moi j'en attend une pour les Kebab
Non pas les kebbab! juste la sauce blanche....
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moi j'en attend une pour les Kebab
cha7 fihom LOL
y a pleins de commerces qui vont faire faillite quand meme mssakene mais bon! c'est comme ça!
dans quoi pourraient ils se convertir? dans le speed dating hallal?
encore a un arabe a denoncer
qui c'est qui va rafler le fric? ci mouaaaaa
À partir du 1er janvier 2008, il ne sera plus possible de fumer son narguilé dans les bars orientaux de France. Comme leurs pairs, ces derniers devront se conformer à la loi antitabac ou envisager une reconversion forcée.
À Paris, les bars à chichas sont tout sauf une rareté exotique. On en trouve partout : rue Mouffetard, dans le très animé 5ème arrondissement, rue de la Gaîté, place de Clichy, à Pigalle comme à Barbès La région parisienne compte à elle seule la moitié des bars orientaux de tout le pays : 500 sur un bon millier.
Et bientôt, une bonne partie risque de mettre la clé sous le paillasson dans les prochains mois, avec lentrée en application, le 1er janvier 2008, de la loi antitabac.
En fait, le décret qui prévoit linterdiction de fumer dans tous les lieux fermés et couverts qui accueillent du public, est entré en vigueur le 1er février 2007. Une première phase touchait les lieux affectés à un usage collectif, comme les bureaux ou les transports en commun. Quant aux bars, hôtels, restaurants et autres salons-chichas, ils ont encore trois mois pour se mettre en conformité. Passé ce délai, il ne sera plus possible de fumer son narguilé à lintérieur des bars. Seules alternatives : fumer en terrasse ou dans des fumoirs cloisonnés, éventuellement aménagés par le propriétaire du lieu. En attendant, les bars orientaux sont en sursis.
Dans le bar Adam, rue de lArrivée, près de Montparnasse, Karim Neffali ronge son frein. Ouvert depuis quatre ans, son café tourne plutôt bien. Le jeune homme a même engagé des frais conséquents dans la décoration depuis quelques mois. Dans la salle, des jeunes se passent les tubes de narguilé, devisant ou écoutant la musique orientale que crachotent des haut-parleurs. Notre cas est différent des autres bars. Les chichas ont une tradition, une culture. Cest aussi loccasion de se voir, discuter dans une ambiance orientale. On fume une chicha occasionnellement, ce nest pas comme les cigarettes. De plus, je fais travailler des gens. Si je ferme, ils se retrouveront au chômage. Même son de cloche dans le salon la Rose des Sables, à Bordeaux : Cette loi est excessive, peste Myriam Soltani, gérante des lieux. Notre cas nest pas comparable à celui des autres restaurants et cafés. La chicha, cest le cur de notre métier. On vient dans un bar à narguilé pour fumer et ceux qui accompagnent les fumeurs le savent. Il ny a pas de tabagisme passif ici.
Victimes par omission
Pour autant, les cafés et bars orientaux nont pas dit leur dernier mot. Un syndicat, lUnion des professionnels du narguilé (UPN), sest même constitué en janvier 2007 et regroupe aujourdhui les propriétaires et gérants de 160 salons. Notre but est de défendre les intérêts des gérants pour quils puissent continuer à exercer leur profession. Cette loi touche à la liberté dentreprendre !, lâche, écoeuré, Helou Badri, président du syndicat et patron de la société El Badia, premier fournisseur de chichas en France. Ce décret ne nous était pas adressé au départ. Nous ne pensions pas être concernés. Cest un article du Parisien qui nous a mis la puce à loreille. En fait, nous avons été visés par omission, poursuit Badri. Sur la page daccueil du site de lUPN, léditorial donne le ton : Ce décret voue notre profession à la mort. Et les dommages risquent dêtre importants, notamment sur le plan financier. La chicha, cest 60 % du chiffre daffaires des bars orientaux. Quant au reste, comme les pâtisseries ou le thé, il nest consommé quen accompagnement du narguilé, précise Badri.
