salam
La machine à tuer de la soldatesque de Bachar Al Assad ne connaît pas de répit malgré la levée de boucliers de la communauté internationale après le massacre de Houla. Dautres carnages ont eu lieu dans dautres localités, notamment à Deir Az zorr.
Le total des victimes jusquà présent est estimé à plus de 14 000 dont plus de 1000 enfants. Ce nombre est appelé à augmenter tant que le régime de Damas soutenu par la Russie continue dans sa folie meurtrière, lâchant ses sbires avides de sang contre la population sans distinction dorigine ou de confession.
En effet, il semble que rien narrête plus Bachar Al Assad dans son entreprise sanglante. Il mène une course contre la montre alors que partout dans le monde, des voix sélèvent pour crier halte au massacre.
Aussi longtemps que la Russie continue de protéger la junte au pouvoir à Damas, il ne faut rien espérer et le sang des Syriens coulera malgré les dénonciations internationales.
Toutes les mesures de rétorsion adoptées jusquà présent et en dernier le renvoi des diplomates syriens en poste dans les capitales occidentales ne constituent quun feu de paille.
Léventualité dune attaque contre les forces dagression syriennes pour mettre fin au martyre du peuple syrien a été accueillie avec dérision par le nouveau ancien locataire du Kremlin. Donc, Bachar Al Assad a les mains libres
pour poursuivre le massacre de son peuple. Mais jusquà quand ?
Faut-il quil ne reste plus aucun Syrien debout et la Syrie en ruine pour quenfin la Russie se rende compte de son aveuglement en décidant de se dire que «la plaisanterie a assez duré!» si tant est quon puisse parler dans ce cas de grande tragédie de plaisanterie. Cest de lhumour noir.
Nest-il pas temps de réviser la Charte des Nations unies et particulièrement, les attributions du Conseil de sécurité qui donnent droit aux membres permanents de faire usage de leur veto souvent de manière excessive permettant à certains pays de vivre hors la loi.
source:Libération
La machine à tuer de la soldatesque de Bachar Al Assad ne connaît pas de répit malgré la levée de boucliers de la communauté internationale après le massacre de Houla. Dautres carnages ont eu lieu dans dautres localités, notamment à Deir Az zorr.
Le total des victimes jusquà présent est estimé à plus de 14 000 dont plus de 1000 enfants. Ce nombre est appelé à augmenter tant que le régime de Damas soutenu par la Russie continue dans sa folie meurtrière, lâchant ses sbires avides de sang contre la population sans distinction dorigine ou de confession.
En effet, il semble que rien narrête plus Bachar Al Assad dans son entreprise sanglante. Il mène une course contre la montre alors que partout dans le monde, des voix sélèvent pour crier halte au massacre.
Aussi longtemps que la Russie continue de protéger la junte au pouvoir à Damas, il ne faut rien espérer et le sang des Syriens coulera malgré les dénonciations internationales.
Toutes les mesures de rétorsion adoptées jusquà présent et en dernier le renvoi des diplomates syriens en poste dans les capitales occidentales ne constituent quun feu de paille.
Léventualité dune attaque contre les forces dagression syriennes pour mettre fin au martyre du peuple syrien a été accueillie avec dérision par le nouveau ancien locataire du Kremlin. Donc, Bachar Al Assad a les mains libres
pour poursuivre le massacre de son peuple. Mais jusquà quand ?
Faut-il quil ne reste plus aucun Syrien debout et la Syrie en ruine pour quenfin la Russie se rende compte de son aveuglement en décidant de se dire que «la plaisanterie a assez duré!» si tant est quon puisse parler dans ce cas de grande tragédie de plaisanterie. Cest de lhumour noir.
Nest-il pas temps de réviser la Charte des Nations unies et particulièrement, les attributions du Conseil de sécurité qui donnent droit aux membres permanents de faire usage de leur veto souvent de manière excessive permettant à certains pays de vivre hors la loi.
source:Libération