Bonsoir,
Une bonne initiative dans la mesure où l' option de l'enseignement supérieur payant existe en devises sonnantes et trébuchantes, dans les écoles supérieures d'ingénieurs, HEC et autres, les universités françaises en France. Une sortie de devises conséquente pour des étudiants marocains qui finissent par s'expatrier et s'installer ailleurs.
Glisser du quantitatif au qualitatif est la volonté affichée, imposant la génération d'un enseignement supérieur au Maroc, du même niveau que l'actuel français, voir d’excellence, ce qui réduira sortie de devises et immigration des investissements vers d'autres horizons.
Combien de jeunes marocains ont réussi les concours d’accès aux grandes écoles françaises et n'ont pu s'y rendre faute de moyens ?
Il est certain que cette mesure sera accompagnée de la délivrance de bourses compensatoires pour les démunis, assujettie à la déclaration fiscale des revenus et ressources des parents, comme c'est le cas pour les étudiants français.
Cependant du fait que les étudiants sont majeurs, donc des individus responsables, futurs producteurs fiscaux, le rôle des parents apparait comme celui de tierce partie. Les étudiants devraient bénéficier d'une égalité de traitement indépendamment de leurs origines. La solution, en terme d'équité, devrait passer par un crédit études et le remboursement des bourses et allocations une fois l'étudiant diplômé et inséré dans le monde du travail.
Une bonne initiative dans la mesure où l' option de l'enseignement supérieur payant existe en devises sonnantes et trébuchantes, dans les écoles supérieures d'ingénieurs, HEC et autres, les universités françaises en France. Une sortie de devises conséquente pour des étudiants marocains qui finissent par s'expatrier et s'installer ailleurs.
Glisser du quantitatif au qualitatif est la volonté affichée, imposant la génération d'un enseignement supérieur au Maroc, du même niveau que l'actuel français, voir d’excellence, ce qui réduira sortie de devises et immigration des investissements vers d'autres horizons.
Combien de jeunes marocains ont réussi les concours d’accès aux grandes écoles françaises et n'ont pu s'y rendre faute de moyens ?
Il est certain que cette mesure sera accompagnée de la délivrance de bourses compensatoires pour les démunis, assujettie à la déclaration fiscale des revenus et ressources des parents, comme c'est le cas pour les étudiants français.
Cependant du fait que les étudiants sont majeurs, donc des individus responsables, futurs producteurs fiscaux, le rôle des parents apparait comme celui de tierce partie. Les étudiants devraient bénéficier d'une égalité de traitement indépendamment de leurs origines. La solution, en terme d'équité, devrait passer par un crédit études et le remboursement des bourses et allocations une fois l'étudiant diplômé et inséré dans le monde du travail.