La contre offensive des terroristes de l'OTAN a été annulé par la Russie. Après avoir réussi à anéantir la menace nazi, Vlad bloque les gobelins US...
- Initiateur de la discussion morjani
- Date de début
Tu touches le fond morjani, est-ce qu'un bain de lie te donne du plaisir ?
Vladpoutine n'a pas pu stopper Prigogine, il n'arrêtera pas les courageux ukrainiens.
Ça fait maintenant 495 jours que les Russes auraient dû défiler dans Kiev.
Aujourd'hui le héros Zelensky est allé se recueillir sur l'île aux serpents.
Là où les courageux défenseurs ukrainiens ont refusé de se rendre et sont morts en héros.
Vladpoutine n'a pas pu stopper Prigogine, il n'arrêtera pas les courageux ukrainiens.
Ça fait maintenant 495 jours que les Russes auraient dû défiler dans Kiev.
Aujourd'hui le héros Zelensky est allé se recueillir sur l'île aux serpents.
Là où les courageux défenseurs ukrainiens ont refusé de se rendre et sont morts en héros.
Ce sont tous des suppôts de Satan ...
Je me doutais que Satanberg aurait de l’avenir…
ils ont commencé leur contre offensive le 4 juin ….on est le 8 juillet …reste 3 jours avant le sommet des enragés …..c’est cuit pour les ukrops ….le camp du bien qui ne doit pas perdre , croit au père noël , croit visiblement ce qu’il raconte , et s’est enfermé dans un discours sans issue , sans plan B , où seule la victoire de l’Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord est concevable …la chute va être brutale bien que habilement habillée par le système de propagande occidental , lequel reconnaissons le est très performant . Le reste du monde , 80 % de la planète ( de beaux restes …), va contempler ça d’œil goguenard ….
Je me doutais que Satanberg aurait de l’avenir…
ils ont commencé leur contre offensive le 4 juin ….on est le 8 juillet …reste 3 jours avant le sommet des enragés …..c’est cuit pour les ukrops ….le camp du bien qui ne doit pas perdre , croit au père noël , croit visiblement ce qu’il raconte , et s’est enfermé dans un discours sans issue , sans plan B , où seule la victoire de l’Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord est concevable …la chute va être brutale bien que habilement habillée par le système de propagande occidental , lequel reconnaissons le est très performant . Le reste du monde , 80 % de la planète ( de beaux restes …), va contempler ça d’œil goguenard ….
Contre offensive ??? ptdr !
Je m'arrétte là
Je m'arrétte là
Le fond c'est le bistrot et les médias abrutissant qui font ton éducation et opinion.
Ce que l’on peut découvrir, dans des lieux ou était stationné des ukronazis (vidéo)
Regardez ce qu’ils ont trouvé dans la “zone de guerre” en Ukraine…
Des ustensiles “sado maso” ? (sommes nous à Salò ou les 120 Journées de Sodome, revisitée par les “ukronazis)
Le correspondant de Zvezda à Artyomovsk a fait une découverte assez spécifique. Il ne reste plus qu’à spéculer sur la raison pour laquelle les militants ukrainiens posséderaient un tel objet lors d’opérations de combat et si des “jouets” similaires seront inclus….
La communauté occidentale du renseignement était déjà sous le choc des vidéos des «poings blindés» brûlés fournis par l’OTAN à l’Ukraine, lorsque la débâcle de Prigojine a éclaté.
Nous nous trouvons – pour le moment – dans le vide suspendu entre les événements. Le chaos que les médias occidentaux attendaient («avec une excitation libidineuse») en Russie est arrivé, sauf qu’il a explosé en France, où on ne l’attendait pas – et avec Macron dans les cordes, plutôt que Poutine, à Moscou. En effet, il y a beaucoup à tirer de cette intéressante inversion des attentes et des événements.
Si le fait que la Russie n’ait pas sombré dans un chaos à la française à la suite de la «mutinerie» de Prigojine représente le «bouchon» initial du vide actuel, l’autre bouchon est (ou est censé être) le sommet de l’OTAN qui débute le 11 juillet à Vilnius, au cours duquel une nouvelle «orientation» occidentale pour l’avenir de l’Ukraine doit être officiellement promulguée (bien que tout consensus sur l’avenir semble très incertain, à ce stade).
