ElynAdil
Elya Cosmos
Si on a des doutes sur ce que peut servir l'argent, on peut toujours donner de la nourriture facilement consommable, des vêtements, surtout lorsqu'il s'agit d'enfants ou de personnes qui ne semblent pas net (penchant pour l'alcool, drogues...).
C'est clair que les vraies pauvres ne sont pas ceux qui mendient dans la rue, ce sont souvent des personnes qui n'ayant pas d'autres choix pour survivre demande en toute discrétion.
Une petite anecdote : une personne en provenance de l'étranger qui transitait par ma ville est entré dans mon entreprise, elle avait l'air très gêné et intimidé de demander un peu d'argent pour pouvoir continuer sa route. Elle était bien habillé et propre sur elle. J'ai pris comme habitude de donner toujours une même somme pour ceux qui venait à moi. Cette personne a pris le billet et m'a dit : j'ai quelques pièces dans ma poches, j'aimerais te les donner en échange du billet que tu viens de me remettre". J'ai bien entendu refusé, et ça m'a touché, car je pouvais voir que la nécessité de survivre et son statut de voyageur l'obligeait à recourir à cette forme d'aide, et on pouvait lire dans son attitude une certaine dignité . En prenant congé, s'étant sans doute renseigné sur l'adresse d'une mosquée auparavant, cette personne me dit : " je vais à la mosquée, et dans ma prière, je prierai pour toi".
Nous n'avons rien à perdre à donner et tout à y gagner (islamiquement et humainement), chacun suivant ses moyens, le don d'argent, de la nourriture, des vêtements ou un simple sourire, une doua'a peut aussi beaucoup aider matériellement ou psychologiquement, la personne démunie.
C'est clair que les vraies pauvres ne sont pas ceux qui mendient dans la rue, ce sont souvent des personnes qui n'ayant pas d'autres choix pour survivre demande en toute discrétion.
Une petite anecdote : une personne en provenance de l'étranger qui transitait par ma ville est entré dans mon entreprise, elle avait l'air très gêné et intimidé de demander un peu d'argent pour pouvoir continuer sa route. Elle était bien habillé et propre sur elle. J'ai pris comme habitude de donner toujours une même somme pour ceux qui venait à moi. Cette personne a pris le billet et m'a dit : j'ai quelques pièces dans ma poches, j'aimerais te les donner en échange du billet que tu viens de me remettre". J'ai bien entendu refusé, et ça m'a touché, car je pouvais voir que la nécessité de survivre et son statut de voyageur l'obligeait à recourir à cette forme d'aide, et on pouvait lire dans son attitude une certaine dignité . En prenant congé, s'étant sans doute renseigné sur l'adresse d'une mosquée auparavant, cette personne me dit : " je vais à la mosquée, et dans ma prière, je prierai pour toi".
Nous n'avons rien à perdre à donner et tout à y gagner (islamiquement et humainement), chacun suivant ses moyens, le don d'argent, de la nourriture, des vêtements ou un simple sourire, une doua'a peut aussi beaucoup aider matériellement ou psychologiquement, la personne démunie.