Le coran et l'exégèse historico-critique

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Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da quebrada
VIB
Bonjour :timide:

Peut-on étudier le Coran au moyen de l'exégèse historico-critique? Je pose la question surtout pour des musulmans qui veulent en savoir plus sur le Coran... Les non-musulmans abordent le Coran comme un texte simplement humain et l'étudient sans problème avec l'historico-critique.
 
Salut. Oui, cela est non seulement naturel mais même nécessaire. La critique historique est un outil scientifique pour l'étude du passé de façon objective. Il est d'autres parts clair que cela ne sera possible que pour des chercheurs maitrisant l'arabe liturgique ancien et l'histoire du monde Arabe médiéval. Car une critique poussée sur la traduction de vulgarisation d'un texte ou sur une version plus récente de la langue de rédaction de ce texte ancien conduira à des erreurs incontournables.

Ta question me rapelle une anecdote qui m'avait bouleversé. Une spécialiste en sumérologie avait misérablement rejeté une intervention d'un intervenant au sujet de la découverte d'écrits égyptiens très anciens en hyéroglyphes antérieurs aux plus anciens écrits cunéiformes lors d'une conférence sur la sumérologie et le Coran. Il est indispensable que chacun se limite strictement à son propre domaine de compétences !
 
c'est absolument nécessaire de la faire ......
au fait ...cela a deja été fait en partie et cela se fait .....sauf que cela ne franchit pas la barrière académique ..... et ne touche pas le grand public !
des travaux de ce genre existent .....il suffit de faire une petite recherche !!!

d"ailleurs c'est l'une des sources principale du rejet de l'islam et de l'apostasie !!!
 
N'importe quoi. Les apostats que j'ai croisés jusqu'à ce jour sont des incultes, qui n'ont aucune connaissance islamique réelle. Qui choisissent les éléments de leurs justifications d'apostasie dans des sites islamophobes et presque totalement étrangers à la littérature académique.
 
Voilà ce que dit T.R dans son livre : la réforme radicale...
http://tariqramadan.com/blog/2007/11/07/la-reforme-radicale-ethique-et-liberation-22/

Ainsi donc il est important d’affirmer ici que le statut du Coran chez les musulmans – considéré comme parole de Dieu – de même que la médiation nécessaire de la tradition prophétique (Sunna) ne sont en rien des obstacles à la lecture historique, contextualisée et critique. Ce qui demeure impératif dans ce débat est la détermination des catégories et des normes qui doivent permettre à la fois la fidélité au donné de la foi et le maintien de la cohérence quant aux questions posées par l’intelligence lorsqu’elle est exposée à l’évolution des sciences et des sociétés. C’est à l’intérieur de ce cadre de référence que l’application concrète du tajdîd et d’al-islâh – tels que nous les avons présentés plus haut – sera efficiente et portera des fruits concrets. C’est l’objet de notre discussion dans le présent ouvrage.
 
Bonjour :timide:

Peut-on étudier le Coran au moyen de l'exégèse historico-critique? Je pose la question surtout pour des musulmans qui veulent en savoir plus sur le Coran... Les non-musulmans abordent le Coran comme un texte simplement humain et l'étudient sans problème avec l'historico-critique.
Salam

Pour une partie si elle préfère cette méthode pourquoi pas mais c'est une approche personnelle à faire, il y à aussi la foi qui nous dévoile toujours des choses, donc cela dépends un croyant pourra faire cette approche en complément dans ces recherches propre.

Avant tout éclairons les personnes sur ce qu'est :


L’exégèse historico-critique
s’est constituée au 19ème siècle comme une méthode de lecture scientifique des textes, capable de répondre au défi intellectuel représenté par la philosophie des Lumières et par la naissance des sciences humaines, par les progrès scientifiques de ce siècle remettant en cause le statut de la Bible comme livre de tous les savoirs et semblant apporter une contradiction chaque jour plus pertinente à la thèse de l’inerrance absolue du texte biblique.

Les recherches archéologiques et les données épigraphiques ont également provoqué une remise en cause de la Bible : elles ont exigé de situer le texte dans son milieu et dans son contexte de production. On découvrait, en effet, que le texte biblique a pu être inspiré par des écrits du Proche Orient ancien, qui ont existé avant la Bible : le texte de la Genèse, que l’on croyait directement révélé par Dieu, a été influencé par la littérature babylonienne.

