La communauté maghrebine en France

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Einrich
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Salam

la communauté maghrebine:

1/ medecins dans les hopitaux
2/Ingénieurs grande ecole
3/ maitres de conf à la fac
4/ réussite sociale et professionnelle pour la plupart . Finissent tous proprietaire de leurs pavillons

Les maghrebins reussissent dans tous les domaines . Bravo à eux et leurs valeureux parents.
 

Arrivés du fin fond de l'Afrique, ou nés dans les «quartiers», ils sont devenus avocats, patrons, médecins... A force de travail et de ténacité.​


Voilà une bonne et rassurante nouvelle : l'ascenseur social n'est pas tout à fait hors service en France ! La réussite scolaire est certes plus ardue pour les immigrés et enfants d'immigrés, en particulier lorsqu'ils cumulent nom étranger et milieu social défavorisé. Cependant, les bonnes rencontres, le soutien familial, l'acharnement et le travail peuvent encore payer en France. Certains sont nés loin de chez nous, d'autres dans l'Hexagone ; certains possèdent la nationalité française, d'autres non ; certains ont intégré une grande école, d'autres se sont faits tout seuls. Mais tous ont un point commun : ils ont construit leur propre réussite avec leurs tripes, grâce à leurs efforts et à leur ténacité. Et, ils nous le disent ici, ils ont appris beaucoup de leurs galères.

Nous vous en présentons huit. Mais nous aurions pu tout aussi bien en proposer des centaines d'autres, dénichés dans les conseils d'administration, les bureaux d'études, les associations, les cabinets médicaux et même les anti chambres de la politique. C'est cela aussi, l'immigration...

 
Naissance : Syrie
Etudes : Doctorat en informatique (Jussieu), maîtrise de chimie (université de Montpellier)

Après une enfance dans une tribu nomade, un apprentissage autodidacte de la lecture et un bac passé à Rakka (actuel fief de l'Etat islamique), Mohed Altrad débarque en France à peine âgé de 18 ans. Bosseur et déterminé, il obtient son doctorat en informatique et travaille pour Alcatel et Thomson. En 1985, il achète une petite entreprise d'échafaudages en faillite près de Montpellier. Trente ans plus tard, sa société est devenue l'un des leaders mondiaux du BTP et a rendu son fondateur multimillionnaire : il pointe au 84ème rang des plus grandes fortunes de France. En plus de son groupe, Mohed Altrad possède un grand club de rugby, le Montpellier Hérault Rugby, acheté en 2011. Et il publie des romans chez Actes Sud.

Ses propositions. Pour lui, la solution du problème de l'intégration est avant tout politique. «Il faut dire aux immigrés ce que l'on attend d'eux. En France, ils ont des droits et des allocations, mais aussi des devoirs et des obligations : ils doivent faire quelque chose pour ce pays !», martèle-t-il. Pour porter ce message, le Bédouin-P-DG souhaiterait qu'il y ait davantage d'hommes politiques issus de l'immigration. «Dans certains lycées de zones sensibles, j'entends dire que la France est raciste, xénophobe, qu'elle ne fait rien pour les immigrés. C'est faux. Quand c'est moi qui le leur explique, ils l'entendent.»
 

Pièces jointes

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Fatiha Gas, directrice de l'ESIEA Paris : femme, maghrébine... et ingénieur en chef

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Naissance : Alger (Algérie)
Etudes : Doctorat en vision artificielle à l'ESIEE Paris

Diplômée de l'université d'Alger, Fatiha Gas arrive en France pour faire son doctorat. «J'ai eu énormément de problèmes car je ne connaissais pas les codes en vigueur de ce côté-ci de la méditerranée... Ce n'est pas par choix que j'ai fini dans l'enseignement, c'est juste que je ne trouvais pas d'autre job. Dans le monde du travail, mieux vaut ne pas être femme et maghrébine.» Fatiha Gas a tout de même réussi à s'en sortir : elle est désormais à la tête de l'ESIEA Paris, une grande école d'ingénieurs.

Ses propositions. Tout d'abord, mieux diriger ceux qui arrivent dans leurs choix d'études. «Je pensais que, comme en Algérie, le doctorat était très reconnu. Je ne connaissais pas les fameuses grandes écoles», confesse-t-elle. Fatiha Gas milite également pour le CV anonyme : «il accroît les chances de décrocher un entretien et, par conséquent, de convaincre. Cela aurait pu beaucoup m'aider à la fin de mes études...»
 
