La femme au bar

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Zoubir8
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Elle s'installe au bar dans ce café près du Louvre. Laissant son iphone et ses gants fins en cuir, elle s'absente vers les toilettes pour se refaire une beauté.
Franchissant 10 s après elle la porte de la brasserie j'ai choisi comme par hasard le tabouret près du sien.

De coté j'entrevois son visage, un peu en lame de couteau. Un visage fin, mais sans grande beauté. Elle porte un pull gris assez fin. A un moment j'apperçois deux tours de perles fines autour de son cou. Là, le charme opère. Ce collier lui apporte un je ne sais quoi. Je l'imagine, du haut de ses trente ans, cadre dans une société du quartier.

D'un léger signe de la main elle appelle le garçon de bar. Il essuyait de beaux verres à vin avec art. Quelques instant il lui apporta une thèière et une assiette avec des hors d'oeuvres.
Perché sur mon tabouret j'allumais mon ordinateur tout en sirotant le café que m'avait apporté le garçon. Délaissant ma voisine et mon écran je me plongeais dans la contemplation de cette vie parisienne à l'intérieur et à l'extérieur du bar.
Un fort soleil éclabousait la salle. Je le buvais goulument. Sur le troitoir passaient des femmes les bras chargés de paquet à l'enseigne de la Samaritaine toute proche.
Plus loin près des quais de la Seine s'écoulait un flot inninterrompu de voitures enveloppant d'un halo de gaz d'échappement les bouquinisteS tout proches.

(suite: description de la salle:
- le groupe bruyant de touristes américaines
- la table basse avec la presse internationale)
 
Elle s'installe au bar dans ce café près du Louvre. Laissant son iphone et ses gants fins en cuir, elle s'absente vers les toilettes pour se refaire une beauté.
Franchissant 10 s après elle la porte de la brasserie j'ai choisi comme par hasard le tabouret près du sien.

tu me donnera l'adresse de ce bar ou les gens peuvent laisse leurs effets pour se rendre aux toilettes !
 
Elle s'installe au bar dans ce café près du Louvre. Laissant son iphone et ses gants fins en cuir, elle s'absente vers les toilettes pour se refaire une beauté.
Franchissant 10 s après elle la porte de la brasserie j'ai choisi comme par hasard le tabouret près du sien.

De coté j'entrevois son visage, un peu en lame de couteau. Un visage fin, mais sans grande beauté. Elle porte un pull gris assez fin. A un moment j'apperçois deux tours de perles fines autour de son cou. Là, le charme opère. Ce collier lui apporte un je ne sais quoi. Je l'imagine, du haut de ses trente ans, cadre dans une société du quartier.


Purée mais vous m'espionnez en + :eek:

On peut plus prendre un café tranquille dans ce pays sans que notre vie se retrouve sur internet!
 
c'est une héroine de film de mafia avec ces gants noir elle est entrer au toilette pour remettre son oreillette en place et son silensieux et la elle va te faire exploser la cervelle tu va rien comprendre!

trop mdr
arrête l'ami
tu me déconcentres
mais moi j'ai rien à voir avec elle
pourquoi ce flingue
propose plutôt qu'elle se dirige vers un client qui a une valise diplomatique posée près de lui...
 
trop mdr
arrête l'ami
tu me déconcentres
mais moi j'ai rien à voir avec elle
pourquoi ce flingue
propose plutôt qu'elle se dirige vers un client qui a une valise diplomatique posée près de lui...

oui voila elle a un rendez vous avec son contact , la rencontre a lieu au Mariott a Paris , son contact avi zier est un kidon du mossad charge d'un assasinat en banlieue parisienne.

Elle est sayan pour le mossad depuis 7 ans , ele lui fourni une passport francais , un permis de conduire francais , du liquide , et les cles d'une 407 garee non loin de la .
 
oui voila elle a un rendez vous avec son contact , la rencontre a lieu au Mariott a Paris , son contact avi zier est un kidon du mossad charge d'un assasinat en banlieue parisienne.

Elle est sayan pour le mossad depuis 7 ans , ele lui fourni une passport francais , un permis de conduire francais , du liquide , et les cles d'une 407 garee non loin de la .

eh ben
quelle imagination
ok ça marche
bon , mais pour le moment faut que je termine la scène au bar
 
elle bosse dans un cabinet d'audit genre deloitte ou kpmg !!
elle est diplome d'Hec

si c'était le cas, elle n'aurait pas le temps de prendre un café au bar, ni de se laisser à nonchalance pour se refaire une beauté..si elle ne l'a pas fait dans les 5mns suivant son réveil, il serait déjà trop tard pour elle.
de plus elle aurait un ordinateur portable, duquel elle aurait pas déscotché.
enfin, elle serait vraiment belle, ce serait flagrant. l'auteur n'aurait pas précisé qu'il l'a trouvait "sans grande beauté"

c'est une chomeuse des quartiers chics, qui cherche des piges dans le journalisme. ces dernieres piges, elles les a faites chez newlook.
 
