Non avait placé de grands espoirs sur Mai 68, mais finalement les rôles entre hommes et femmes nont pas connus les attentes escomptées résultées du mouvement "soixte-huitard".
San sêtre fataliste, j'ai même l'impression d'assister à un recul à l'établissemnet d'une véritable égalité entre les deux sexes.
Serait-ce des lois naturelles indélibiles?
A vous!
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Serge Hefez, psychiatre: Vous prenez un groupe dadultes et vous leur montrez une vidéo dun bébé de 9 mois en train de pleurer. Vous leur demandez: Cette petite fille pleure. Pourquoi ?. Les adultes répondent: Elle a du chagrin, elle est triste. Elle souffre. Elle a besoin dêtre consolée.
Ensuite, vous montrez la même vidéo à dautres adultes, en leur demandant : Ce petit garçon pleure. Pourquoi?. Les gens répondent: Il est contrarié. Il veut quelque chose. Il est en colère. Sur le même visage, sur les mêmes expressions émotionnelles, on projette tout un univers qui est celui de la victimisation pour les filles et de laction pour les garçons: Les petites filles doivent être plutôt douces, conclut Serge Hefez. Elles peuvent avoir du chagrin, elles doivent se soumettre dune certaine façon. Les petits garçons eux, sont coléreux et affirment leur personnalité.
San sêtre fataliste, j'ai même l'impression d'assister à un recul à l'établissemnet d'une véritable égalité entre les deux sexes.
Serait-ce des lois naturelles indélibiles?
A vous!
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Serge Hefez, psychiatre: Vous prenez un groupe dadultes et vous leur montrez une vidéo dun bébé de 9 mois en train de pleurer. Vous leur demandez: Cette petite fille pleure. Pourquoi ?. Les adultes répondent: Elle a du chagrin, elle est triste. Elle souffre. Elle a besoin dêtre consolée.
Ensuite, vous montrez la même vidéo à dautres adultes, en leur demandant : Ce petit garçon pleure. Pourquoi?. Les gens répondent: Il est contrarié. Il veut quelque chose. Il est en colère. Sur le même visage, sur les mêmes expressions émotionnelles, on projette tout un univers qui est celui de la victimisation pour les filles et de laction pour les garçons: Les petites filles doivent être plutôt douces, conclut Serge Hefez. Elles peuvent avoir du chagrin, elles doivent se soumettre dune certaine façon. Les petits garçons eux, sont coléreux et affirment leur personnalité.