L’exégèse a alors dû redéfinir les objectifs de sa recherche en la situant à la croisée de deux démarches critiques : une critique interne qui établit le texte à partir des langues et manuscrits anciens et en permet l’analyse littéraire ; une critique externe qui situe le texte dans une histoire.

Cette mutation de l’exégèse biblique ne s’est pas faite sans heurts ni résistances.
 
L’encyclique Divino afflante Spiritu, promulguée par Pie XII en 1943, proposera des pistes permettant d’honorer les résultats proprement historiques et invitera à prendre en considération les conditions socio-historiques de production des textes bibliques.


Comme l’écrit P.M. Beaude, « l’encyclique apparut comme une vraie libération et, pourrait-on dire, comme la charte des études bibliques. Elle favorisait le développement de l’exégèse critique, philologique et historique à un moment où certains mouvements refusaient de l’accepter pour en rester à une exégèse de type allégorique ou spirituel.

Elle favorisait l’étude du sens littéral…. »[1]. Le concile Vatican, la constitution dogmatique Dei Verbum, définira à nouveau que l’exégèse biblique a la charge de manifester le sens du texte, en tenant compte des données de la critique historique. Elle invite à aller au-delà du texte biblique pour mettre à jour l’intention et les intérêts de ses auteurs.

L’exégèse historico-critique a donc pour buts de reconstituer le plus précisément possible les différentes étapes de la composition littéraire des textes bibliques et de repérer leur contexte historique. Ses étapes sont : la critique textuelle, l’histoire des traductions, les recherche des sources, l’établissement des genres littéraires, l’histoire de la tradition et la critique de la rédaction. Par ailleurs, le travail sur les textes bibliques suppose l’étude des langues, l’archéologie, l’histoire des religions et la littérature comparée. La critique historique est ainsi reconnue comme un moment nécessaire de la lecture.

« Se passer de l’approche historique et critique, c’est risquer de laisser dire n’importe quoi et de perdre la mémoire (…)

L’histoire doit garantir la vérité de notre rapport au passé. L’approche historico-critique évite les pièges du fondamentalisme (…) Elle invite de concevoir la révélation comme l’arrivée d’un monde sans chair, sans relais, sans médiations, sans lois. Elle permet ainsi de développer une théologie où le salut de Dieu rencontre l’histoire selon les lois d’une réelle incarnation de la Parole »[2].
A partir des années 1970, l’exégèse historico-critique sort d’elle-même, interpellée par d’autres disciplines, par d’autres sciences du texte : la sémiotique littéraire, la sociologie et la littérature…. On s’aperçoit de l’importance des outils qui permettent de rendre lisible un texte. C’est dire que l’exégèse historico-critique a connu de considérables évolutions, d’un point de départ où les questions de l’histoire du texte étaient prépondérantes à un croisement avec d’autres approches, en particulier narrative et sociologique, jusqu’à en venir à se rendre attentive au processus permanent de relecture intrabiblique.
 
Si une tendance historicisante a pu être reprochée à l’ancienne exégèse historico-critique, il ne conviendrait cependant pas que succède l’excès inverse, à savoir celui d’un oubli de l’histoire, par des lectures se voulant exclusivement synchroniques.

Il n’en reste pas moins qu’en se centrant sur la question de l’écriture du texte, de l’histoire de sa composition et de son enracinement historique, l’exégèse historico-critique laisse de côté la question du lecteur.
Le risque des études historiques des textes, outre d’oublier le texte lui-même en portant presque exclusivement l’attention sur les étapes qui ont précédé et permis le texte actuel, est de ne pas prendre en compte le lecteur actuel.

S’il ne faut pas les éconduire, il convient de prendre tout autant en compte la nécessité de lire les textes bibliques comme des récits et des discours construits selon une grammaire narrative et de les envisager selon un processus de communication.

Les travaux de H. G. Gadamer, puis de P. Ricœur vont, de ce point de vue, avoir une influence considérable sur l’épistémologie de l’exégèse biblique en milieu francophone et vont participer à la remise en question de la stricte séparation entre pôles de l’écriture et de la lecture.

La prise en compte de l’art littéraire de la Bible- See more at: http://www.assomption.org/fr/spirit...xegese-par-sophie-ramond#sthash.6G4LnSTj.dpuf
 
azul ebion le théologien :timide:

Je suis un bien piètre théologien. J'ai bien un diplôme dans cette discipline... mais j'ignore tellement de choses!!

