Depuis plus de dix ans, de nombreuses personnes défendent le CALEXIT, mouvement souhaitant que l’État le plus peuplé du pays soit indépendant. Depuis quelques jours, les défenseurs de l’idée ont obtenu une avancée historique.
Ce rêve californien va-t-il devenir réalité ? Dans de nombreuses têtes depuis plus de dix ans, le projet d'une indépendance de la Californie prend de l'ampleur. S’il avait été légèrement mis de côté ces dernières années, le - revoilà -, en force depuis près d’une semaine et l’investiture du 47e président des États-Unis, Donald Trump.
La donne a bien changé : le principal instigateur et promoteur de la mesure, Marcus Ruiz Evans, doit recueillir au moins 546 651 signatures d’électeurs inscrits, soit 5 % du total des suffrages exprimés pour le poste de gouverneur afin que l’initiative soit inscrite sur le bulletin de vote de novembre 2028.
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Et de poursuivre : « Cela signifie que nous avons un gouvernement qui commence et se termine aux frontières de la Californie. Cela signifie la fin de l’argent siphonné des poches des contribuables californiens. Plus important encore, cela signifie que pour la première fois de notre vie, nous contrôlons notre propre destin. »
Ruiz Evans milite pour cette sécession depuis 2012 et n’a jamais abandonné l’idée que ce projet devienne réalité. Une chose change réellement aujourd’hui : l’ex promoteur du mouvement, qui a lâché l’affaire, était moins opposé à Donald Trump que le nouveau. « Les gens pensent que si vous êtes un sécessionniste, vous êtes fou. Je déteste Donald Trump, je suis un Mexicain pur sang. Le jour où il est passé à la télévision et a dit que tous les Mexicains étaient des violeurs, j’ai dit 'Il peut aller se faire foutre'», a-t-il expliqué dans une interview.
En Californie, l’État le plus peuplé des États-Unis, l’initiative prend donc de l’ampleur. Selon Ruiz Evans, de nombreux habitants sont effarés et indignés de la victoire de Donald Trump à la suite de l’insurrection du 6 janvier 2021 au Capitole. Il pense désormais pouvoir rallier des soutiens pour faire de son rêve une réalité. Mais seront-ils assez pour que la Californie soit 'libre' ?
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Ce rêve californien va-t-il devenir réalité ? Dans de nombreuses têtes depuis plus de dix ans, le projet d'une indépendance de la Californie prend de l'ampleur. S’il avait été légèrement mis de côté ces dernières années, le - revoilà -, en force depuis près d’une semaine et l’investiture du 47e président des États-Unis, Donald Trump.
La donne a bien changé : le principal instigateur et promoteur de la mesure, Marcus Ruiz Evans, doit recueillir au moins 546 651 signatures d’électeurs inscrits, soit 5 % du total des suffrages exprimés pour le poste de gouverneur afin que l’initiative soit inscrite sur le bulletin de vote de novembre 2028.
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Le mouvement CALEXIT prend de l’ampleur
Sur son site Internet, l’homme ne cesse de publier des articles et des messages dans le sens de cette sécession. « CALEXIT signifie que nos lois sont déterminées par le peuple californien et non par des bureaucrates de Washington que nous n’avons pas élus », martèle-t-il.Et de poursuivre : « Cela signifie que nous avons un gouvernement qui commence et se termine aux frontières de la Californie. Cela signifie la fin de l’argent siphonné des poches des contribuables californiens. Plus important encore, cela signifie que pour la première fois de notre vie, nous contrôlons notre propre destin. »
Ruiz Evans milite pour cette sécession depuis 2012 et n’a jamais abandonné l’idée que ce projet devienne réalité. Une chose change réellement aujourd’hui : l’ex promoteur du mouvement, qui a lâché l’affaire, était moins opposé à Donald Trump que le nouveau. « Les gens pensent que si vous êtes un sécessionniste, vous êtes fou. Je déteste Donald Trump, je suis un Mexicain pur sang. Le jour où il est passé à la télévision et a dit que tous les Mexicains étaient des violeurs, j’ai dit 'Il peut aller se faire foutre'», a-t-il expliqué dans une interview.
En Californie, l’État le plus peuplé des États-Unis, l’initiative prend donc de l’ampleur. Selon Ruiz Evans, de nombreux habitants sont effarés et indignés de la victoire de Donald Trump à la suite de l’insurrection du 6 janvier 2021 au Capitole. Il pense désormais pouvoir rallier des soutiens pour faire de son rêve une réalité. Mais seront-ils assez pour que la Californie soit 'libre' ?
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