le 16 avril 2012
Il sagit dune enquête stupéfiante qui risque déclabousser le petit monde de la cosmétique, puisque le Guardian a révélé les pratiques scandaleuse dune firme chinoise spécialisée en produits cosmétiques, qui fabrique du collagène à partir de la peau de condamnés à mort chinois, avant de les commercialiser en Europe.
La Chine exporte en effet la fameuse protéine, très utilisée en chirurgie esthétique et dans les produits cosmétiques afin deffacer les rides ou encore épaissir le volume des lèvres. Néanmoins, cette industrie bénéficie en vérité dun vide juridique et dun manque de réglementation dans le secteur, et utiliserait donc « la peau des condamnés exécutés et les ftus avortés, rachetés par des sociétés de biotechnologie« .
Finalisés, ces produits débarquent sur le vieux continent via Hong-Kong. En Chine, les autorités se défendent davoir recours à ces pratiques sans le consentement des condamnés à mort, mais selon un rapport du Congrès américain et les affirmations dun ancien médecin militaire chinois, Wang Guoqi, ces méthodes auraient bien lieu, puisque ce dernier affirme « avoir participé aux prélèvements dorganes de plus de 100 prisonniers exécutés. Les chirurgiens disséquaient les corps dans des camions garés sur les lieux dexécution ». Ainsi vous ne regardez plus jamais vos crèmes anti-rides de la même façon
Source : Lesinrocks
Il sagit dune enquête stupéfiante qui risque déclabousser le petit monde de la cosmétique, puisque le Guardian a révélé les pratiques scandaleuse dune firme chinoise spécialisée en produits cosmétiques, qui fabrique du collagène à partir de la peau de condamnés à mort chinois, avant de les commercialiser en Europe.
La Chine exporte en effet la fameuse protéine, très utilisée en chirurgie esthétique et dans les produits cosmétiques afin deffacer les rides ou encore épaissir le volume des lèvres. Néanmoins, cette industrie bénéficie en vérité dun vide juridique et dun manque de réglementation dans le secteur, et utiliserait donc « la peau des condamnés exécutés et les ftus avortés, rachetés par des sociétés de biotechnologie« .
Finalisés, ces produits débarquent sur le vieux continent via Hong-Kong. En Chine, les autorités se défendent davoir recours à ces pratiques sans le consentement des condamnés à mort, mais selon un rapport du Congrès américain et les affirmations dun ancien médecin militaire chinois, Wang Guoqi, ces méthodes auraient bien lieu, puisque ce dernier affirme « avoir participé aux prélèvements dorganes de plus de 100 prisonniers exécutés. Les chirurgiens disséquaient les corps dans des camions garés sur les lieux dexécution ». Ainsi vous ne regardez plus jamais vos crèmes anti-rides de la même façon
Source : Lesinrocks