J'ai un peu plus de connaissances en philosophie classique (mettons entre Thalès et la fin du 19e siècle : la philosophie contemporaine franco-allemande, je la digère mal, et je ne suis pas toujours à mon aise non plus dans la philosophie analytique). Et dans le domaine de la philosophie, j'ai surtout mis l'accent sur l'éthique et aussi les discours sur Dieu...) Néanmoins, encore là, je suis loin d'avoir lu tous les classiques, il y a des textes qui m'échappent, du genre Phénoménologie de l'Esprit. Bref... Plus ça va, plus je me sens ignorant et limité!
 
Je suis un bien piètre théologien. J'ai bien un diplôme dans cette discipline... mais j'ignore tellement de choses!!

J'ai un peu plus de connaissances en philosophie classique (mettons entre Thalès et la fin du 19e siècle : la philosophie contemporaine franco-allemande, je la digère mal, et je ne suis pas toujours à mon aise non plus dans la philosophie analytique). Et dans le domaine de la philosophie, j'ai surtout mis l'accent sur l'éthique et aussi les discours sur Dieu...) Néanmoins, encore là, je suis loin d'avoir lu tous les classiques, il y a des textes qui m'échappent, du genre Phénoménologie de l'Esprit. Bref... Plus ça va, plus je me sens ignorant et limité!
Mais non ne te diminue pas je pense que tu as soif de connaissance mais en spiritualité c'est pas aussi simple qu'étudier une langue, petit à petit l'oiseau fais son nid:mignon:
 
@Ebion

J'ai ce livre qui pourrait t'intéressé, " Ceci est la vérité ".

Je te laisse le résumé qui il y a à l'arrière du livre et si tu es intéressé, ne l'achètes pas; je le scannerais et je te l'enverrais en pdf. Inchaa Allah.

Peu de science éloigne de Dieu, beaucoup en rapproche...

En trouvant un sens jusque-là caché à certains versets coranique qui semblent avoir été destinés à prévoir les objections exigeantes de l'esprit scientifique du XXe siècle, d'éminents chercheurs des Etats-Unis, du Canada, d'Allemagne, d'Inde, du Japon, de France, etc. viennent rappeler la pertinence du verset qui fait des savants ceux qui craignent les plus Dieu".

L'ensemble de leurs découvertes montre en effet, non seulement, que le Coran n'est pas mis en défaut par la science moderne, mais de plus que les données scientifiques, toutes récentes présentent de troublantes similitudes avec les énoncés coraniques.

Il n'est pas question ici de faire du Coran un traité de sciences exactes. Il s'agit seulement d'identifier des versets "laissés en réserve" afin de fournir, le moment venu, des preuves destinées à convaincre les tenants du positivisme et du scientisme que le Coran ne serait être l'œuvre du Prophète Mohamed - que Dieu lui accorde la grâce et la paix - ; cette exégèse scientifique du Coran satisfait également les esprits rationalistes séduits par les raffinements de la science moderne et qui ne pouvant "éprouver Dieu" cherche toujours à le "prouver".

Et à Ceux-là le Coran dit : "Nous leur ferons si bien apparaître Nos Signes dans l'univers et en eux-mêmes jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que Ceci est la vérité"(Coran) 41/53).
 
salam

Ebion j'aimerai bien que tu me donne des reperes pour etudier la philosophie
je ne cherche pas à l'etudier dans le detail mais à en avoir une vision general
du genre qui est donné dans la page wiki sur le branche de la philosophie :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophie#Les_branches_de_la_philosophie_occidentale

penses tu que cette page wik donne une vision correcte des principaux theme de la philosophie
je voi par exemple que le "sens de la vie" n'est pas mentionné comme une des branches principale mais comme un but de la philosophie j'ai du mal à saisir la difference entre branche et but en philosophie :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sens_de_la_vie

pour revenir à la question de ton post:
à mon grand regret les etudes sur le coran sont trés rare en francais (je parle de simple etude de texte de type analyse de texte de niveau universitaire voir lyceen ...) alors pour ce qui est d'etude plus poussé demandant de reele competence (historique archéologique etc ...) c pas la peine de trop espérer ...

exemple si un musulmans chercherai à connaitre comment l'islam definie la vie je pense qu'il lui serai difficile de trouvé une reponse je sais parceque j'ai cherché et jusqu'a present je n'ai rien trouvé ...
 