Héritier Luwawa Nzinga, Patron de Be Eco Services : cet ex-livreur de pizzas est devenu chef d'entreprise

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Naissance : Luanda (Angola)
Etudes : BTS de commerce

Arrivé en France à 8 ans pour fuir la guerre civile, le jeune Héritier s'installe à Nantes, puis à Paris, où résident des membres de sa famille. Son bac en poche, il enchaîne les petits boulots, mais peine à trouver de réelles perspectives d'emploi : «J'ai livré des pizzas, puis je me suis lancé dans un BTS, mais je m'ennuyais», témoigne-t-il. De guerre lasse, il postule pour un stage dans une société de services, qui propose des ménages à domicile. Le jeune homme est motivé. Il décroche un CDI et gravit les échelons un à un pendant six ans, jusqu'à atteindre le poste de directeur commercial. Le voilà lancé. Il décide alors de créer sa propre entreprise de nettoyage, Be Eco Services. Son originalité : l'utilisation de produits écologiques. Aujourd'hui, à 32 ans, il gère deux sociétés, une à Toulouse, une à Paris, avec 350 salariés et un chiffre d'affaires de 3 millions d'euros. Belle revanche pour le petit immigré angolais qui ne parlait pas un mot de français à son arrivée en Europe...

Ses propositions. Faire davantage confiance aux jeunes, en particulier à ceux qui subissent la «double peine» : un nom étranger et une adresse dans le 9-3. Et ne pas hésiter à les faire dialoguer avec des entrepreneurs issus de l'immigration qui ont réussi. «Je le fais de temps en temps. Le message passe mieux quand on a les mêmes codes, les mêmes galères. Un diplômé de HEC n'aurait pas autant de crédibilité face à eux.» A l'issue de ces entretiens, de nombreux jeunes le recontactent pour des conseils sur leurs projets. «On ne valorise pas assez ces talents», regrette Héritier Luwawa Nzinga.
 
Abdelkrim Benamar, vice-président d'Alcatel-Lucent : Les discriminations ? Connaît pas !

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Naissance : Montfermeil (Seine-Saint-Denis), parents algériens
Etudes : Telecom Sud Paris, doctorat à Paris-XI

«Quand j'avais 19 de moyenne, mon père, ouvrier algérien arrivé en France dans les années 1960, me disait : "pourquoi 19 ? Tu as fait une faute ?"» L'anecdote prête à sourire, mais révèle beaucoup de l'enfance d'Abdelkrim Benamar. Depuis toujours, il adore les maths et les matières scientifiques. Grâce à ses facilités et à de bons professeurs qui le poussent à s'inscrire en classe préparatoire, le jeune homme intègre une grande école d'ingénieurs. Après son doctorat, il entre chez Ericsson France et y monte en grade jusqu'à devenir vice-président. Il occupe aujourd'hui ce poste chez Alcatel-Lucent. «Je n'ai jamais fait l'objet de discrimination. Une seule fois, lors d'un entretien, on m'a demandé si j'étais «bien intégré», cela m'a beaucoup surpris, je n'ai pas du tout compris de quoi on me parlait», se souvient-il, mi-amusé, mi-gêné. Depuis, ses origines ne lui ont jamais été rappelées. Dans son métier, ce qui compte, c'est la compétence. Abdelkrim Benamar prévoit désormais de quitter Alcatel-Lucent pour de nouvelles aventures, plus internationales.

Ses propositions. Résolument hostile à toute forme de discrimination positive, il compte sur le soutien des associations pour aider les jeunes à s'en sortir. Sa règle d'or : l'adaptation. «Il faut que les immigrés apprennent les codes sociaux pour mieux s'intégrer à la société dans laquelle ils vivent», explique-t-il. Cela passe par des détails qui ont leur importance : lui-même, musulman pratiquant, respecte par exemple le ramadan, mais il assure accompagner volontiers ses collègues pour un repas, tant que lui ne mange pas. «Où est le problème ?»
 
Haïba Ouaissi, avocat : sa mère ne parlait pas un mot de français

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Naissance : Longwy (Meurthe-etMoselle), parents marocains
Etudes : Doctorat de droit, master de droit du travail (Paris-II et Paris-XIII)

Avec un père ouvrier et une mère au foyer arrivés du Maroc dans les années 1970, rien n'était gagné pour Haïba Ouaissi. Sa mère ne parlait pas le français, et il a dû se battre pour réussir à l'école. Aujourd'hui, il reprend les mots de Churchill : «Le succès n'est pas final, l'échec n'est pas fatal, c'est le courage de continuer qui compte.» A force d'acharnement, le jeune homme décroche un doctorat de droit. Désormais avocat associé d'un grand cabinet sur les Champs-Elysées et maître de conférences à l'université de Rouen, il cite avec aisance Nietzsche, Victor Hugo ou SaintExupéry. Mais, dès qu'il enlève sa cravate, les regards qu'on lui porte changent du tout au tout : il redevient un jeune Beur comme les autres.