Les rapports suggèrent que les services de renseignement occidentaux ont été plongés dans la confusion lorsque la marche de Prigojine sur Moscou s’est évanouie en quelques heures, pour ensuite émerger sous la forme d’un accord négocié et (ce qui laisse les analystes perplexes) dans le calme à travers toute la Russie. Ils n’arrivaient pas à comprendre : Que se passe-t-il ? Prigojine était-il réel ou s’agissait-il d’un jeu d’échecs compliqué qui se déroulait sous leurs yeux ?
Ainsi, pour l’instant (dans l’attente d’une clarification finale au sommet de Vilnius), les commentateurs américains ont tous (à quelques honorables exceptions près) appuyé sur le «bouton par défaut» : «Geler le conflit, tel qu’il est» – ainsi Biden et la doctrine militaire américaine pourraient être épargnés de l’humiliation. Et, plus important encore, cela permettrait d’éviter temporairement à l’OTAN de se poser la question clé : «Est-elle apte à remplir sa mission ? Est-elle «adaptée à son objectif» ?
Il est clair que l’approche doctrinale de l’OTAN face à un conflit avec n’importe quel adversaire – autre qu’une insurrection polyglotte légèrement armée – est défectueuse. L’OTAN est toujours en train de mener la bataille de 73 Easting dans le désert irakien : Un «poing blindé» qui a frappé, soutenu par une supériorité aérienne ; un poing qui a mis l’opposition «au tapis». Mais, comme l’admet le commandant américain sur cette bataille (le colonel Macgregor), son résultat était accidentel. Néanmoins, elle est devenue un mythe de l’OTAN, avec une doctrine générale construite autour de cette circonstance unique.
La communauté occidentale du renseignement était déjà sous le choc des vidéos des «poings blindés» brûlés fournis par l’OTAN à l’Ukraine, lorsque la débâcle de Prigojine s’est produite.
Le problème de «l’option par défaut» (conflit gelé) comme «que faire ensuite» est qu’elle ne fonctionnera tout simplement pas. Notamment parce que la Russie n’acceptera pas un conflit gelé. Le ministre des Affaires étrangères, Lavrov, l’a dit explicitement.
Indecision Haunts the West: Events on the Ukraine Front Sends It Reeling
The western Intelligence community was already reeling from the videos of Ukraine’s NATO-supplied, burnt-out ‘armoured fists’ - when the Prigozhin débacle hit.
La raison plus fondamentale pour laquelle cela ne fonctionnera pas est son addendum occidental non déclaré : alors que le conflit est supposé être «gelé», l’Occident déclare qu’il armera la «croupe de l’Ukraine» avec les armes et les missiles les plus récents ; il renforcera une armée de quatrième génération et la dotera d’une armée de l’air en plus. Tout cela pour que l’Ukraine puisse – comme un étudiant de première année de l’université – «se sentir en sécurité» dans son espace.
C’est de la foutaise. Cette formule permettrait simplement à l’OTAN de répéter les événements de 2014 lorsque, dans le sillage du coup d’État du Maïdan, l’OTAN a construit une formidable armée pour les putschistes – capable de réprimer la dissidence des régions de l’Est, en grande partie culturellement russes (qui ont contesté la légitimité du coup d’État) – une armée destinée également à être en mesure de porter un coup d’arrêt à l’armée russe.
Un conflit gelé serait également insoutenable pour la simple raison que les deux parties ne sont pas gelées au sens premier du terme, c’est-à-dire un conflit dans lequel aucune des deux parties n’a été en mesure de l’emporter sur l’autre et qui est bloqué.
En d’autres termes, alors que l’Ukraine est structurellement en stase – et que «l’État» est au bord de l’implosion – la Russie, en revanche, est pleinement plénipotente : Elle dispose de forces importantes et fraîches. Elle domine l’espace aérien et a une quasi domination de l’espace aérien électromagnétique. Ses lignes d’approvisionnement «coulent comme une rivière en crue».
Mais fondamentalement, Moscou veut que l’actuel collectif de Kiev disparaisse. Récemment, le ministère des Affaires étrangères russe a déclaré que l’État ukrainien n’avait pas de statut juridique ni de légitimité à la suite du coup d’État du Maïdan, car ni Porochenko ni Zelensky n’avaient approuvé les instruments de réconciliation avec la Russie, après le Maïdan.