Dernière édition:
salam

pour revenir à la question de ton post:
à mon grand regret les etudes sur le coran sont trés rare en francais (je parle de simple etude de texte de type analyse de texte de niveau universitaire voir lyceen ...) alors pour ce qui est d'etude plus poussé demandant de reele competence (historique archéologique etc ...) c pas la peine de trop espérer ...

Apprendre écouter les cheicks...

Ne soyez pas pessimistes...vous vous coupez vous meme le chemin!

qu'Allah nous facilite
 
wa alaykoum salam

trouver est possible j'ai dit difficile pas impossible
pour une question aussi simple et importante elle devrait se trouvé aussi facilement que ca :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vie

pessimiste : non ... j'essaie de voir les choses de facon realiste
j'aimerai me tromper mais je n'ai qu'a me rendre dans une librairie pour me rappelé la dur réalité .


Amin
 
@typologie

Bonjour :timide:

Il existe plusieurs bonnes introductions à la philosophie (et quelques moins bonnes). J'ai aimé, personnellement "Qu'Est-ce que tout cela veut dire?" de Thomas Nagel. Il y a aussi Comte-Sponville qui a écrit "Présentations de la philosophie" pour les lycéens. Il y a grosso modo deux types d'introductions que l'on trouve : celles où l'auteur essaie de rester neutre et factuel, et celles où l'auteur ne se prive pas de donner ses positions personnelles sur les questions dont il traite, en critiquant ce qu'il croit être des erreurs chez des philosophes.

La différence entre le but de la philosophie et ses branches? C'est un peu comme la différence entre le but de la médecine (la santé) et ses branches (les divers types de maladies qui peuvent affecter une personne : le cœur, la peau, le cerveau, les reins, etc.). Ou encore le but de la biologie (la connaissance du vivant) et ses branches : l'écologie, la physiologie, la génétique, l'évolution, la systématique, la paléontologie, etc.). Les différentes branches de la philosophie sont complémentaires, elles étudient les problèmes ultimes, les problèmes les plus généraux de différentes facettes de l'existence humaine et du monde... On n'est pas obligé de s'intéresser à toutes les questions philosophiques, en tout cas pas en profondeur. Certains s'intéresseront plus au sens de l'art, d'autres au fondement de la politique, d'autres encore à la valeur de la religion, ou à la nature de la science, et ainsi de suite... Il n'empêche que généralement les philosophes ont une certaine culture générale. Le fait qu'ils se spécialisent dans une branche n'empêche pas qu'ils connaissent vaguement ce qui se fait ailleurs. D'ailleurs en lisant des œuvres de philosophes classiques, on s'aperçoit qu'ils abordent divers problèmes parfois dans le même ouvrage (par exemple Descartes parle de la valeur de la connaissance, de l'existence de Dieu, du libre arbitre et de l'âme et du corps, tout ça dans son petit livre "Méditations métaphysiques").

Je distinguerais trois conceptions de la philosophie :
 
Dernière édition:
1) Les philosophes classiques concevaient généralement leur tâche comme la recherche de certitudes sur des problèmes théoriques et pratiques. Donc ils cherchaient des arguments démonstratifs et réfutaient les objections des autres. Il y avait une confiance dans le pouvoir de l'intelligence de connaître la Vérité, une Vérité qui vaudrait pour tous et toujours. Cet idéal de la philosophie est encore porté par plusieurs catholiques par exemple. En fait cet idéal est proche de la vision des religions, mais il y a aussi certains athées qui le partagent.

2) D'autres philosophes, dès l'Antiquité, ont conçu leur tâche comme étant la critique des illusions, la démolition des systèmes d'autres philosophes trop sûrs d'eux et trop naïfs et en même temps la recherche des fondements irrationnels inconscients des prétentions à la vérité des philosophes dogmatiques. Car il ne suffit pas de réfuter une erreur : il faut expliquer ce qui a rendu possible cette erreur... Le philosophe le plus célèbre de cette catégorie est sans doute Nietzsche. On peut aussi nommer Hume, Montaigne, les sceptiques antiques, etc... De nos jours ce courant se prolonge d'une certaine manière dans ce qu'on appelle le postmodernisme, qui ne croit plus aux Vérités absolues valables pour tous en tout temps. Ce postmodernisme cherche à démasquer la violence inconsciente présente dans certaines constructions sociales ou intellectuelles léguées par le passé, notamment la période moderne avec sa prétention à la rationalité et au Progrès.

