A la veille des présidentielles, le revenu de base de plus en plus populaire dans l’opinion publique s’installe progressivement dans les débats politiques. Benoît Hamon, candidat à la primaire socialiste a dévoilé tout un pan de son programme élaboré autour de la mise en place d’un revenu de base inconditionnel.
Depuis plusieurs mois, les politiques se saisissent de plus en plus concrètement de la question de l’instauration d’un revenu universel d’existence.
Le 19 octobre dernier, plusieurs sénateurs issus de bords politiques différents ont publié un rapport d’information marquant une nouvelle étape vers la concrétisation d’un tel projet de société.
Pour chacune de ces étapes visant à objectiver un revenu universel d’existence sur le territoire français, le MFRB s’est positionné en acteur et consultant majeur des discussions et débats.
A droite, Frédéric Lefebvre, Jean-Frédéric Poisson et Nathalie Kosciusko-Morizet ont proposé leurs versions d’un revenu de base à l’occasion de la primaire de les Républicains.
Dans le parti d’Europe Ecologie Les Verts, les quatre candidats participant à la primaire interne se sont positionnés favorablement par rapport à la charte du MFRB et proposent un revenu de base compris entre 800 et 1000 euros.
Dans le cadre de la primaire organisée par le Parti socialiste, deux des sept candidats développent des propositions étayées elles aussi par la charte du revenu de base.
Jean-Luc Bennahmias propose dans son volet économique un revenu universel permettant à chacun de pallier aux imprévus de la vie professionnelle et de se former tout au long de sa carrière.
Benoît Hamon, quant à lui, dévoile un programme assez précis et élaboré, de projet de création de revenu universel avec des pistes de financements et une proposition de montant de 750 euros.
Sa proposition s’est construite tout au long de l’année, dans le dialogue et les rencontres avec les citoyens sympathisants et les militants du MFRB (Lyon en novembre, Rennes en décembre).
Depuis plusieurs mois, les politiques se saisissent de plus en plus concrètement de la question de l’instauration d’un revenu universel d’existence.
Le 19 octobre dernier, plusieurs sénateurs issus de bords politiques différents ont publié un rapport d’information marquant une nouvelle étape vers la concrétisation d’un tel projet de société.
Pour chacune de ces étapes visant à objectiver un revenu universel d’existence sur le territoire français, le MFRB s’est positionné en acteur et consultant majeur des discussions et débats.
A droite, Frédéric Lefebvre, Jean-Frédéric Poisson et Nathalie Kosciusko-Morizet ont proposé leurs versions d’un revenu de base à l’occasion de la primaire de les Républicains.
Dans le parti d’Europe Ecologie Les Verts, les quatre candidats participant à la primaire interne se sont positionnés favorablement par rapport à la charte du MFRB et proposent un revenu de base compris entre 800 et 1000 euros.
Dans le cadre de la primaire organisée par le Parti socialiste, deux des sept candidats développent des propositions étayées elles aussi par la charte du revenu de base.
Jean-Luc Bennahmias propose dans son volet économique un revenu universel permettant à chacun de pallier aux imprévus de la vie professionnelle et de se former tout au long de sa carrière.
Benoît Hamon, quant à lui, dévoile un programme assez précis et élaboré, de projet de création de revenu universel avec des pistes de financements et une proposition de montant de 750 euros.
Sa proposition s’est construite tout au long de l’année, dans le dialogue et les rencontres avec les citoyens sympathisants et les militants du MFRB (Lyon en novembre, Rennes en décembre).