SteveRogers
no retreat , no surrender
La Ligue arabe a exhorté jeudi les représentants de la classe politique irakienne à mettre fin à leurs différends et à former un nouveau gouvernement quasiment trois mois après les élections du 7 mars.
Cet appel intervient alors que certains s'inquiètent des conséquences du vide politique sur la stabilité de l'Irak.
Le Bloc irakien (Iraqiya) de l'ancien Premier ministre Iyad Allaoui, soutenu par les sunnites, a remporté le scrutin du 7 mars d'une courte tête, décrochant seulement deux sièges de plus que la coalition du Premier ministre sortant Nouri al-Maliki emmenée par les chiites.
Aucun des blocs n'a obtenu la majorité lui permettant de former un gouvernement, bien que M. Al-Maliki s'en soit rapproché en joignant ses forces à une autre coalition chiite. M. Allaoui insiste pour sa part sur le fait que ses troupes doivent être les premières à tenter de former un gouvernement.
Les partis politiques ont peu progressé dans la formation d'un nouveau gouvernement depuis les élections, en partie à cause des contestations des résultats et des questions d'éligibilité de certains candidats.
Dans un communiqué diffusé par l'agence officielle égyptienne MENA, la Ligue arabe a mis en garde jeudi contre toute ingérence étrangère dans la formation du prochain gouvernement irakien. Elle estime que les dirigeants irakiens devraient présenter des "solutions pratiques". AP
Cet appel intervient alors que certains s'inquiètent des conséquences du vide politique sur la stabilité de l'Irak.
Le Bloc irakien (Iraqiya) de l'ancien Premier ministre Iyad Allaoui, soutenu par les sunnites, a remporté le scrutin du 7 mars d'une courte tête, décrochant seulement deux sièges de plus que la coalition du Premier ministre sortant Nouri al-Maliki emmenée par les chiites.
Aucun des blocs n'a obtenu la majorité lui permettant de former un gouvernement, bien que M. Al-Maliki s'en soit rapproché en joignant ses forces à une autre coalition chiite. M. Allaoui insiste pour sa part sur le fait que ses troupes doivent être les premières à tenter de former un gouvernement.
Les partis politiques ont peu progressé dans la formation d'un nouveau gouvernement depuis les élections, en partie à cause des contestations des résultats et des questions d'éligibilité de certains candidats.
Dans un communiqué diffusé par l'agence officielle égyptienne MENA, la Ligue arabe a mis en garde jeudi contre toute ingérence étrangère dans la formation du prochain gouvernement irakien. Elle estime que les dirigeants irakiens devraient présenter des "solutions pratiques". AP