L'argent ne fait pas le bonheur

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tizniti

Soyons sérieux .
L'argent ne fait pas le bonheur" avertit le dicton. "Mais il y contribue" rétablit-on généralement ! Que vous ayez beaucoup ou peu de sous, votre façon de l'approcher dépend de votre vision du monde. Vous pouvez penser que l'accumulation de gain vous rendra plus heureux, ou bien qu'il vous donnera du pouvoir. À l'inverse vous pouvez préférer miser sur l'être et l'affectif afin de remplir votre cœur plutôt que votre porte-monnaie !

Quel rapport avez-vous avec l'argent?
Certains, parait-il ,sont radin et même avare.
On dit souvent de la communauté maghrébine quelle est rapia
 
Faut pas se voiler la face largent c important dans une vie, quelque soit notre philosophie et nos interets lamour et leau fraiche c dans les contes de fees, meme dans les films ils le font plus ca... :rolleyes:

Largent contribue au bonheur et a lepanouissement dune personne, au pire les non materialistes philosophes, peuvent sen servir pour rendre heureux les autres en faisant des dons donc dans tous les cas largent a une place importante dans la vie de tout Homme...meme ceux qui n en ont pas revent d en avoir...
 
ben oui justement loll nn serieux o fait pr moi jai tellement des idée des projet ki puissent me rendre heureux et en bonheur mé sa me suffit ke largent pr en realiser tu voi frero
 
je vois frero, ya rabbi tayhek fi ch kanz, goul amine

si j'en avais bp, j'investirais dans les projets des jeunes ambitieux marocains
pour le moment: sirou au challenger:D
 
l'argent??? on bosse pour l'argent on a fait des etudes pour avoir de l'argent on se marie avc de l'argent on nourrit et on gâte nos enfants avec de l'argent...
 
l'argent ne fait pas forcement le bonheur.....................lorsqu'on en a "beaucoup" on est pas pour autant heureux ... mais par contre lorsqu'on en n'a pas est est forcement malheureux !
il fait le bonheur de ceux qui connaissent sa valeur et qui savent comment le dépenser.....
 
le problème c'est que sans argent , tu ne peux rien faire donc l'argent c'est une forme de liberté !!!!!

Je suis désolé de briser ta bulle, mais ce que tu dis est ridicule. Premièrement, la liberté ne se trouve pas dans l’action, mais dans le contrôle mental. On peut avoir des millions de dollars qui nous permettent de faire ce que l’ont veut, si on est dépendant affectif envers notre famille ou accroc à une drogue quelconque, on n’est pas libre, on est dépendant et tous nos choix se feront par rapport à ces dépendances. Ainsi, selon Socrate, «Le tyran est le moins libre de tout les hommes, […] [il] est l’esclave de ses passions ». En exerçant un contrôle absolu de se qui dépend de nous, donc dans ce cas, nos désirs et nos impulsions, on devient indépendant car on peut littéralement éliminer nos vices et nos caprices. Ainsi, on peut faire des choix, de façon libre et ne pas être toujours influencés et contrôlés par nos dépendances.
Deuxièmement, la liberté en tant que concept intérieur ne peut jamais être aliénée par qui que se soit. Cette liberté est donc plus grande. Personne ne peut contrôler nos désirs, nos aversions, nos impulsions et nos opinions. On peut obliger quelqu’un à dire qu’il aime quelque-chose, mais intérieurement on est toujours libre de nos opinions. C’est ce que démontre Épictète, dans un dialogue avec un tyran, lorsque Épictète répond à «Je suis le maître, je peux tout.» par «Eh ! Que peux-tu ? Peux-tu te donner un bon esprit ? Peux-tu m'ôter ma liberté ? […] Tu as beau me menacer, je te dis que je suis libre. […]Tu es le maître de ma carcasse ; prends-la. Tu n'as aucun pouvoir sur moi. ».
Beaucoup diraient que la liberté totale, c’est faire ce qu’on veut, quand on le veut. Je réfute à cela que pour faire une action, on est toujours dépendant de quelque-chose, mais qu’on est toujours libre de nos représentations des actions. Au lieu de se dire qu’on n’est pas libre de voyager car notre avion est brisée, on peut se dire tout simplement que voyager est inutile. De cette façon, en contrôlant nos désirs, on parvient à la liberté mentale de décider de consentir à tout. Là est la vraie liberté : dans la pensé, pas dans l’action.