En d’autres termes : C’est un signal que Moscou n’a pas l’intention d’être de connivence avec l’Occident pour monter la fiction que Kiev a combattu la Russie jusqu’à une impasse, dans laquelle aucune des parties ne l’a emporté, donnant ainsi à Kiev un faux statut moral, comme si, dans un ring de boxe, l’arbitre levait le bras des deux boxeurs battus et en compétition, et parlait d’un «match nul».
Le conflit ukrainien n’est pas un «match nul».
Que se passera-t-il ensuite ? Kiev subit d’énormes pressions de la part de l’Occident pour obtenir un gain militaire sur le champ de bataille, que l’Occident pourra présenter comme une preuve de la capacité potentielle de l’Ukraine à nuire à la Russie (même si cette capacité est éphémère). Kiev peut s’y plier ou non. En fait, il n’est pas certain qu’elle puisse le faire.
Beaucoup de questions – et peu de réponses. L’OTAN est divisée et l’Europe est ébranlée par les événements survenus en France, où les questions sont également nombreuses et les réponses rares.
english-almayadeen-net.translate.goog
C’est de la foutaise. Cette formule permettrait simplement à l’OTAN de répéter les événements de 2014 lorsque, dans le sillage du coup d’État du Maïdan, l’OTAN a construit une formidable armée pour les putschistes – capable de réprimer la dissidence des régions de l’Est, en grande partie culturellement russes (qui ont contesté la légitimité du coup d’État) – une armée destinée également à être en mesure de porter un coup d’arrêt à l’armée russe.
Un conflit gelé serait également insoutenable pour la simple raison que les deux parties ne sont pas gelées au sens premier du terme, c’est-à-dire un conflit dans lequel aucune des deux parties n’a été en mesure de l’emporter sur l’autre et qui est bloqué.
En d’autres termes, alors que l’Ukraine est structurellement en stase – et que «l’État» est au bord de l’implosion – la Russie, en revanche, est pleinement plénipotente : Elle dispose de forces importantes et fraîches. Elle domine l’espace aérien et a une quasi domination de l’espace aérien électromagnétique. Ses lignes d’approvisionnement «coulent comme une rivière en crue».
Mais fondamentalement, Moscou veut que l’actuel collectif de Kiev disparaisse. Récemment, le ministère des Affaires étrangères russe a déclaré que l’État ukrainien n’avait pas de statut juridique ni de légitimité à la suite du coup d’État du Maïdan, car ni Porochenko ni Zelensky n’avaient approuvé les instruments de réconciliation avec la Russie, après le Maïdan.
En d’autres termes : C’est un signal que Moscou n’a pas l’intention d’être de connivence avec l’Occident pour monter la fiction que Kiev a combattu la Russie jusqu’à une impasse, dans laquelle aucune des parties ne l’a emporté, donnant ainsi à Kiev un faux statut moral, comme si, dans un ring de boxe, l’arbitre levait le bras des deux boxeurs battus et en compétition, et parlait d’un «match nul».
Le conflit ukrainien n’est pas un «match nul».
Que se passera-t-il ensuite ? Kiev subit d’énormes pressions de la part de l’Occident pour obtenir un gain militaire sur le champ de bataille, que l’Occident pourra présenter comme une preuve de la capacité potentielle de l’Ukraine à nuire à la Russie (même si cette capacité est éphémère). Kiev peut s’y plier ou non. En fait, il n’est pas certain qu’elle puisse le faire.
Beaucoup de questions – et peu de réponses. L’OTAN est divisée et l’Europe est ébranlée par les événements survenus en France, où les questions sont également nombreuses et les réponses rares.
Indecision Haunts the West: Events on the Ukraine Front Sends It Reeling
The western Intelligence community was already reeling from the videos of Ukraine’s NATO-supplied, burnt-out ‘armoured fists’ - when the Prigozhin débacle hit.
ils ont commencé leur agression il y a 501 jours et ça fait 1 mois qu'ils reculent
La visite de Zelenski sur l'île aux Serpents est un signe puissant.
Le contraste avec le président russe, qui se terre la plupart du temps dans ses résidences, ne pourrait être plus grand. De plus, le voyage intrépide en haute mer souligne que la Russie a perdu sa domination dans cette partie de la mer Noire.
