Elle s'installe au bar dans ce café près du Louvre. Laissant son iphone et ses gants fins en cuir, elle s'absente vers les toilettes pour se refaire une beauté.
Franchissant 10 s après elle la porte de la brasserie j'ai choisi comme par hasard le tabouret près du sien.
De coté j'entrevois son visage, un peu en lame de couteau. Un visage fin, mais sans grande beauté. Elle porte un pull gris assez fin. A un moment j'apperçois deux tours de perles fines autour de son cou. Là, le charme opère. Ce collier lui apporte un je ne sais quoi. Je l'imagine, du haut de ses trente ans, cadre dans une société du quartier.
D'un léger signe de la main elle appelle le garçon de bar. Il essuyait de beaux verres à vin avec art. Quelques instant il lui apporta une thèière et une assiette avec des hors d'oeuvres.
Perché sur mon tabouret j'allumais mon ordinateur tout en sirotant le café que m'avait apporté le garçon. Délaissant ma voisine et mon écran je me plongeais dans la contemplation de cette vie parisienne à l'intérieur et à l'extérieur du bar.
Un fort soleil éclabousait la salle. Je le buvais goulument. Sur le troitoir passaient des femmes les bras chargés de paquet à l'enseigne de la Samaritaine toute proche.
Plus loin près des quais de la Seine s'écoulait un flot inninterrompu de voitures enveloppant d'un halo de gaz d'échappement les bouquinisteS tout proches.
(suite: description de la salle:
- le groupe bruyant de touristes américaines
- la table basse avec la presse internationale)
Franchissant 10 s après elle la porte de la brasserie j'ai choisi comme par hasard le tabouret près du sien.
De coté j'entrevois son visage, un peu en lame de couteau. Un visage fin, mais sans grande beauté. Elle porte un pull gris assez fin. A un moment j'apperçois deux tours de perles fines autour de son cou. Là, le charme opère. Ce collier lui apporte un je ne sais quoi. Je l'imagine, du haut de ses trente ans, cadre dans une société du quartier.
D'un léger signe de la main elle appelle le garçon de bar. Il essuyait de beaux verres à vin avec art. Quelques instant il lui apporta une thèière et une assiette avec des hors d'oeuvres.
Perché sur mon tabouret j'allumais mon ordinateur tout en sirotant le café que m'avait apporté le garçon. Délaissant ma voisine et mon écran je me plongeais dans la contemplation de cette vie parisienne à l'intérieur et à l'extérieur du bar.
Un fort soleil éclabousait la salle. Je le buvais goulument. Sur le troitoir passaient des femmes les bras chargés de paquet à l'enseigne de la Samaritaine toute proche.
Plus loin près des quais de la Seine s'écoulait un flot inninterrompu de voitures enveloppant d'un halo de gaz d'échappement les bouquinisteS tout proches.
(suite: description de la salle:
- le groupe bruyant de touristes américaines
- la table basse avec la presse internationale)