Tu définis donc très mal le concept de liberté mon cher ami.
 
L'ARGENT
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> > > Il peut acheter une maison
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> > > Mais pas un foyer
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> > > Il peut acheter un lit
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> > > Mais pas le sommeil
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> > > Il peut acheter une horloge
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> > > Mais pas le temps
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> > > Il peut acheter un livre
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> > > Mais pas la connaissance
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> > > Il peut acheter une position
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> > > Mais pas le respect
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> > > Il peut payer le médecin
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> > > Mais pas la santé.
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> > > Il peut acheter du sang
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> > > Mais pas la vie
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> > > Il peut acheter du sexe
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> > > Mais pas de l'amour
 
L'ARGENT
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> > > Il peut acheter une maison
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> > > Il peut acheter un lit
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oui mais ca contribue quand meme a grande echelle
 
oui mais bon.

ce dicton n'a plus de valeur de nos jours.

À oui ? Alors si je comprend bien ton point, tu dis que le bonheur, avant, ne se mesurait pas de façon proportionnelle à l'argent, mais qu'aujourd'hui, pour connaître le taux de bonheur chez quelqu'un, on peut se servir de l'argent comme indicateur de comparaison ? C'est exactement ce que tu dis dans ton message ridicule. L'argent ne fait pas LE bonheur, ça veut dire qu'on ne mesure pas le bonheur avec l'argent comme indice. La plupart des gens biens nantis ne sont pas vraiment heureux. Je cite les cowboys fringants en disant: «L'effort sait faire apprécier le bon vin». La vie des riche est vide. Laisse moi te donner un exemple concret tiré d'André Comte-Sponville, «Le bonheur, désespérément», qui t'éclairera peut-être un peu, étant donné que par ta réplique non-réfléchie, tu me montre que tu as besoin d'un appui quelconque. Je te donne cet exemple: Quand tu es debout depuis 4 heures, tu te dis: Comme j'aimerais pouvoir m'assoir... Comme je serais bien si j'étais assis. Tu n'es donc pas heureux, car tu vis dans l'espérance de pouvoir t'asseoir, car tu n'es pas bien, et tu te dis: Je serais heureux si j'étais assis. Vous maintenant qui lisez ce message, vous ètes sans-doutes assis devant votre ordinateur. Vous dites-vous: Comme je suis heureux d'être assis? J'espère être assis encore dans 5 minutes ? Évidament, non. Pourquoi ? Car on ne peut désirer quelque-chose qu'on a déjà. On ne peut désirer sa propre maison: elle nous appartien déjà. On n'est jamais content de ce qu'on a car on a pas ce qu'on désire: On n'a que ce qu'on DÉSIRAIT avant de l'avoir. Une fois qu'on l'a, cette chose ne fait plus parti de nos désirs. Ce désir comblé, on est pas plus heureux, car le bonheur, c'est intérieur comme la liberté que j'ai expliqué plus haut. On remplace donc notre ancien désir par un autre désir. Pense tu donc que les riches se disent: Comme je suis content d'avoir de l'argent ? Bien sûr que non !!! Ils ont voulus, ils ont rêvé d'en avoir, et ils ont réussis, mais maintenant que le but est atteint, ils en cherchent un autre...

Ce n'est pas pour rien qu'au Québec, on est parmis les champions du monde en suicide... On vis sans cesse dans L'ESPOIR d'amméliorer notre situation avec des biens matériels, et notre société de surconsammation stupide nous pousse à ce train quotidien. Laisse moi t'expliquer où se trouve notre problème sociétal.

