la parole du cheikh uthaymin rahimahoullah
Les savants expliquent quant à cela, que c’est la divergence de manière générale en Islâm qui n’est pas une miséricorde. Mais la divergence sur les questions d’ordre secondaire est acceptée - et SHeikh Ibn Uthaymîn (rahimahullâh) explique dans son commentaire de « Loum’at il-I’tiqâd » - que ce qui est entendu par questions secondaires, ce sont celles qui ne se rapportent pas à la croyance [‘Aqîdah], mais aux questions relatives à la purification rituelle, la prière etc…La divergence sur ce genre de questions n’est pas blâmable vu que l’intention qui la sous-entend est sincère, et que l’effort d’interprétation [Ijtihâd] n’émane pas de passions basses ou d’exagération.
Les savants expliquent quant à cela, que c’est la divergence de manière générale en Islâm qui n’est pas une miséricorde. Mais la divergence sur les questions d’ordre secondaire est acceptée - et SHeikh Ibn Uthaymîn (rahimahullâh) explique dans son commentaire de « Loum’at il-I’tiqâd » - que ce qui est entendu par questions secondaires, ce sont celles qui ne se rapportent pas à la croyance [‘Aqîdah], mais aux questions relatives à la purification rituelle, la prière etc…La divergence sur ce genre de questions n’est pas blâmable vu que l’intention qui la sous-entend est sincère, et que l’effort d’interprétation [Ijtihâd] n’émane pas de passions basses ou d’exagération.