si c'était le cas, elle n'aurait pas le temps de prendre un café au bar, ni de se laisser à nonchalance pour se refaire une beauté..si elle ne l'a pas fait dans les 5mns suivant son réveil, il serait déjà trop tard pour elle.
de plus elle aurait un ordinateur portable, duquel elle aurait pas déscotché.
enfin, elle serait vraiment belle, ce serait flagrant. l'auteur n'aurait pas précisé qu'il l'a trouvait "sans grande beauté"

c'est une chomeuse des quartiers chics, qui cherche des piges dans le journalisme. ces dernieres piges, elles les a faites chez newlook.

haha c'est vrai qu'il n'y a souvent que des bombes chez Deloitte :D
 
Elle s'installe au bar dans ce café près du Louvre. Laissant son iphone et ses gants fins en cuir, elle s'absente vers les toilettes pour se refaire une beauté.
Franchissant 10 s après elle la porte de la brasserie j'ai choisi comme par hasard le tabouret près du sien.

De coté j'entrevois son visage, un peu en lame de couteau. Un visage fin, mais sans grande beauté. Elle porte un pull gris assez fin. A un moment j'apperçois deux tours de perles fines autour de son cou. Là, le charme opère. Ce collier lui apporte un je ne sais quoi. Je l'imagine, du haut de ses trente ans, cadre dans une société du quartier.

D'un léger signe de la main elle appelle le garçon de bar. Il essuyait de beaux verres à vin avec art. Quelques instant il lui apporta une thèière et une assiette avec des hors d'oeuvres.
Perché sur mon tabouret j'allumais mon ordinateur tout en sirotant le café que m'avait apporté le garçon. Délaissant ma voisine et mon écran je me plongeais dans la contemplation de cette vie parisienne à l'intérieur et à l'extérieur du bar.

Un fort soleil éclabousait la salle. Je le buvais goulument. Sur le trottoir passaient des femmes les bras chargés de paquet à l'enseigne de la Samaritaine toute proche.


Plus loin près des quais de la Seine s'écoulait un flot inninterrompu de voitures enveloppant d'un halo de gaz d'échappement les bouquinistes tout proches.
La rue de Coligny toute proche respirait le calm. Un kiosque étallant la presse du jour, les tables d'une brasserie prises d'assaut. Tout respirait la quiétude d'un aprés midi ensoleilé. On sentait le printemps encore tapi, mais dans la rue les gens s'abandonnait à cette torpeur pré-printannière.
Avant d'entrer j'avais pu admirer l'architecture de la mairie du 1er arrondissement. Sur la place, deux jeunes touristes américaines profitant du soleil sur un banc essayaient désespéremment de se débarasser d'un clochard quémandant une cigarette.
(suite: description de la salle:
- le groupe bruyant de touristes américaines
- la table basse avec la presse internationale)


- poursuivre sa description et notamment son short en cuir noir
 
Elle s'installe au bar dans ce café près du Louvre. Laissant son iphone et ses gants fins en cuir, elle s'absente vers les toilettes pour se refaire une beauté.
Franchissant 10 s après elle la porte de la brasserie j'ai choisi comme par hasard le tabouret près du sien.

De coté j'entrevois son visage, un peu en lame de couteau. Un visage fin, mais sans grande beauté. Elle porte un pull gris assez fin. A un moment j'apperçois deux tours de perles fines autour de son cou. Là, le charme opère. Ce collier lui apporte un je ne sais quoi. Je l'imagine, du haut de ses trente ans, cadre dans une société du quartier.

D'un léger signe de la main elle appelle le garçon de bar. Il essuyait de beaux verres à vin avec art. Quelques instant il lui apporta une thèière et une assiette avec des hors d'oeuvres.
Perché sur mon tabouret j'allumais mon ordinateur tout en sirotant le café que m'avait apporté le garçon. Délaissant ma voisine et mon écran je me plongeais dans la contemplation de cette vie parisienne à l'intérieur et à l'extérieur du bar.
Un fort soleil éclabousait la salle. Je le buvais goulument. Sur le troitoir passaient des femmes les bras chargés de paquet à l'enseigne de la Samaritaine toute proche.
Plus loin près des quais de la Seine s'écoulait un flot inninterrompu de voitures enveloppant d'un halo de gaz d'échappement les bouquinisteS tout proches.

(suite: description de la salle:
- le groupe bruyant de touristes américaines
- la table basse avec la presse internationale)

C'est étrange, j'ai travaillé dans le quartier...rue de Richelieu...pas loin de la place Colette...il y a la brasserie du Louvre en effet...et pas mal de cadre sup s'y rendant !
 
sourire !

on doit participer comment ???

mdr
je me disais, ce serait marrant de rédiger un roman à plusieurs, disons un début d'histoire
donc, il suffit de prendre le texte du haut et de raconter à suite selon ton inspiration.
Voir plus haut, il y a eu déja plusieurs versions.
Certains la voyait en James Bond féminin...
 
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