Dans notre société actuelle, je pense qu’une des plus grandes préoccupations du monde est d’atteindre le bonheur. On le cherche souvent dans les magasins et à la télévision ; on cherche le moyen à tout prix de l’atteindre. En lisant un peu sur l’épicurisme, j’en ai conclu que notre société actuelle ne nous rend pas plus heureux, mais bien au contraire : elle nous rend plus malheureux. Selon Épicure, « le bonheur est le but, le plaisir est le moyen ». Il existe trois catégories de plaisirs : « les plaisirs naturels et nécessaires […] les plaisirs naturels mais non nécessaires […] et les plaisirs ni naturels ni nécessaires. ». Selon Épicure, que je crois formellement, le troisième de ces plaisirs ne doit jamais être assouvi, car il n’apporte pas un bonheur « solide, authentique et stable ». Notre société prône justement le contraire. « Nous sommes chaque jour soumis à plus de sept mille messages publicitaires ». Toutes ces publicités à l’exception de celles des entreprises humanitaires existent dans le but de créer un besoin de consommation de plaisirs non-naturels par la force. Les entreprises se battent pour le monopole de vente du bonheur matériel. Nous sommes sans cesse étouffés par des messages nous poussant vers la consommation de biens futiles qui ne donnent qu’un espoir de bonheur et qui coûtent surtout très cher. C’est pourquoi on cherche le bonheur dans une plus grosse télévision, un meilleur ordinateur, une plus grosse maison etc. Cette recherche du bonheur dans des biens de luxe entraîne un problème encore plus important : l’endettement. Et oui, on nous apprend à payer plus tard et à acheter maintenant. Tu n’as pas d’argent ? Ce n’est pas grave, tu n’as qu’à commander une carte de crédit. C’est ce que notre société propose, vivre en même temps dans le luxe et l’endettement. Paradoxal non ? Dans ce cercle vicieux de consommation ou l’humain est un capital qui profite aux entreprises et aux banques, l’homme ne pourra jamais être satisfait, car il ne pourra jamais combler le vide de sa vie avec des biens de consommation, car ce vide s’élargi au même rythme que le progrès technique. Qui donc favorise ce cercle vicieux ? Bien sûr c’est la société elle-même, qui est contrôlée par les entreprises privées. C’est pourquoi je pense que la société actuelle ne nous rend pas plus heureux, mais bien au contraire.

Donc, j'espère que tu comprends que l'argent ne fait pas le bonheur, l'argent sert à consommer, et consommer ne profite qu'aux entreprises. Les entreprises, elles, sont dans le même cercle: Ils consomment en débile mental avec tout les profits monstrueux qu'ils se font. Ils courrent après leur bonheur, comme nous, mais avec plus d'argent. Le problème reste le même, en occident, on a de la difficulté à être heureux
 
nn pr moi largent fé forcementr du bonheur

Juste par ta façon de t'exprimer aussi gracieusement que moi quand je me torche, on voit tout de suite que tu n'es pas vraiment une lumière. L'argent achète des biens de consommations. Le bonheur ne se vend pas, il se découvre. On doit arrêter de penser égoïstement. L'homme est un animal différent des autres: il a besoin de la compagnie des autres. La clée du bonheur se trouve là: dans les contacts avec les autres. Rien ne vaut mieux que des amis et la famille. Si tu préfère avoir une grosse maison, mais pas d'amis, c'est tu es un vrai sans-dessin. C'est vrai que c,est honteux d'avoir une grosse maison dans notre société et d'être malheureux. On nous regarde croche si on ôse dire qu'on a travaillé toute notre vie pour acheter le bonheur, et qu'on l'a pas. Alors on fait comme si on était heureux. On cherche notre bonheur en se comparant aux autres plus pauvres, en se disant qu'ils sont sans-doute moin heureux. On n'est pas vraiment heureux, il manque toujours quelque-chose. C'est que propose notre société comme je l'expliquait dans mon dernier message. Je rajoute que la publicité se sert de cette frustration perpétuelle des hommes face à leur incapacité à trouver le bonheur en proposant des façon d'y remédier, c'est à dire te faire croire que ce qu'il te manque, c'est la dernière osti de cochonerie de H2O Vac ou l'autre ***** de Ad King Pro. Sortez donc de vos mentalités de vieux conservateurs.
 
Juste par ta façon de t'exprimer aussi gracieusement que moi quand je me torche, on voit tout de suite que tu n'es pas vraiment une lumière. L'argent achète des biens de consommations. Le bonheur ne se vend pas, il se découvre. On doit arrêter de penser égoïstement. L'homme est un animal différent des autres: il a besoin de la compagnie des autres. La clée du bonheur se trouve là: dans les contacts avec les autres. Rien ne vaut mieux que des amis et la famille. Si tu préfère avoir une grosse maison, mais pas d'amis, c'est tu es un vrai sans-dessin. C'est vrai que c,est honteux d'avoir une grosse maison dans notre société et d'être malheureux. On nous regarde croche si on ôse dire qu'on a travaillé toute notre vie pour acheter le bonheur, et qu'on l'a pas. Alors on fait comme si on était heureux. On cherche notre bonheur en se comparant aux autres plus pauvres, en se disant qu'ils sont sans-doute moin heureux. On n'est pas vraiment heureux, il manque toujours quelque-chose. C'est que propose notre société comme je l'expliquait dans mon dernier message. Je rajoute que la publicité se sert de cette frustration perpétuelle des hommes face à leur incapacité à trouver le bonheur en proposant des façon d'y remédier, c'est à dire te faire croire que ce qu'il te manque, c'est la dernière osti de cochonerie de H2O Vac ou l'autre ***** de Ad King Pro. Sortez donc de vos mentalités de vieux conservateurs.