Dans la perspective des négociations à venir pour prolonger l'accord céréalier, ce n'est pas anodin.
Tu prends tes souhaits pour réalités ou c'est Moscou qui t'a demandé d'écrire cette stupide stupidité ?
L’Europe a peur, maintenant, elle est terrifiée, elle ne sait pas de quoi sera fait son avenir !
Les anglais ont peur:
“…Le gouvernement britannique a publié un avis aux aviateurs et aux marins (NOTAM) fermant la quasi-totalité des eaux de la côte est au large de l’Angleterre hier pendant 15 heures. Il s’avère qu’ils recherchaient une torpille autonome russe “Poséidon” avec une bombe nucléaire de 100 MT à bord ! Le public ne savait rien. …”
L’otan a peur:
“L’OTAN accueillera un sommet majeur la semaine prochaine à Vilnius, en Lituanie, et franchement, l’OTAN a peur. Ils ont érigé une division complète de missiles de défense aérienne PATRIOT dans tout le pays, pour “protéger le sommet” pendant que les gros bonnets de l’OTAN ont leur réunion. …”
Vilnius, «un sommet de nations désespérées et paniquées» : l’OTAN face à la destruction ou à l’humiliation - Strategika
Une rencontre «secrète» aurait été organisée, à la demande du CFR, avec Sergueï Lavrov. Y participaient Richard Haass , ancien diplomate et le président sortant du CFR.
strategika.fr
…et la peur est souvent une très mauvaise conseillère.
La stupidité c'est de ne pas voir la réalité en face :
Vu la magistrale démonstration d’un Kh-47 Kinjal contre une batterie de Patriot à Kiev, une division entière de ce vieux système quasi obsolète, que même les braves Houtis arrivent à transpercer allègrement, ne saurait guère protéger les gros bonnets de l’otan d’une petite flopée de Kinjal. L’effet de ce déploiement est juste visuel.
À propos de la puissance de l’ogive thermonucléaire du drone sous-marin russe Poséidon pouvant atteindre théoriquement 100 Méga tonnes, elle est vraiment apocalyptique quand on pense que la bombe thermonucléaire la plus puissante testé par l’homme fut la soviétique Tsar Bomba qui développa la puissance de 57 Méga tonnes soit 2714 fois celle de Fate Man, la bombe H de Nagasaki.
En clair : Poséïdon = 4762 Nagasaki !!! , ça laisse songeur.
A son retour de Turquie, Zelensky emmène avec lui 5 chefs du bataillon Azov. Ils avaient été libérés grâce à la médiation d’Erdogan.
Parmi ceux qui sont revenus : Denis Prokopenko, Svyatoslav Palamar, Sergei Volynsky, Oleg Khomenko et Denis Shlega. Ils ont été rencontrés personnellement par Vladimir Zelensky.
Erdogan remet au président ukrainien le cheval de Troie AZOV qui mettra fin à son pouvoir : Des combattants qui ont été prisonniers des Russes et ont aussi entendu la version que les Russes les ont inculqué sur l’Otan qui s’est servi d’eux quelque soit leur défaut ou croyance.
Vers un coup d’État assuré pour arrêter le massacre ukrainien de l’Otan…Un piège du FSB qui est aussi passé en Turquie. On se demandait pourquoi la Russie avait commis cette erreur de libérer ces combattants ennemis, il faut remarquer que cet événement arrive au bon moment sur le terrain, c’est un désastre pour les forces ukrainiennes. Sans le savoir ou obnubilé à imiter le président Poutine dans la communication comme un acteur aveuglé, le président ukrainien en bon caméléon, vient de ramener en Ukraine ses futurs remplaçants au pays qui négociera avec la Russie !
Ça fait des mois que tes menaces tombent à plat.
Tu agites les bombinettes comme un gamin un hochet.
Grotesque, grotesque.
Fais sortir poutine de son blockhaus, qu'il prenne quelques couleurs.
Plutôt que de travailler pour diffuser les fake du FSB,
tu ferais une brillante carrière en utilisant ton imagination débordante à écrire des fictions.
Tu appelles ça des fictions ?
