La folie du joufflu est décidément contagieuse chez ses pantins
Bon maintenant qu'une milice de mercenaires-bouchers séduise un dictateur totalitaire, ça n'a rien de foncièrement étonnant.
Le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov apprécie les prestations du groupe paramilitaire Wagner, et souhaiterait lui aussi créer une telle armée "privée" après sa carrière politique, a-t-il annoncé dimanche sur les réseaux sociaux. Via Telegram, il évoque des "succès impressionnants" en Ukraine.
Ramzan Kadyrov a partagé via sa chaîne Telegram un cliché sur lequel on peut le voir aux côtés d'Evgueni Prigojine, le fondateur du groupe Wagner. Ce dernier recrute de nombreux volontaires parmi les détenus des prisons russes, et combat depuis le début aux côtés de l'armée russe dans son invasion de l'Ukraine. Le groupe privé y subirait de lourdes pertes, ses forces n'étant d'ailleurs pas composées de soldats entrainés et se plaignant d'un manque de munitions et de fourniture de matériel de la part de la Russie, selon des observateurs.
Bon maintenant qu'une milice de mercenaires-bouchers séduise un dictateur totalitaire, ça n'a rien de foncièrement étonnant.
Le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov voudrait "créer son propre groupe Wagner"
Inspiré par "les succès" de la milice Wagner en Ukraine, Ramzan Kadyrov souhaiterait lui aussi avoir son armée à lui.
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Le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov apprécie les prestations du groupe paramilitaire Wagner, et souhaiterait lui aussi créer une telle armée "privée" après sa carrière politique, a-t-il annoncé dimanche sur les réseaux sociaux. Via Telegram, il évoque des "succès impressionnants" en Ukraine.
Ramzan Kadyrov a partagé via sa chaîne Telegram un cliché sur lequel on peut le voir aux côtés d'Evgueni Prigojine, le fondateur du groupe Wagner. Ce dernier recrute de nombreux volontaires parmi les détenus des prisons russes, et combat depuis le début aux côtés de l'armée russe dans son invasion de l'Ukraine. Le groupe privé y subirait de lourdes pertes, ses forces n'étant d'ailleurs pas composées de soldats entrainés et se plaignant d'un manque de munitions et de fourniture de matériel de la part de la Russie, selon des observateurs.