quelle démonstration!!!!
 
moi l'argent je calcule pas je ùmise plus sur l'amour pour mon bohneur
on peut être pauvre ou modeste intèrieurement et riche du coeur comme j'aime à le penser
quand on mourra notre argent nous suivra pas et nous servira à rien
 
Personnellement je suis convaincu qu'il ne m'est pas nécessaire pour faire mon bonheur, je ne cherche à faire de l'argent que pour contribuer au bonheur des autres, tenter d'améliorer leur vie quotidienne par quelques coups de pouces ou bonnes intentions.

Mais comme toujours, tout dépend si au moment où on écrit le message on est en manque d'argent ou non!
 
l'argent??? on bosse pour l'argent on a fait des etudes pour avoir de l'argent on se marie avc de l'argent on nourrit et on gâte nos enfants avec de l'argent...

Bon je suis tanné de réfuter les foutaises qui affluent de tous sens dans ce forum pour jeunes conformistes illusionnés, alors je vais faire bref. On gâte nos enfants avec de l'argent.... QUOI ! QUELLE CONNERIE !!! Les enfants gâtés deviennent des petits ****, lâches et braillards. Je te donne un autre exemple de Sponville:C'est l'exemple de l'après midi de noël. Tout les enfants sont différents, mais il y en a beaucoups, dans nos pays riches, qui dès le début du mois de novembre, pour ne pas dire dès la fin du mois d'octobre, choisissent dans tel ou tel catalogue de vente par correspondance, ou à la vitrine des magasins, le jouet qu'ils vont demander pour noël. Ils le désirent tellement, ce jouet leur manque tellement, qu'il est exclu qu'ils soient heureux un instant d'ici noël. On est à la fin du mois d'octobre: le bonheur est différé pendant deux mois. Par chance, les enfants oublient de temps en temps que ce jouet leur manque; il leur arrive doncc, parfois, d'être heureux par inadvertance. Mais dès qu'ils y pensent, ce n'est plus possible; il leur manque trop ! Ils se disent: «quest-ce que je serais heureux si je l'avais» Ils sont donc séparés du bonheur jusqu'à Noël. ON ARRIVE DANS LE VIF DU SUJET. Arrive le matin de noël. L'enfant est content une heure, et il se passe un truc incroyable: il y a toujours u manque. Il aurait aimé avoir plus de cadeau. Il n'est pas content longtemps, et devien bougon. Les parents lui demandent, exaspérés:«c'est pas ça que tu voulais ?» Et le l'enfant répond que c'est ce qu'il voulait, mais il ne peut expliquer pourquoi il a ce sentiment de vide. S'il connaissait Platon, il comprendrait que c'est parce qu'on désire que qu'on a pas, mais qu'on ne peut désirer ce qu'on a. Voilà comment tu gâte tes enfants, pauvre cloche.
 
..../.... Rien ne vaut mieux que des amis et la famille. Si tu préfère avoir une grosse maison, mais pas d'amis, c'est tu es un vrai sans-dessin. ..../....

Sortez donc de vos mentalités de vieux conservateurs.

MDR :D

Tu avoueras quand même que c'est plus facile de recevoir TOUTE la famille ou TOUS TES AMIS dans une grande maison avec une salle a manger en proportion et une cheminée pour les nuits glacées que si tes moyens financiers te font vivre dans un studio de 25m2 au 6è étage non ?

Je veux bien qu'une partie spaguettis au beurre soit très amusante, mais avec un peu de sauce bolognaise dessus pour qui en veut, c'est peut être mieux non ?

