Au moment où le Groupe dexperts intergouvernemental sur lévolution du climat (GIEC) prévoit quà lavenir le réchauffement climatique engendrerait une réduction des précipitations, une hausse des températures et entraînerait une rareté deau, dautres voix annoncent quun nouveau climat est en train de sinstaller dans la région. «Les Marocains devraient sattendre entre les mois de septembre et mai à toute sorte de fluctuations extrêmes et contradictoires (chaleur et froid). Cette période serait marquée par la sécheresse, mais aussi aux inondations», a souligné Mohammed-Saïd Karrouk, professeur de climatologie à lUniversité Hassan II et membre du GIEC.
Que faire face à ce nouveau climat ? «Il faut être convaincu que nous vivons dans un autre climat dans lequel lexception est devenue la règle et où les responsables ne doivent plus se justifier que ces phénomènes naturels sont devenus exceptionnels, mais doivent agir en conséquence.
Doù la mise à niveau des structures sociales et économiques pour minimiser les dégâts du changement climatique et profiter des avantages de cette nouvelle réalité», a ajouté M. Karrouk.
Toujours selon ce dernier, «le nouveau cycle de leau imposerait une nouvelle distribution géographique des ressources hydriques dans le monde. Par exemple en 2010, il y a eu de grandes inondations au Pakistan entre juillet et août et en même temps des feux de forêt éclataient en Russie.Ces deux événements ont entraîné un manque de blé sur le marché international et une flambée des prix des céréales.»http://mobile.lematin.ma/
Que faire face à ce nouveau climat ? «Il faut être convaincu que nous vivons dans un autre climat dans lequel lexception est devenue la règle et où les responsables ne doivent plus se justifier que ces phénomènes naturels sont devenus exceptionnels, mais doivent agir en conséquence.
Doù la mise à niveau des structures sociales et économiques pour minimiser les dégâts du changement climatique et profiter des avantages de cette nouvelle réalité», a ajouté M. Karrouk.
Toujours selon ce dernier, «le nouveau cycle de leau imposerait une nouvelle distribution géographique des ressources hydriques dans le monde. Par exemple en 2010, il y a eu de grandes inondations au Pakistan entre juillet et août et en même temps des feux de forêt éclataient en Russie.Ces deux événements ont entraîné un manque de blé sur le marché international et une flambée des prix des céréales.»http://mobile.lematin.ma/