3) Un troisième groupe de philosophes, surtout représenté par les anglophones depuis le début du 20e siècle, cherche surtout à analyser en finesse le sens du langage employé par les philosophes (exemples : "que signifie être bon?" "que signifie être libre?") et ainsi à clarifier les enjeux philosophiques, à mieux poser les problèmes, à les rendre plus intelligibles, sans nécessairement prétendre offrir des solutions définitives... Ces philosophes peuvent profiter des perfectionnements de la logique moderne. Leur langage est souvent assez aride et abstrait, mais ce genre de réflexions plaît à certains, qui aiment la clarté et la précision.
 
Quoi qu'il en soit, je pense que l'important pour commencer est d'avoir une idée générale des grands problèmes philosophiques qui ont préoccupé et qui préoccupent encore les philosophes et de savoir un peu comment les principaux philosophes ont répondu, et le nom des doctrines principales (exemples : matérialisme, dualisme, déterminisme, libéralisme, scepticisme, réalisme, etc.). Ensuite tu peux creuser certains problèmes que tu trouves plus particulièrement intéressants, en te concentrant sur les œuvres classiques et contemporaines qui en traitent selon divers points de vue.

Une dernière chose : un philosophe doit avoir une certaine connaissance de l'état actuel de la science, pour éviter de confondre des erreurs scientifiques avec des points de vue philosophiques légitimes. Par exemple il est bon de savoir que les biologistes ont rejeté l'idée de finalité dans la description du vivant et de son évolution. Certains philosophes classiques et certains de leurs disciples mal informés défendaient cette idée obsolète. Pas besoin d'étudier en science pour cela, mais simplement lire de bonnes vulgarisations.
 
wikipedia ....

wikipedia est un trés bonne outils de recherche et de vulgarisation
j'aimerai en avoir un equivalent islamique cela me rendrai la vie plus simple ...

pour te rendre compte de la difficulté auquel je suis confronté essaie de repondre à ces 2 questions :
la premiere est difficile la seconde plus facile :
1/est ce que les elements inanimé exemple montagne pierre arbre objet etc ... sont consideré comme des etres vivant en islam ?
2/l'islam qualifie les croyants de vivant et le mecreant de mort quel sens donné à ces qualificatif ?
 
wikipedia est un trés bonne outils de recherche et de vulgarisation
j'aimerai en avoir un equivalent islamique cela me rendrai la vie plus simple ...

pour te rendre compte de la difficulté auquel je suis confronté essaie de repondre à ces 2 questions :
la premiere est difficile la seconde plus facile :
1/est ce que les elements inanimé exemple montagne pierre arbre objet etc ... sont consideré comme des etres vivant en islam ?
2/l'islam qualifie les croyants de vivant et le mecreant de mort quel sens donné à ces qualificatif ?

si tu te poses des questions qui ne te seront pas utiles, oublies les.

déjà ca permet de se concentrer sur les choses essentiels, ça évite que d'autres questions viennent embuer ton esprit!

en gros = occupes ton esprit par des notions essentielles si tu ne veux pas que ce soit ton esprit qui s'occupe de toi.

la deuxieme question, je sais. Mais pas envie de pianoté juste parce que le net nous l'oblige..alors

Allah sait mieux...

vous m'excuserez, et demandez guidance à Allah à travers chaque questionnement, si une réponse doit vous etre donné, Allah décidera quand comment et par qui.
 
merci Ebion pour toutes ces informations et pour le titre des 2 ouvrages sur l'intro à la philo
insha Allah je reviendrai par la suite pour te posé une ou 2 questions sur le sujet si tu me le permet .
 
si tu te poses des questions qui ne te seront pas utiles, oublies les.

déjà ca permet de se concentrer sur les choses essentiels, ça évite que d'autres questions viennent embuer ton esprit!

en gros = occupes ton esprit par des notions essentielles si tu ne veux pas que ce soit ton esprit qui s'occupe de toi.

la deuxieme question, je sais. Mais pas envie de pianoté juste parce que le net nous l'oblige..alors

Allah sait mieux...

vous m'excuserez, et demandez guidance à Allah à travers chaque questionnement, si une réponse doit vous etre donné, Allah décidera quand comment et par qui.

elle me sont utiles cela me permet entre autre de comprendre dans quel langage me parle le Coran :
allegorique litteral ou autre ...

exemple quand le coran d'ecrit la terre les montagnes le ciel etc ... avec des emotions humaines
il est important celon moi de comprendre dans quel sens prendre ces versets ...
 
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