Le fameux proverbe est tout a fait d'actualité car en effet l'argent ne fait pas le bonheur, sans aucun doute, mais il aide quand même... Si le jour ou un de tes proches a besoin d'une opération de la main d'un chirurgien qui exerce a NYK et que tu habites a Tombouctou... avec le salaire qui va avec... ton bonheur serait justement de pouvoir avoir cet argent pour pouvoir payer ce qu'il faudrait pour rendre heureux et ce proche et ceux qui l'entourent et t'entourent.

La société ou l'on vit est ainsi... et ce depuis la nuit des temps.

Un esclave prisonnier de guerre n'est pas heureux que je sache... quel que soit son maître... mais si il avait un bon coffre de piecettes sonantes et trébuchantes et sa famille pouvait payer la rançon... tout le monde était heureux comme... des grenouilles dans leur mare (elles n'ont pas besoin d'argent elles par contre... avec la mare.. elles sont heureuses... comme un Pape ! )
 
moi l'argent je calcule pas je ùmise plus sur l'amour pour mon bohneur
on peut être pauvre ou modeste intèrieurement et riche du coeur comme j'aime à le penser
quand on mourra notre argent nous suivra pas et nous servira à rien

Je suis tout à fait d'accord avec toi. La vie est trop courte pour essayer d'accumuler. On doit vivre. Je prône la simplicité volontaire: Travailler moin pour vivre plus. Ça commence avec une prise de conscience que L'ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR. Une fois qu'on réalise le problème de la surconsommation qui nuit au bonheur, ne reste qu'à essayer de fuir le système et de le boycotter. La simplicité volontaire, c'est aussi comme le l'a dit Gandhi : «Vivre simplement afin que d'autres puissent simplement vivre». Voilà !
 
MDR :D

Tu avoueras quand même que c'est plus facile de recevoir TOUTE la famille ou TOUS TES AMIS dans une grande maison avec une salle a manger en proportion et une cheminée pour les nuits glacées que si tes moyens financiers te font vivre dans un studio de 25m2 au 6è étage non ?

Je veux bien qu'une partie spaguettis au beurre soit très amusante, mais avec un peu de sauce bolognaise dessus pour qui en veut, c'est peut être mieux non ?

Le fameux proverbe est tout a fait d'actualité car en effet l'argent ne fait pas le bonheur, sans aucun doute, mais il aide quand même... Si le jour ou un de tes proches a besoin d'une opération de la main d'un chirurgien qui exerce a NYK et que tu habites a Tombouctou... avec le salaire qui va avec... ton bonheur serait justement de pouvoir avoir cet argent pour pouvoir payer ce qu'il faudrait pour rendre heureux et ce proche et ceux qui l'entourent et t'entourent.

La société ou l'on vit est ainsi... et ce depuis la nuit des temps.

Un esclave prisonnier de guerre n'est pas heureux que je sache... quel que soit son maître... mais si il avait un bon coffre de piecettes sonantes et trébuchantes et sa famille pouvait payer la rançon... tout le monde était heureux comme... des grenouilles dans leur mare (elles n'ont pas besoin d'argent elles par contre... avec la mare.. elles sont heureuses... comme un Pape ! )
Premièrement, comme l'écrit Planton dans «Le Banquet», le plaisir d'un souper entre amis se trouve dans la conversation, non dans la nourriture ou dans l'environnement.

Le problème avec ton argument du médecin, c'est quelle est très individualiste. Je pense comme Marx que le bonheur est quelque-chose qui doit s'acquérir en communauté. Tu sera peut-être plus heureux de guérir ta main, mais le prix que ça coute est celui qui pourrait sauver la vie d'une vingtaine d'africains qui meurrent de faim. Je ne suis pas encore cent pour cent décidé si je suis pour ou contre, je te laisse simplement sur cette réflexion. Finalement, ton argument concernant l'esclave n'a aucune valeur, étant donné qu'Épictète, un des plus grand philosophe du bonheur, qui a trouvé la façon et qui était heureux et se sentait libre était un esclave... alors bonne chance petit.
 
À et j'ai oublier un truc, la civilisation est comme ça depuis la révolution Industrielle, en 1830... on est loin de la nuit des temps, et je te rappelle que le siècle qui suit la révolution est le plus horrible qui soit né
 
Premièrement, comme l'écrit Planton dans «Le Banquet», le plaisir d'un souper entre amis se trouve dans la conversation, non dans la nourriture ou dans l'environnement.

