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Et l'inverse est aussi l'opinion d'encore davantage de chrétiens...
C'est celui qui a le plus d'adeptes qui a raison ?
C'est un peu bête mais même en cherchant bien, on ne trouve aucun témoignage écrit du contemporain de jésus, ni aucun acte officiel ou judiciaire romain. En outre, il y a beaucoup d'historiens de l'époque et même la plupart qui n'ont jamais parlé de jésus.Les historiens qui soutenaient la non-existence de Jésus, ou seulement celle d'un prédicateur dont on aurait "réécrit" la vie a posteriori dataient surtout du XIXè et première moitié du XXè. Les progrès de l'archéologie, des méthodes historiques, les manuscrits de la Mer Morte, la fin de l'anti-christianisme primaire issu de marxisme en particulier, et un peu de bon sens font effectivement que l'existence et le fond de la prédication du personnage historique de Jésus n'est plus contesté.
Bien sûr, les non-croyants penseront que les passages relatifs à la résurrection ont été "inventés" pour assurer la pérennité de la "secte" et le statut de "gourous" des apôtres..... ou alors qu'ils avaient tous abusé de khat....![]()
Et, quand, pendant des siècles on a condamné avec le plus grand acharnement des paroles impies,
c'était un mécanisme de défense aussi ?
Donc, les bûchers, les égorgements, les décapitations, les pogroms pour hérésie, mécréance, impiété, etc..., ça n'avait rien de louche ?
On a peut être acquis le droit de dire ce qu'on pense de jésus et de faire état des doutes qu'on peut avoir sur son existence. On est peut être pas obligé de gober béatement l'hagiographie officielle ?
Rappelons que l'on a aucun témoignage contemporain de jésus ni aucun acte officiel romain qui fasse mention de son existence.
Ce n'est "plus" un crime mais il y a des pays ou c'est encore un crime.Sur le droit de dire ce qu’on pense de Jésus : c’est pas un crime, en général, de dire des choses fausses en religion. Déjà que peu d’Églises ont une vision réaliste de Jésus.
Nous parlons là d'un système idéologique qui a érigé le blasphème en crime.Oui c’était un mécanisme de défense. Ce que je veux dire, c’est que les mêmes lois psychologiques s’appliquent aux croyants et aux athées.
C'est un peu bête mais même en cherchant bien, on ne trouve aucun témoignage écrit du contemporain de jésus, ni aucun acte officiel ou judiciaire romain. En outre, il y a beaucoup d'historiens de l'époque et même la plupart qui n'ont jamais parlé de jésus.
Donc, à priori, non, l'existence historique de jésus n'est pas avérée. Mais, ce n'est pas grave, la fable est jolie.
Nous parlons là d'un système idéologique qui a érigé le blasphème en crime.
As-tu sous le coude l'équivalent athée d'un procès de la barre (*) ou d'un massacre genre Charlie Hebdo ?
(*)https://fr.wikipedia.org/wiki/François-Jean_Lefebvre_de_La_Barre
Les réflexes ont été acquis, fruits de 2000 ans de domination des esprits. Douter de l'existence de jésus, ça fout encore la trouille.Non, presque aucun historien de quelque calibre ne remet en question l'existence de Jésus de Nazareth.
Dans les démocraties occidentales actuelles, il y a pas forcément de meurtres commis par des athées pour des motifs précisément athées (sauf peut-être des cas ponctuels de déséquilibre mental). Par contre il y a des gauchistes de plus en plus agressifs et intolérants qui sont présents dans les universités, dans les médias, dans les organisations, et qui sapent la liberté religieuse des chrétiens et leur tranquillité, et mènent des campagnes antichrétiennes à grand bruit, même quand les chrétiens ne représentent pas un danger public. Dans certains cas, les pressions qui s'exercent conduisent au congédiement de chrétiens, ou à l'exclusion de personnages publics chrétiens (artistes, sportifs, intellectuels). Si on faisait le coup aux homos, aux Noirs, aux autochtones, aux handicapés, etc., on trouverait cela révoltant.
C'est un peu bête mais même en cherchant bien, on ne trouve aucun témoignage écrit du contemporain de jésus, ni aucun acte officiel ou judiciaire romain. En outre, il y a beaucoup d'historiens de l'époque et même la plupart qui n'ont jamais parlé de Jésus.
Donc, à priori, non, l'existence historique de jésus n'est pas avérée. Mais, ce n'est pas grave, la fable est jolie.
Et, quand, pendant des siècles on a condamné avec le plus grand acharnement des paroles impies,
c'était un mécanisme de défense aussi ?
Donc, les bûchers, les égorgements, les décapitations, les pogroms pour hérésie, mécréance, impiété, etc..., ça n'avait rien de louche ?
Nous sommes d'accord : les religions ne sont que la police du pouvoir.Vous n'êtes pas sans savoir que les régimes politiques étaient rarement démocratiques.