Ses propositions. Organiser des interventions auprès des jeunes, dès le collège, «pour leur montrer que la réussite ne passe pas uniquement par le sport et la musique». Rapprocher les entreprises des lycées, pour permettre à ceux qui ne les possèdent pas d'acquérir les codes sociaux indispensables. Ouvrir les conseils d'administration des grandes sociétés à une élite issue de l'immigration.
 
Juliette Tchuenbou, gastro-entérologue : elle s'est battue pour intégrer la FAC de Rouen

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Naissance : Yaoundé (Cameroun)
Etudes : Médecine, spécialités gastro-entérologie et cancérologie (universités de Nantes et de Rouen)

Pour être admise dans une FAC de médecine française, après un bac passé au Cameroun, Juliette Tchuenbou n'a pas chômé. Il lui a fallu monter un dossier, obtenir de bonnes appréciations, passer des tas d'entretiens. «Je suis d'une nature optimiste, donc j'avais confiance», sourit-elle. Elle finit par décrocher son billet pour Rouen, où des cousins étudient eux aussi la médecine. Grâce à leurs conseils, et à beaucoup de travail, elle réussit ses concours du premier coup et s'intègre aisément. «Je ne me suis pas sentie lésée à cause de mes origines... De toute façon, j'étais tellement concentrée sur mes études que je n'ai pas fait attention au reste», s'amuse-t-elle. Après dix ans de pratique à l'hôpital, elle a ouvert son cabinet en libéral, près de Tours, où elle exerce depuis quatre ans, tout en présidant l'association des médecins africains de France.

Ses propositions. Inutile d'aller se plaindre et de quémander de l'aide : pour s'intégrer, martèle le Dr Tchuenbou, il suffit de croire en soi et de travailler. «Les jeunes immigrés ne doivent pas avoir peur de mettre en avant leurs compétences et d'exprimer leur talent.»
 
Anissa Djaadi-Mezhoud, chargée de communication senior chez JCDecaux : elle a fait ses armes en cabinet ministériel

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Naissance : Saint-Etienne (Loire), parents algériens
Etudes : Master de communication politique à la Sorbonne, IEP de Lyon.

Après des études secondaires en Zep et une licence de lettres avortée, Anissa Djaadimezhoud découvre la politique lors d'un stage à la mairie de Lyon. La voilà conquise. Elle passe par l'IEP de Lyon, décroche un master de communication politique à la Sorbonne, et obtient un poste de conseillère au cabinet de Christine Boutin, alors ministre du Logement. «C'était très enrichissant», raconte-t-elle. Dès lors, la voilà lancée. Elle enchaîne les cabinets ministériels (Benoist Apparu, Michel Mercier, Claude Greff) puis rejoint le think tank EuropaNova, avant de prendre la responsabilité de la communication institutionnelle du groupe JCDecaux. «Ma mère m'a toujours dit de travailler plus que les autres, c'est exactement ce que j'ai fait», sourit-elle.

Ses propositions. Elle regrette avant tout le manque d'information dans les lycées : «Si on m'avait parlé des prépas, j'aurais adoré en faire une.» Elle prône une meilleure formation des conseillers d'orientation et davantage de mixité sociale. Par exemple, «des débats sur l'actualité entre Zep et lycées réputés pour que ces deux mondes se rencontrent». Les quotas dans les directions d'entreprise ? «Ce serait dommage d'en arriver là, mais pourquoi pas ?»
 
Boun Ngy Chhuon, consultant : de la jungle cambodgienne à HEC

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Naissance : Phnom Penh (Cambodge)
Etudes : Lycées Henri IV, Saint-Louis, Ecole nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace, HEC

Lors de la guerre civile cambodgienne, Boun Ngy Chhuon, à 7 ans, fuit Phnom Penh avec sa mère et se réfugie dans la jungle, avant de gagner le Vietnam tout proche, puis de s'envoler pour Paris, où vivent des connaissances de son oncle. Lorsqu'il débarque en CP, il ne parle pas le français. Quelques années plus tard, il décroche son bac à Henri IV, avant d'intégrer une grande école d'ingénieurs. Ses trois secrets ? Le travail, le travail et le travail. «J'ai toujours fait énormément d'efforts, l'école républicaine a fait le reste en me fournissant d'excellents profs», explique-t-il avec humilité. Après avoir tâté du salariat, notamment chez Capgemini, il crée sa propre entreprise, Ball Consulting, et copréside le Club XXIe siècle, une association réservée aux élites issues de la diversité, «pour rendre un peu de ce qui m'a été donné».