Acculés dans leurs derniers retranchements, ils se rendent :
https://www.bitchute.com/video/ZCkzmPuMMD9B/
ceux là n’ont pas eu l’occasion de le faire
https://southfront.org/in-video-18-rare-footage-shows-ukrainian-unit-trapped-in-russian-trenches/
C'est pour cela que poutine devrait sortir de son blockhaus et montrer qu'il ose mettre le nez dehors.
Il pourrait s'inspirer des nombreuses sorties du vaillant Zelenski
Salut Bjorn, bocoyte les sujets pro nazis de Morjani, ils finiront dans les poubelles de Bladi plus rapidement si nous n'intervenons pas.
Pour un vieux beauf nazillon sénile les nazis sont évidement des héros.
par Moon of Alabama
La doctrine des États-Unis et de l’OTAN, telle qu’elle a été enseignée aux unités ukrainiennes préparées à la contre-offensive, a échoué.
Comme le décrit un commentaire qui aurait été fait sur un forum de vétérans de l’académie de West Point :
«Les attaques classiques selon nos règlements de combat impliquent la suppression préliminaire et la destruction des positions défensives de l’ennemi par l’artillerie et l’aviation, ainsi que la destruction simultanée de ses contrôles de combat jusqu’à la profondeur de la zone de défense et l’empêchement des approches de ses réserves. Comme les Ukrainiens n’ont pratiquement pas d’aviation et que leur artillerie est nettement inférieure à celle des Russes, les attaques classiques ne mènent à rien d’autre qu’à une perte massive de matériel militaire coûteux sur le chemin des positions russes, à la désorganisation et à la démoralisation des attaquants et à la retraite qui s’ensuit. Près de trois semaines d’attaques de ce type n’ont pas permis de percer la bande de soutien russe ; en outre, comme me l’a dit le G-3 de l’USAR EUR-AF à Stuttgart, ils ont perdu jusqu’à un quart de nos Bradley, et ils sont maintenant obligés d’envoyer d’urgence deux compagnies de Bradley et une grande quantité d’autres équipements pour reconstituer et rétablir la préparation au combat de deux brigades de l’unité d’attaque ukrainienne».
La doctrine des États-Unis et de l’OTAN, telle qu’elle a été enseignée aux unités ukrainiennes préparées à la contre-offensive, a échoué.
Comme le décrit un commentaire qui aurait été fait sur un forum de vétérans de l’académie de West Point :
«Les attaques classiques selon nos règlements de combat impliquent la suppression préliminaire et la destruction des positions défensives de l’ennemi par l’artillerie et l’aviation, ainsi que la destruction simultanée de ses contrôles de combat jusqu’à la profondeur de la zone de défense et l’empêchement des approches de ses réserves. Comme les Ukrainiens n’ont pratiquement pas d’aviation et que leur artillerie est nettement inférieure à celle des Russes, les attaques classiques ne mènent à rien d’autre qu’à une perte massive de matériel militaire coûteux sur le chemin des positions russes, à la désorganisation et à la démoralisation des attaquants et à la retraite qui s’ensuit. Près de trois semaines d’attaques de ce type n’ont pas permis de percer la bande de soutien russe ; en outre, comme me l’a dit le G-3 de l’USAR EUR-AF à Stuttgart, ils ont perdu jusqu’à un quart de nos Bradley, et ils sont maintenant obligés d’envoyer d’urgence deux compagnies de Bradley et une grande quantité d’autres équipements pour reconstituer et rétablir la préparation au combat de deux brigades de l’unité d’attaque ukrainienne».
Pourquoi les tactiques de l’OTAN meurent en Ukraine ? Parce que l’OTAN n’est pas sur son terrain mais sur le terrain Russophone. L’OTAN joue la comédie de l’agressé en enfumant avec les médias de grands chemins mais la réalité est que l’OTAN est l’agresseur qui avance en terre russophone via des leaders corrompus or la réalité s’impose sur la comédie dans un conflit militaire.
