Laisse-moi poser mes lèvres sur les tiennnes

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Mims
  • Date de début Date de début
Pour en revenir au baiser !



Baise-moi encore, rebaise-moi et baise,
Donne m’en un de tes plus savoureux,
Donne m’en un de tes plus amoureux,
Je t’en rendrai quatre plus chauds que braise.

Las, te plains-tu ? Çà, que ce mal j’apaise
En t’en donnant dix autres doucereux.
Ainsi mêlant nos baisers tant heureux,
Jouissons-nous l’un de l’autre à notre aise.

Louise Labé
Extrait du sonnet XVIII.
 
Nos cœurs s'acquiescent, et se sacrent... En un tango nuptial,
Nos lèvres se livrent à vives voluptés, et d'éperdues batailles;
L'univers, et toute son attraction, s'immiscent entre nos corps,
Sept ciels y ruissellent, y reflètent mille soleils, et s'évaporent :
Tant de vertiges en ce berceau, de vie bouillonnante, de passion,
Qu'éclatent voûtes célestes, firmaments, et virevoltent plafonds...


Salut Mimso, content de te revoir dans ces tendres dispositions :)
 
Baiser

Renverse-toi que je prenne ta bouche,
Calice ouvert, rouge possession,
Et que ma langue où vit ma passion
Entre tes dents s'insinue et te touche :


C'est une humide et molle profondeur,
Douce à mourir, où je me perds et glisse ;
C'est un abîme intime, clos et lisse,
Où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur...


- Ah ! puisse aussi t'atteindre au plus sensible,
Dans son ampleur et son savant détail,
Ce lent baiser, seule étreinte possible,
Fait de silence et de tiède corail ;


Puissé-je voir enfin tomber ta tête
Vaincue, à bout de sensualité,
Et détournant mes lèvres, te quitter,
Laissant au moins ta bouche satisfaite !...

Lucie Delarue-Mardrus
 
Baiser

Renverse-toi que je prenne ta bouche,
Calice ouvert, rouge possession,
Et que ma langue où vit ma passion
Entre tes dents s'insinue et te touche :


C'est une humide et molle profondeur,
Douce à mourir, où je me perds et glisse ;
C'est un abîme intime, clos et lisse,
Où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur...


- Ah ! puisse aussi t'atteindre au plus sensible,
Dans son ampleur et son savant détail,
Ce lent baiser, seule étreinte possible,
Fait de silence et de tiède corail ;


Puissé-je voir enfin tomber ta tête
Vaincue, à bout de sensualité,
Et détournant mes lèvres, te quitter,
Laissant au moins ta bouche satisfaite !...

Lucie Delarue-Mardrus

c'est du n'importe quoi, vraiment nul . ma grande mère ferai mieux en lavant son djellaba.
 
tout dépend ce que tu m'offres et tu seras gatée.

je te signale que je suis son petit fils préféré.

De quoi tu comptes me gâter ? Tu n'es même pas capable de comprendre la sensualité !!!!!

Et encore moins, apprécier un poème dans toute sa splendeur !!!!



TU as beaucoup de choses, encore à apprendre !!!!!!
 
De quoi tu comptes me gâter ? Tu n'es même pas capable de comprendre la sensualité !!!!!

Et encore moins, apprécier un poème dans toute sa splendeur !!!!



TU as beaucoup de choses, encore à apprendre !!!!!!

je n'ai pas encore eu l'occasion

ma grande mère m'a toujours dit que tu apprends vite mais il faut t'expliquer longtemps.

on commence quand?;)
 
Retour
Haut