Contrairement à plusieurs pays, l’Algérie a donné l’hospitalité à la famille de Kadhafi mais non pas à des criminels et à des terroristes.
Ces derniers jours, beaucoup d’encre a coulé au sujet de l’hospitalité accordée par l’Algérie à la famille du colonel Kadhafi. A ce sujet, des voix se sont levées ici et là, commentant et critiquant la décision de l’Algérie d’avoir laissé rentrer sur son territoire l’épouse et les enfants du Président Libyen. Pourtant, le monde entier sait que l’Algérie est un pays souverain et par conséquent, elle est libre d’accueillir ou de refuser sur son territoire,qui elle veut.
En second lieu, contrairement à plusieurs pays, l’Algérie a accueillie une famille mais non pas des criminels et des terroristes.
En accordant l’hospitalité aux membres de la famille Kadhafi, l’Algérie a tout d’abord répondu favorablement à la demande des personnes en détresse. En plus de la menace, une mère de famille était sur le point d’accoucher dans des circonstances qui auraient pu lui être fatale y compris son nouveau-né. Vingt-quatre heure après son entrée en Algérie, la mère enceinte a donné naissance à un bébé et ce après avoir été prise en charge par un personnel médical dans un hôpital Algérien.
Imaginons, le cas échéant, l’Algérie pourrait être poursuivie pour non-assistance à des personnes en danger.
En deuxième lieu, l’Algérie a respecté ses engagements vis-à-vis de la convention de Genève relative au statut des réfugiés et apatrides.
Nous n’apprenons rien à personne en disant que toute personne craignant d’être persécuté ou se trouvant en danger de mort, du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, et qui ne peut ou ne veut se réclamer de la protection de son pays ou y retourner en raison de ladite crainte, pourrait demander la protection à un autre pays.
La convention de Genève de 1967 stipule que les pays doivent accorder la protection aux réfugiés et ne peuvent en aucun cas, les forcer à retourner dans leurs pays d’origines.
L’Algérie a fait son devoir et ce contrairement aux nombreux pays qui ne prennent pas en considération ce traité. Selon, le HCR, 147 pays sont signataires de ce traité dont ceux du G8 et la chine.
En ce sens, l’Algérie ne peut qu’être félicitée pour avoir pris ses responsabilités en répondant à la demande d’une famille en danger de mort et qui n’a pas à le justifier.
Si l’Algérie se voit montré du doigt, nous n’avons pas hélas entendu des critiques à l’encontre de plusieurs pays qui ont donné la protection aux criminels et aux chefs de groupes terroristes ?
L’Algérie qui a souffert de l’Affre du terrorisme a sollicité à maintes reprises l’extradition de personnes impliquée dans des carnages mais en vain.
En somme, contrairement à l’Algérie, des chefs terroristes ont trouvé refuge dans plusieurs pays qui se voulaient être des référencés en matière de démocratie et des droits de l’homme.
Ces derniers jours, beaucoup d’encre a coulé au sujet de l’hospitalité accordée par l’Algérie à la famille du colonel Kadhafi. A ce sujet, des voix se sont levées ici et là, commentant et critiquant la décision de l’Algérie d’avoir laissé rentrer sur son territoire l’épouse et les enfants du Président Libyen. Pourtant, le monde entier sait que l’Algérie est un pays souverain et par conséquent, elle est libre d’accueillir ou de refuser sur son territoire,qui elle veut.
En second lieu, contrairement à plusieurs pays, l’Algérie a accueillie une famille mais non pas des criminels et des terroristes.
En accordant l’hospitalité aux membres de la famille Kadhafi, l’Algérie a tout d’abord répondu favorablement à la demande des personnes en détresse. En plus de la menace, une mère de famille était sur le point d’accoucher dans des circonstances qui auraient pu lui être fatale y compris son nouveau-né. Vingt-quatre heure après son entrée en Algérie, la mère enceinte a donné naissance à un bébé et ce après avoir été prise en charge par un personnel médical dans un hôpital Algérien.
Imaginons, le cas échéant, l’Algérie pourrait être poursuivie pour non-assistance à des personnes en danger.
En deuxième lieu, l’Algérie a respecté ses engagements vis-à-vis de la convention de Genève relative au statut des réfugiés et apatrides.
Nous n’apprenons rien à personne en disant que toute personne craignant d’être persécuté ou se trouvant en danger de mort, du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, et qui ne peut ou ne veut se réclamer de la protection de son pays ou y retourner en raison de ladite crainte, pourrait demander la protection à un autre pays.
La convention de Genève de 1967 stipule que les pays doivent accorder la protection aux réfugiés et ne peuvent en aucun cas, les forcer à retourner dans leurs pays d’origines.
L’Algérie a fait son devoir et ce contrairement aux nombreux pays qui ne prennent pas en considération ce traité. Selon, le HCR, 147 pays sont signataires de ce traité dont ceux du G8 et la chine.
En ce sens, l’Algérie ne peut qu’être félicitée pour avoir pris ses responsabilités en répondant à la demande d’une famille en danger de mort et qui n’a pas à le justifier.
Si l’Algérie se voit montré du doigt, nous n’avons pas hélas entendu des critiques à l’encontre de plusieurs pays qui ont donné la protection aux criminels et aux chefs de groupes terroristes ?
L’Algérie qui a souffert de l’Affre du terrorisme a sollicité à maintes reprises l’extradition de personnes impliquée dans des carnages mais en vain.
En somme, contrairement à l’Algérie, des chefs terroristes ont trouvé refuge dans plusieurs pays qui se voulaient être des référencés en matière de démocratie et des droits de l’homme.