Le problème avec ton argument du médecin, c'est quelle est très individualiste. Je pense comme Marx que le bonheur est quelque-chose qui doit s'acquérir en communauté. Tu sera peut-être plus heureux de guérir ta main, mais le prix que ça coute est celui qui pourrait sauver la vie d'une vingtaine d'africains qui meurrent de faim. Je ne suis pas encore cent pour cent décidé si je suis pour ou contre, je te laisse simplement sur cette réflexion. Finalement, ton argument concernant l'esclave n'a aucune valeur, étant donné qu'Épictète, un des plus grand philosophe du bonheur, qui a trouvé la façon et qui était heureux et se sentait libre était un esclave... alors bonne chance petit.

Tout d'abord, vu ton âge affiché, le dernier mot de ton intervention est très mal placé.

Ce n'est pas en citant deux illustres philisophes que tu viendrais répondre aux faits basiques de la vie de tous les jours.

Si ton bonheur a toi est de manger un crouton avec des amis je ne te le nierai pas, mais là n'est point la question car la question associe l'argent et le bonheur, et si ton bonheur est celui là tant mieux, permets moi de considérer que leur bonheur serait bien plus grand et représentatif si le crouton est accompagné par un bonne bouteille millémisée et celle là... sans argent.. :rolleyes:

Mon argument sur l'esclave ne tien pas parceque tu le dis ? Un esclave tel que pouvait l'être ton philosophe n'était pas un esclave comme put l'être Cervantès.

Le bonheur du Monde est qu'il -Cervantès- ait pu être libéré, grâce a un peu d'argent, pour qu'il puisse en liberté, écrire ce qu'il a écrit.

Donc oui, l'argent ne fait pas le bonheur, mais permet d'y contribuer... largement.
 
À et j'ai oublier un truc, la civilisation est comme ça depuis la révolution Industrielle, en 1830... on est loin de la nuit des temps, et je te rappelle que le siècle qui suit la révolution est le plus horrible qui soit né

Hors sujet.

Tu minimises a un contexte particulier la "civilisation" alors que la planète ne se limite pas a la revolution industrielle... ni aux lieux ou elle se produit.
 
Premièrement, comme l'écrit Planton dans «Le Banquet», le plaisir d'un souper entre amis se trouve dans la conversation, non dans la nourriture ou dans l'environnement.

Le problème avec ton argument du médecin, c'est quelle est très individualiste. Je pense comme Marx que le bonheur est quelque-chose qui doit s'acquérir en communauté. Tu sera peut-être plus heureux de guérir ta main, mais le prix que ça coute est celui qui pourrait sauver la vie d'une vingtaine d'africains qui meurrent de faim. Je ne suis pas encore cent pour cent décidé si je suis pour ou contre, je te laisse simplement sur cette réflexion. Finalement, ton argument concernant l'esclave n'a aucune valeur, étant donné qu'Épictète, un des plus grand philosophe du bonheur, qui a trouvé la façon et qui était heureux et se sentait libre était un esclave... alors bonne chance petit.

Hors sujet.

Tu minimises a un contexte particulier la "civilisation" alors que la planète ne se limite pas a la revolution industrielle... ni aux lieux ou elle se produit.

Je m'en excuse, je voulais dire la civilisation Occidentale. Je profite de ce malentendu pour expliciter mon point. Avant, la publicité servait à informer. (à tel endroit on vend telle chose à tel prix) point final. Depuis la Révolution industrielle, on se rammasse avec trop de produits pour la demande. On doit donc créer des besoins. Pour qu'il y ait besoin, il faut un manque. Ce manque c'est le bonheur, et les publicitaires le savent et cherchent à nous vendre leurs trucs en exploitant ce manque. Cette pratique commence donc durant la Révolution industrielle... je ne retire donc pas mes propos. Excusez moi pour ce manque le clarté.
 