Ses propositions. Pour s'intégrer, il n'y a qu'une seule solution à ses yeux : payer de sa personne. Et c'est aux parents qu'incombe la tâche de pousser les jeunes à l'effort. «Ma mère ne parlait pas le français, elle n'a jamais pu m'aider à faire mes devoirs. Mais elle m'a appris à respecter l'autorité des institutions et à m'investir pour mon avenir.»
 
Salam :)

La communauté maghrebine:
  1. Echec scolaire de masse
  2. Chomâge de masse
  3. délinquance de masse
  4. Terrorisme
A votre avis qui est responsable de cette situation?
Pensez vous que ça puisse changer?

Change d'entourage ! La communauté maghrébine que tu cotoies est peut etre ainsi mais aujourd'hui hamdoullah à une echelle plus large tu ne pourras la réduire à ses 5 points tu verras ca va te redonner foi !

Mais pour en prendre conscience il faut justement sortir de son quartier, de sa zone de confort, car la plupart des maghrébins qui ont choisi de ne pas s'engrainer dans un mode de vie critiquable et critiqué ont fait le choix dans la foulée de s'extraire de l'environnement qui pourraient les y conduire
 

Nous vous en présentons huit. Mais nous aurions pu tout aussi bien en proposer des centaines d'autres, dénichés dans les conseils d'administration, les bureaux d'études, les associations, les cabinets médicaux et même les anti chambres de la politique. C'est cela aussi, l'immigration...​


 
@magicnanou
Super exemples de reussite que tu as postés !

en parallèle les « clichés » de la posteuse ne doivent pas nous faire oublier que les maghrébins/noirs ont moins de chances que les autres communautés à accéder aux grandes écoles, poste élevé, certains parcs locatifs etc
Aussi le fait qu’une bonne partie (mais ça semble évoluer avec les nouvelles générations) réside en zones sensibles, prioritaires etc les expose à davantage de pauvreté, précarité et délinquance.
 
La communauté maghrébine est venue en masse passer les vacances.
J'ai vu des familles avec 4 enfants dans l'avion, j'ai vu les loueurs de voiture se gaver comme jamais, des hôtels et loueurs de matelas qui ont bossé tout l'été.
Donc oui il y a de tout dans la communauté, ceux que j'ai vus à Agadir ce ne sont pas des cassos mais des bosseurs qui ont pris des vacances bien méritées
 
La communauté maghrébine est venue en masse passer les vacances.
J'ai vu des familles avec 4 enfants dans l'avion, j'ai vu les loueurs de voiture se gaver comme jamais, des hôtels et loueurs de matelas qui ont bossé tout l'été.
Donc oui il y a de tout dans la communauté, ceux que j'ai vus à Agadir ce ne sont pas des cassos mais des bosseurs qui ont pris des vacances bien méritées
Je ne sais pas si leur mode de consommation Une fois en vacances est un bon repère

Amalheureusmt en été y a aussi des cassos qui claque 2x plus que ce qui ne le peuvent au Maroc pour faire genre.... pression sociale, concurrence intra familiale...

Javais une ancienne copine qui avait des problèmes d’argent assez conséquents mais qui s’était empressé avec ses premières économies d’acheter une Mercedes (pour qd elle ira au Maroc)... et ça claquait bcp d’argent sur pLa ce, mais c’est son choix après tout. et les garçons de sa famille pire encore dans cet dynamique de l’ostentation une fois au Maroc
 
Salam :)

