Bonsoir,
Si je fait référence à la notion de civilisation dans le titre, ce n’est pas par hasard. Il semble que la crise fasse complétement perdre les pédales au français moyen, encore plus que je ne le croyais.
Dans un précédent sujet, on apprend qu’il s’est trouvé un bouc émissaire en les Musumans, dans un autre on apprend que le bouc émissaire ce sont les patrons, dans d’autres sujets, ce sont les politiques, avec toujours la même constante : le français moyen n’est jamais responsable de rien, il n’est qu’une pauvre victime innocente qui n’a rien put faire (comme s’il n’avait pas profité et laissé couler, se moquant des gens qui signalait déjà des problèmes depuis les années 1980 et 90, se disant qu’il n’y avait qu’à profiter « et après moi le déluge »).
Là où ça devient très inquiétant, et un signe que la notion même de civilisation part en déconfiture, c’est avec le pourcentage de gens favorables à la peine de mort en 2012 : 45%. Et la courbe grimpe vite (voir image en pièce jointe).
Voilà maintenant qu’une solution croit être vue dans le rétablissement de la peine de mort. On se demande d’ailleurs sur qui elle devrait être appliquée et ce à quoi elle serait censée remédier.
Voir : La défiance des Français envers la politique atteint un niveau record (lemonde.fr). 15 Janvier 2013.
Si je fait référence à la notion de civilisation dans le titre, ce n’est pas par hasard. Il semble que la crise fasse complétement perdre les pédales au français moyen, encore plus que je ne le croyais.
Dans un précédent sujet, on apprend qu’il s’est trouvé un bouc émissaire en les Musumans, dans un autre on apprend que le bouc émissaire ce sont les patrons, dans d’autres sujets, ce sont les politiques, avec toujours la même constante : le français moyen n’est jamais responsable de rien, il n’est qu’une pauvre victime innocente qui n’a rien put faire (comme s’il n’avait pas profité et laissé couler, se moquant des gens qui signalait déjà des problèmes depuis les années 1980 et 90, se disant qu’il n’y avait qu’à profiter « et après moi le déluge »).
Là où ça devient très inquiétant, et un signe que la notion même de civilisation part en déconfiture, c’est avec le pourcentage de gens favorables à la peine de mort en 2012 : 45%. Et la courbe grimpe vite (voir image en pièce jointe).
Voilà maintenant qu’une solution croit être vue dans le rétablissement de la peine de mort. On se demande d’ailleurs sur qui elle devrait être appliquée et ce à quoi elle serait censée remédier.
Voir : La défiance des Français envers la politique atteint un niveau record (lemonde.fr). 15 Janvier 2013.