède, il est impératif de souligner que la responsabilité du manque de ce produit chez les citoyens égyptiens incombe exclusivement aux gouvernement Moubarek, qui sacrifie son peuple pour plaire à Natanyahu et les criminels de guerre contre Gaza.