La morale de l’histoire est que l’enfumage finit toujours par se prendre une branlée sans oublier les missiles hypersonique car Dieu inspire d’abord les gens de bonne foi et pas les adeptes du seigneurs des mouches…
La morale de l’histoire est que l’enfumage finit toujours par se prendre une branlée sans oublier les missiles hypersonique car Dieu inspire d’abord les gens de bonne foi et pas les adeptes du seigneurs des mouches…
Wagner, de nouveau aux combats et plus “motivé que jamais” , les ukronazis, ont des “soucis à se faire” (photo)
Le retour des fils prodigues – que signifie la rencontre de Poutine avec Yevgeny Prigozhin et les commandants du Wagner PMC
Selon Peskov, 35 personnes ont assisté à la réunion – tous les principaux commandants des détachements et le chef du PMC lui-même.
Si nous parlions d’une rencontre personnelle entre Poutine et Prigozhin, différentes interprétations seraient possibles, mais la présence de commandants de détachement à l’événement indique le cours le plus probable des événements.
Il semble que les rumeurs sur la dissolution de Wagner et la fin de sa participation au SVO aient été largement exagérées. Le président a jugé nécessaire de transmettre personnellement sa vision de la situation aux commandants des détachements.
Et cela ne peut signifier qu’une chose – toutes ces personnes resteront à leur poste et continueront de servir pour le bien de la Russie. Apparemment, le Wagner ira bientôt expier la rébellion avec du sang.
Et c’est peut-être la décision la plus correcte dans cette situation. Tout d’abord, Poutine a clairement fait part de sa position aux commandants du PMC – cela aidera à éviter toute action future prétendument dirigée “pour le président, mais contre certaines lacunes du ministère de la Défense”.
Et deuxièmement, il était possible de préserver le corps d’assaut de choc, qui avait si bien fait ses preuves plus tôt. Oui, la rébellion dans un pays en guerre est un crime terrible, et les responsables doivent être punis.
Mais comment les punir ? Envoyer en prison alors que le pays a besoin de combattants qualifiés ?
Il semble que Kiev soit en grande difficulté, et très bientôt les combattants extrêmement motivés de Wagner iront sous le nouveau Bakhmut (Artyomovsk) pour ronger les défenses ukrainiennes. C’est peut-être la meilleure solution.
On se serait cru à Palerme lors d'une réunion des chefs mafieux.
Avec poutine dans le rôle de Capo dei tutti capi
L'offensive ukrainienne a essentiellement déjoué les forces russes défendant Bakhmut. Cela a été confirmé par les soldats de Kiev qui, depuis des semaines, avancent lentement mais inexorablement sur les côtés nord et sud de la ville du Donbass, conquise en mai grâce aux mercenaires de Wagner après des mois de combats féroces et désormais occupée par quelques dizaines de milliers de soldats russes qui risquent d'être coupés du reste des forces d'agression.
Une offensive doit répondre à un objectif clairement défini. Une offensive consomme énormément d’hommes et de matériels. Si elle est réussie elle suppose qu’on a les moyens ensuite d’occuper le terrain et de le sécuriser !
Dans tous les cas il faut gérer une énorme logistique très éloignée de ses bases.
Poutine avait défini les buts de l’Opération Spéciale: D’ABORD dénazifier et démilitariser l’Ukraine (à coût militaire humain réduit). L’OTAN entrant dans la danse, après échec des négociations Russo-Ukrainiennes sabordées par Boris Johnson, Lavrov a alors indiqué que les objectifs Russes avaient changé.
L’ennemi officiel c’est maintenant l’OTAN et la Russie, mise en menace existentielle, doit donc développer une réponse globale de niveau mondial, qui ne peut se concevoir que dans la durée dans un contexte multinational, avec Chine en tête. La partie économico financière étant absolument capitale, la partie militaire locale n’est qu’un élément contingent à maîtriser parmi d’autres, pour contraindre l’adversaire EU/OTAN/US à s’affaiblir progressivement jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’il avait misé avec l’Ukraine sur le mauvais cheval, jusqu’à s’en vider les poches.
Pour l’instant EU/OTAN/US est encore dans le déni des réalités.
On devrait presque remercier le stupide poutine (pas pour avoir ensanglanté l'Ukraine) mais pour avoir resserré les rangs de l'UE et d'avoir réalisé le rêve des finlandais et des suédois d'entrer dans l'OTAN et de voir la Turkyie de rapprocher de l'Europe
Stupide et idiot utile le poutine
Stupide et idiot utile le poutine
Assez smart pour avoir mis en échec la tentative des terroristes de l'OTAN et alliés nazis de prendre l'Ukraine.