Adhrab
Vergissmeinnicht
As Salam 3aleykoum Wa Ra7matou Allahi Ta3ala Wa Barakatouhou
Finalement dans notre monde moderne,si l on exclut toute injonctions provenant d une Divinite transcendante,alors on ouvre la porte au relativisme le plus total.
Au fond rien,si ce n est croyances et présupposés, affects et d'émotions,ne permet de deceler le bien du mal.Or ceux-ci sont l expression de la subjectivite la plus totale.Meme si les perceptions s accordent sur certains actes qui deviennent universellement percus de la meme facon (une conscience partagee du mal de certains actes tels le vol,le meurtre,le mensonge etc...) encore qu il faille nuancer cela puisque selon les individus,certains vols sont legitimes.Il en va de meme de certains meurtres,certains mensonges etc...
Au final englué dans cette subjectivite la plus totale en ce qui concerne les conceptions divergentes entre les individus du bien et du mal,on se retrouve dans l incapacite de rassembler autour d une definition universelle des droits de l homme (et ce a l echelle meme des etats,des villes,des villages,des familles).
Autant de societes,d individus qui engendreront autant de perceptions differentes du vrai et du faux.Jamais les humains ne pourront s unir sur une conception commune d un droit juste et les injustices seront legions puisque chaque loi sera une injustice pour une certaine frange de la population.
C est ainsi que la laicite a pour corollaire une ambition vaine pour un etat qui est celle du developpement d un droit reconnu par tous comme juste,comme parfait.Quand bien meme la majorite se rallierait a la conception de la justice et des droits humains tels qu edictes par les autorites au pouvoir,elle ne peut s arroger le droit d ecraser les minorites qui auraient tord d exister puisque cette existence irait a l encontre de la manie egalitaire de l uniformite (Guenon).
Ainsi il n y a qu en faisant appel a une reference exterieure a l homme que l on peut etre en mesure d etablir un droit qui sera multilateralement accepte,un droit qui fera l unanimite car n emanant pas d une conscience humaine (il est bien plus facile d accepter le diktat d une autorite transcendante a l humain que celui d un humain comme nous) et au final qui pourrait mieux evaluer la methode la plus pertinente a mettre en place pour regir au mieux la societe qu une entite exterieure a ce monde et l observant d en haut plutot qu un humain aveugle de par sa condition terrestre qui n arrive meme pas a produire la lumiere suffisante pour eclairer sa propre vie de decisions qui seraient toutes optimales.
Cela ne supprimera certes pas le probleme de l exegese des textes mais sur les grandes lignes,les droits seront traces et finalement il n y aura que les "details" qui ameneront des divergences.
Non pas que les lois humaines sont toutes mauvaises mais les droits mis en place comporteront toujours des parties erronees s ils emanent uniquement de la conscience d individus limités en ce qui concerne leur capacite a decouvrir pertinemment ce qui est juste de ce qui est injuste.Parfois ce peut meme etre que les parties erronees des conceptions humaines du bien et du mal qui formeront le droit d une societe.Ainsi ils se seront reunis dans l erreur autour d un melange de conceptions sur differents points.
Finalement dans notre monde moderne,si l on exclut toute injonctions provenant d une Divinite transcendante,alors on ouvre la porte au relativisme le plus total.
Au fond rien,si ce n est croyances et présupposés, affects et d'émotions,ne permet de deceler le bien du mal.Or ceux-ci sont l expression de la subjectivite la plus totale.Meme si les perceptions s accordent sur certains actes qui deviennent universellement percus de la meme facon (une conscience partagee du mal de certains actes tels le vol,le meurtre,le mensonge etc...) encore qu il faille nuancer cela puisque selon les individus,certains vols sont legitimes.Il en va de meme de certains meurtres,certains mensonges etc...
Au final englué dans cette subjectivite la plus totale en ce qui concerne les conceptions divergentes entre les individus du bien et du mal,on se retrouve dans l incapacite de rassembler autour d une definition universelle des droits de l homme (et ce a l echelle meme des etats,des villes,des villages,des familles).
Autant de societes,d individus qui engendreront autant de perceptions differentes du vrai et du faux.Jamais les humains ne pourront s unir sur une conception commune d un droit juste et les injustices seront legions puisque chaque loi sera une injustice pour une certaine frange de la population.
C est ainsi que la laicite a pour corollaire une ambition vaine pour un etat qui est celle du developpement d un droit reconnu par tous comme juste,comme parfait.Quand bien meme la majorite se rallierait a la conception de la justice et des droits humains tels qu edictes par les autorites au pouvoir,elle ne peut s arroger le droit d ecraser les minorites qui auraient tord d exister puisque cette existence irait a l encontre de la manie egalitaire de l uniformite (Guenon).
Ainsi il n y a qu en faisant appel a une reference exterieure a l homme que l on peut etre en mesure d etablir un droit qui sera multilateralement accepte,un droit qui fera l unanimite car n emanant pas d une conscience humaine (il est bien plus facile d accepter le diktat d une autorite transcendante a l humain que celui d un humain comme nous) et au final qui pourrait mieux evaluer la methode la plus pertinente a mettre en place pour regir au mieux la societe qu une entite exterieure a ce monde et l observant d en haut plutot qu un humain aveugle de par sa condition terrestre qui n arrive meme pas a produire la lumiere suffisante pour eclairer sa propre vie de decisions qui seraient toutes optimales.
Cela ne supprimera certes pas le probleme de l exegese des textes mais sur les grandes lignes,les droits seront traces et finalement il n y aura que les "details" qui ameneront des divergences.
Non pas que les lois humaines sont toutes mauvaises mais les droits mis en place comporteront toujours des parties erronees s ils emanent uniquement de la conscience d individus limités en ce qui concerne leur capacite a decouvrir pertinemment ce qui est juste de ce qui est injuste.Parfois ce peut meme etre que les parties erronees des conceptions humaines du bien et du mal qui formeront le droit d une societe.Ainsi ils se seront reunis dans l erreur autour d un melange de conceptions sur differents points.