La communauté maghrebine:
  1. Echec scolaire de masse
  2. Chomâge de masse
  3. délinquance de masse
  4. Terrorisme
A votre avis qui est responsable de cette situation?
Pensez vous que ça puisse changer?
Ça veut dire quoi échec de MASSE ?chômage de MASSE...
ÇA veut dire qu'on est tous des illettrés !TOUS des chômeurs...
La on est aux frontières du fascisme. Ou plutôt un nouveau variant du Nazisme..
On disait la même chose des polonais, des italiens,...à l époques. Aujourd'hui ça n est plus valables car on est à la 3 ème génération
On est des français, et si on a pas réussi dans la vie professionnelle c'est pour des raisons sociales, économiques... Et cela est vrai pour tout le monde.
Les maghrébins qui ont réussi leur vie professionnelle et sociale on ne dit pas que grâce à leur origines, on ne dit rien tout simplement. On voit seulement le train qui arrive en retard.
Toi, tu dois être d origine européenne.
Il y a de la jalousie envers les maghrébins car on est resté attaché à nos tradition et cultures malgré la pressions ce n'est pas le cas des autres. On a jamais vu des français polonais chantaient : STO LAT, STO LAT... Ou
Des Russe : Kalin Kamalin Kakalin Kamaya
Par contre on chante



https://m.youtube.com/watch?v=cur39MJDWX4
Ne pas oublier que les maghrébins ont participé à la libération de la France, la Corse a été libérée par des marocains
Beaucoup sont morts pour la France
Et aujourd'hui pour remercier leur enfants on traite de tous les noms.
 
et c est faux , les stats disent le contraire ; le niombre le plus éléves par nationalite en prison est celui des ressortissants de l europe de l EST !
surtout les roumains
ce n'est pas par hasard que Sarkozy avait déclaré la guerre aux ROMs depuis 2010 !
Pour mémoire :
je suis bien renseigné en plus mon ex est fonctionnaire du Ministère de la justice et connait bien le sujet ...
 
et c est faux , les stats disent le contraire ; le niombre le plus éléves par nationalite en prison est celui des ressortissants de l europe de l EST !
surtout les roumains
ce n'est pas par hasard que Sarkozy avait déclaré la guerre aux ROMs depuis 2010 !
Pour mémoire :
je suis bien renseigné en plus mon ex est fonctionnaire du Ministère de la justice et connait bien le sujet ...
J'ai lu ce titre ce matin, de l'avocat qui a défendu Salah albesam. Je crois qu'en Belgique en tous cas, la population carcerale est largement représentée par les maghrébins. Pour quelles raisons ? Trafic de drogue, délinquance, terrorisme ?...
Il est dangereux de verser dans les généralités, comme @magicnanou l'indique, des centaines de milliers de personnes d'origine marocaine réussissent très bien et souvent mieux que les belges ou français de souche, malheureusement pas mal de moutons noirs gengrainent cette communauté.
 
J'ai lu ce titre ce matin, de l'avocat qui a défendu Salah albesam. Je crois qu'en Belgique en tous cas, la population carcerale est largement représentée par les maghrébins. Pour quelles raisons ? Trafic de drogue, délinquance, terrorisme ?...
Il est dangereux de verser dans les généralités, comme @magicnanou l'indique, des centaines de milliers de personnes d'origine marocaine réussissent très bien et souvent mieux que les belges ou français de souche, malheureusement pas mal de moutons noirs gengrainent cette communauté.
De toute façon, ce sont les couches de la population les plus défavorisées qui alimente en grande partie la petite délinquance et les petits trafics (petits "détaillants" de drogue et autres).
Il ne faut pas chercher beaucoup plus loin les surreprésentations dans la délinquance, quand c'est la même surreprésentation dans la frange de la société qui vivote...
 
De toute façon, ce sont les couches de la population les plus défavorisées qui alimente en grande partie la petite délinquance et les petits trafics (petits "détaillants" de drogue et autres).
Il ne faut pas chercher beaucoup plus loin les surreprésentations dans la délinquance, quand c'est la même surreprésentation dans la frange de la société qui vivote...
Oui, tout est lié, y compris le faible taux d'études, etc,... La problématique est complexe.
 
Salam :)

La communauté maghrebine:
  1. Echec scolaire de masse
  2. Chomâge de masse
  3. délinquance de masse
  4. Terrorisme
A votre avis qui est responsable de cette situation?
Pensez vous que ça puisse changer?
1) la faute à ta mère
2) on compte pas changer au contraire on compte même amplifier le phénomène et diversifier nos business
:( on ne peut pretendre le contraire....sur la forte population carcerale d'origine maghrebine ..
Ils sont vites et plus lourdement condamnés à délit identique
 
1) la faute à ta mère
2) on compte pas changer au contraire on compte même amplifier le phénomène et diversifier nos business

Ils sont vites et plus lourdement condamnés à délit identique
:eek: plus lourdement condamnés ???on a du mal a le croire avec les nombres récidives...pour certains Fresnes , Fleury,les Baumettes sont leurs residences secondaires
 
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