Mazgha
Ayawayaw
Salam,
J'avoue lire de temps en temps les histoires de coeurs des bladinettes et j'en arrive à ce constat simple: les beurettes surtout mais aussi les beurs (désolé pour l'emploi de ces mots) sont d'une très grande fragilité émotionnelle. Pas besoin de donner des références je pense...
Cela peut s'expliquer culturellement: la zoubida ne peut pas collectionner beaucoup les rencontres et les histoires d'amour et à cause de ce manque d'expériences il en faut de très peu pour qu'elle s'emballe.
Mais comme toute zoubida digne de ce nom, c'est une fille au sang chaud, se cache donc en elle une kadera. Donc, même si par nature elle est naïve et rêveuse, ça reste une fille teigneuse (chiante, sale caractère en d'autres termes).
Bref que des prédispositions culturelles et génétiques négatives.
Je pose une question: sommes-nous faits pour l'Amour? Vous savez commecelui à la télé?
J'avoue lire de temps en temps les histoires de coeurs des bladinettes et j'en arrive à ce constat simple: les beurettes surtout mais aussi les beurs (désolé pour l'emploi de ces mots) sont d'une très grande fragilité émotionnelle. Pas besoin de donner des références je pense...
Cela peut s'expliquer culturellement: la zoubida ne peut pas collectionner beaucoup les rencontres et les histoires d'amour et à cause de ce manque d'expériences il en faut de très peu pour qu'elle s'emballe.
Mais comme toute zoubida digne de ce nom, c'est une fille au sang chaud, se cache donc en elle une kadera. Donc, même si par nature elle est naïve et rêveuse, ça reste une fille teigneuse (chiante, sale caractère en d'autres termes).
Bref que des prédispositions culturelles et génétiques négatives.
Je pose une question: sommes-nous faits pour l'Amour? Vous savez commecelui à la télé?