Depuis la promulgation de la loi antitabac, lUPN a multiplié les rencontres avec le ministère de la Santé. Nous avons exposé notre point de vue au ministère en août, mais nos interlocuteurs se sont montrés peu réceptifs à nos arguments. Nous devons les rencontrer cette semaine. Précisément, lUPN conteste les conclusions de létude du professeur Bertrand Dautzenberg, président de lOffice français de prévention du tabagisme (OFT), sur les dangers de la chicha tout en reconnaissant certains de ses effets néfastes. LUPN a même présenté une charte de qualité au ministère de la Santé, selon laquelle les bars orientaux sengagent à faire nettoyer le matériel, à changer régulièrement les embouts, à installer des détecteurs de monoxyde de carbone , souligne Helou Badri. Mais nous demandons soit une dérogation, soit une licence spéciale, soit une réouverture pour nos bars. Le ministère a répondu par un niet catégorique.
Une question dambiance
Sous dautres cieux, fumer le narguilé est encore permis. Quelques rares pays, comme la Belgique, lEspagne, le Canada ou les Etats-Unis, ont adopté des mesures plus souples permettant aux bars à chichas de continuer à exister.
En France, les bars qui nont pas de terrasse ou ne peuvent investir dans des fumoirs sont obligés de fermer ou de se recycler. Myriam Soltani a ouvert son salon bordelais il y a deux ans. On me coupe lherbe sous le pied alors que je viens de me former une clientèle. La France, pour moi, cest terminé ! Je pars minstaller à létranger. Aziz, patron du Sphinx, à Paris, songe à la reconversion.
La mort dans lâme, il évoque la possibilité de transformer son bar en restaurant. Cest une loi injuste et floue, qui réduit les libertés. Nous souffrons dun manque dinformations sur les degrés dapplication de la loi. Lorsque nous avons rencontré les services dhygiène, de police, de la Mairie, ils étaient incapables de répondre à nos questions. Et maintenant ? Nous sommes condamnés à fermer. La loi, qui découle dune directive européenne, est stricte. Je transformerai ce bar en restaurant, déplore-t-il entre deux bouffées de narguilé parfumé. Mais ce ne nest pas toujours aussi simple. Plusieurs patrons ont signé des baux commerciaux avec le salon de thé comme unique activité. Ils ne peuvent ni changer, ni revendre le bail. Ils vont être bloqués, salarme Helou Badri.
Côté clientèle, la déception est aussi de mise. Jérôme et Julien, deux habitués du Sphinx, disent comprendre lesprit de la loi, tout en ajoutant quils viennent ici pour lambiance et la convivialité. Dans le bar Adam, Chawqi, Ali et Tarik abondent dans le même sens : Nous ne fumons pas le narguilé tous les jours. Cest autre chose que de griller des cigarettes. Cest un vrai plaisir, lance Chawqi. Son ami Ali va plus loin. Cette loi bafoue tout simplement la liberté individuelle, lance-t-il avant de tirer une longue bouffée de son narguilé.
Tel Quel
je trouve que c une trés bonne decision, c'est vraiment degoutant ce narguilé qui passe de bouche en bouche
je trouve que c une trés bonne decision, c'est vraiment degoutant ce narguilé qui passe de bouche en bouche
T a déjà essayé de transférer directement la fumée de bouche a bouche ??
T a déjà essayé de transférer directement la fumée de bouche a bouche ??
je trouve que c une trés bonne decision, c'est vraiment degoutant ce narguilé qui passe de bouche en bouche
Ceci dit ils devraient l'interdire au Maroc aussi. Dans mon quartier on ne sent même plus le bon vieux CO2 des bus municipaux à cause de cette calamité
je croyais que c'etait deja fait, a casa !!
C'est vrai ?
A ma dernière visite (qui commence à dater j'avoue) c'était de pire en pire. Ils l'ont interdit quand ?
l'année dernière pour une histoire de hachich dans les chichas, ya eu un arrété,
attend je vais demander a tonton google pour pas qu'on me traite de diffamatrice
même si je vivais sur la lune, j'aurais compris que le ramadan est terminé
En mars 2007 en tout cas ça y allait encore gaiement! Constaté de visu et de niffu
C est sois toi sois moi
Mais y en a de nous deux qui est sur la lune car j ai rien compris