Donc un régime politique non démocratique finit tôt ou tard par s'imposer et se maintenir par la force.
Mais cette méthode est primaire, coûte cher en soldats, entraine une résistance au mieux passive de la population. Donc il a fallu inventer quelque chose de plus subtil : c'est le "pouvoir de droit divin".
A partir de là, le peuple croyant se soumet beaucoup plus facilement car l'autorité est "légitime". Ce qui a fait dire à Marx "la religion est l'opium du peuple"
L'inconvénient de cette méthode est que le débat politique se déplace sur le terrain religieux : toute contestation de la religion délégitime le pouvoir en place, et est donc insurrectionnelle. Et donc dans ce cas là, le pouvoir tape, et le plus souvent fort (retour à la première méthode).
Et très logiquement, et même si c'est en contradiction avec la morale prêchée par la religion, le clergé défend la répression, car la remise en cause théologique de la religion entraine nécessairement celle des privilèges matériels et politiques que le "haut clergé" (issu de la noblesse par ailleurs) veut maintenir.
Donc la répression des "hérétiques" relève de la politique, pas de la théologie ni du dogme.
Ceci est valable partout et de tous temps, même avec les religions "athées" comme le marxisme.
Oui, les Romains n'ont pas exécuté Jésus pour des raisons religieuses, mais à cause des autorité juives de l'époque qui refusaient que leur pouvoir et leurs privilèges soient remis en cause par Jésus.Nous sommes d'accord : les religions ne sont que la police du pouvoir.
Cependant, pour en revenir aux origines, il faut quand même reconnaitre que le monde romain était plutôt très tolérant vis à vis des autres religions. Rappelons que le Panthéon romain était destiné à toutes les divinités.
Que de mauvaises pensées....Après est venu le Dieu des chrétiens, haineux, vindicatif et jaloux qui a viré tout le monde tout en adaptant quelques fêtes par ci par là.
Rien de neuf en vérité, c'est caractéristique de l'évolution religieuse accouchant de nouvelles croyances et de nouveaux dogmes flanqués de leur nouvel héros dont les attributs ne sont qu'une resucée de ceux qui l'ont précédé.Soyons sérieux, qu'un quelconque trublion ait existé, c'est toujours possible. Là, on nous parle d'un gugusse qui marche sur l'eau, fait remarcher les paralytiques, multiplie les pains, change l'eau en vin, rend la vision aux aveugles, ressuscite les morts. Bref, le genre de type qu'on verrait plutôt chez Marvel.
Bref, un faiseur de miracles crucifié dans une indifférence absolue malgré les foules hystériques qui le suivaient. Je trouve étonnant que pas un seul chrétien ni un seul historien romain de l'époque n'ait eu l'idée de parler d'un tel évènement alors que sa naissance a amené des rois jusque dans une étable, avec des effets spéciaux hollywoodiens.
Et voilà, soudainement, cette crucifixion transformée en un évènement anodin, tout juste une anecdote.
Quand à son existence, wikipedia nous dit :
"Ainsi, lorsqu'il aborde la question de Jésus de Nazareth, l'historien « sait qu'il n'est nullement en mesure de révéler ce qui a vraiment été fait ou ce qui a vraiment été dit par ce personnage »"
Donc, en gros, les historiens nous disent qu'il a existé quelqu'un mais on ne sait pas ce qu'il a dit ni ce qu'il a fait.
J'avoue que ça laisse plutôt pantois au niveau de la soi-disante unanimité des historiens.
Ce que je n'explique pas, c'est comment on passe de la persécution dioclétienne à Constantin et l'avénement du christianisme en si peu de temps.
Est-il possible que la diffusion du christianisme se soit faite sur les "ruines" de l'empire romain ?
2 réponses :
- les Chrétiens te diront que c'est grâce à l'action du Saint Esprit, notamment la victoire au Pont de Milvius.
- les historiens te dirons qu'il n'y avait que 10 à 15% de chrétiens dans l'empire, que l'ancienne religion était en perte de vitesse, car elle était "clientéliste" : les prières des paîens étant rarement exaucées, ceux-ci ont cessé d'y croire.
Le pouvoir politique a donc cherché une idéologie de secours, et la cohérence du dogme chrétien lui en a fourni une.
Nous sommes d'accord : les religions ne sont que la police du pouvoir.
Cependant, pour en revenir aux origines, il faut quand même reconnaitre que le monde romain était plutôt très tolérant vis à vis des autres religions. Rappelons que le Panthéon romain était destiné à toutes les divinités. Après est venu le dieu des chrétiens, haineux, vindicatif et jaloux qui a viré tout le monde tout en adaptant quelques fêtes par ci par là.
Mon expérience m'a appris que la plupart des gens ont des pensées infantiles à l'occasion, surtout quand on touche à leurs points faibles, leurs blessures intérieures, leurs peurs instinctives, etc.