Je suis désolé de briser ta bulle, mais ce que tu dis est ridicule. Premièrement, la liberté ne se trouve pas dans l’action, mais dans le contrôle mental. On peut avoir des millions de dollars qui nous permettent de faire ce que l’ont veut, si on est dépendant affectif envers notre famille ou accroc à une drogue quelconque, on n’est pas libre, on est dépendant et tous nos choix se feront par rapport à ces dépendances. Ainsi, selon Socrate, «Le tyran est le moins libre de tout les hommes, […] [il] est l’esclave de ses passions ». En exerçant un contrôle absolu de se qui dépend de nous, donc dans ce cas, nos désirs et nos impulsions, on devient indépendant car on peut littéralement éliminer nos vices et nos caprices. Ainsi, on peut faire des choix, de façon libre et ne pas être toujours influencés et contrôlés par nos dépendances.
Deuxièmement, la liberté en tant que concept intérieur ne peut jamais être aliénée par qui que se soit. Cette liberté est donc plus grande. Personne ne peut contrôler nos désirs, nos aversions, nos impulsions et nos opinions. On peut obliger quelqu’un à dire qu’il aime quelque-chose, mais intérieurement on est toujours libre de nos opinions. C’est ce que démontre Épictète, dans un dialogue avec un tyran, lorsque Épictète répond à «Je suis le maître, je peux tout.» par «Eh ! Que peux-tu ? Peux-tu te donner un bon esprit ? Peux-tu m'ôter ma liberté ? […] Tu as beau me menacer, je te dis que je suis libre. […]Tu es le maître de ma carcasse ; prends-la. Tu n'as aucun pouvoir sur moi. ».
Beaucoup diraient que la liberté totale, c’est faire ce qu’on veut, quand on le veut. Je réfute à cela que pour faire une action, on est toujours dépendant de quelque-chose, mais qu’on est toujours libre de nos représentations des actions. Au lieu de se dire qu’on n’est pas libre de voyager car notre avion est brisée, on peut se dire tout simplement que voyager est inutile. De cette façon, en contrôlant nos désirs, on parvient à la liberté mentale de décider de consentir à tout. Là est la vraie liberté : dans la pensé, pas dans l’action.

Tu définis donc très mal le concept de liberté mon cher ami.

Attention à ne pas se contredire, quand on prétend démontrer.
 
Eh oui, le problème est qu'un contrôle absolu de nos désirs, etc. est une illusion que la philosophie dénonce depuis avant Epictète et Platon. Quoique je dément que l'argent fait le bonheur, je ne saurai nier qu'il illusionne d'autres que moi. Et une bonne connaissance de l'argent n'est pas inutile à qui veut se débarrasser de son emprise. Un autre post, lancé par petitbijou, a déjà avancé quelques opinions sur le sujet.
 
Attention à ne pas se contredire, quand on prétend démontrer.

Attention de s'assurer qu'on a bien compris et bien lu un message, avant de dire qu'il se contredit... Ma première phrase explique que nous pouvons contrôler ces choses, et le deuxième (celui que tu dis qu'il contredis l'autre) explique que les personne EXTÉRIEURES ne peuvent pas contrôler ces sentiments chez TOI. Attention, la prochaine fois...Sans rancune.
 
Attention de s'assurer qu'on a bien compris et bien lu un message, avant de dire qu'il se contredit... Ma première phrase explique que nous pouvons contrôler ces choses, et le deuxième (celui que tu dis qu'il contredis l'autre) explique que les personne EXTÉRIEURES ne peuvent pas contrôler ces sentiments chez TOI. Attention, la prochaine fois...Sans rancune.

J'ai très bien compris qu'autrui ne peut pas contrôler ces choses en nous, mais dire, comme tu le fais, que nous avons un "contrôle absolu" sur ces chose en nous est soi de l'arrogance, soit de l'ignorance.
 
Une autre critique peut être faite à ton argumentation. Tu identifies bonheur et liberté. Pour Epictète, qui fut stoïcien, cette identité allait peut-être d’elle-même. Pour ceux que tu critiques, elle va aussi d’elle-même : Etre libre et être heureux, c’est la même chose. Qui nierait que la liberté, c’est le bonheur ? Et que le bonheur, ce serait d’être libre ? Mais qu’est-ce que le bonheur ? C’était une idée neuve en Europe pour Saint Just (qui sans doute l’identifiait à la liberté). Force n’est-il pas d’admettre qu’elle n’a pas vieilli ? Mais le bonheur peut être dans le crime, comme l’a raconté Barbey d’Aurévilly. De sorte que nous ne savons jamais bien de quoi nous parlons quand nous parlons du bonheur. Et que nous n’en savons pas mieux quand nous parlons de la liberté. Ton argumentation serait acceptable si le bonheur et la liberté étaient des idées uniques, des idées sur lesquelles tout le monde est d’accord. Comme ce n’est pas le cas, cette argumentation a un petit parfum autoritaire, pour ne pas dire plus.
 
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