Bonjour biduleBonjour Shahzadeh
Je n'ai fait que des maths dans mon cursus universitaire donc je sais un peu de quoi je parle je penseVous avez des notions de Math, avec vous ca va être plus simple ;-)
Nan je ne confonds rien du tout.Si je puis me permettre, vous confondez, ce qui est très usuel mais aussi la cause de notre discussion, la suite numérique
9/10^1 + 9/10^2 + 9/10^3 ... + 9/10^n
qui effectivement tend vers 1, et le chiffre 0,9 qui lui ne tend vers rien : c'est un chiffre.
Il a donc une valeur fixe et invariable, qui correspond effectivement à la limite à l'infini de la première suite, c'est à dire 1.
C'est ce que j'essayais de faire comprendre sans user de notion mathématique de limite ou de convergence à @Cause01 quand je lui expliquais qu'il se fabriquait une représentation de la valeur de 0,9 par construction, en additionnant à chaque fois un 1/10^n comme si le chiffre 0,9 avait une valeur fluctuante croissante. Ce n'est pas le cas.
J'espère avoir été clair, je sais que c'est déroutant la première fois, et je n'explique peut-être pas très bien !
Et sinon parfaitement d'accord avec vous sur le fait que Gödel n'a rien à voir là dedans. Mais je trouve intéressant et pas ridicule que @Prizma s'empare de ses conséquences dans ce type de discussion.
D'abord, là ce que tu es en train de dire c'est qu'un nombre peut s'écrire comme la somme d'une suite géométrique (ici on parler volontiers de série en maths, plus précisément en analyse). Et c'est exactement ce qui démontre qu'un nombre peut s'écrire comme une fraction irréductible, dans notre exemple 0,9 est égale à 1.
Ensuite, au départ, j'avais parlé de convergence car dans mon esprit j'avais simplement considéré la suite (9/10)^k.
Enfin, il est absurde de dire qu'un nombre tend vers un autre nombre. Ça n'existe pas en mathématiques!
Et c'est la raison pour laquelle j'avais dit qu'un nombre pouvait s'écrire de plusieurs manières (il y en a une infinité): notamment, 1 est égal à 2/2 mais aussi à 3/3 etc mais aussi à 0,9.