Le jeu du pendu

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Crack
  • Date de début Date de début
tu fais de la peine : (

; )

MDR non serieux je suis pas concentrée sur le post LOL
Je lis vite fait et j'ai cru que c'était ça lol

ça s'appelle louper le coche. Concentre toi c'est pas fini !!!!!!!!!!!!!!!!

Han mais c'est que tu es gentil crackounet (ça y est je t'ai donné un surnom t'es foutu!)

je t'avoue que je l'ai été un moment :rouge :; )

Ah mais tu peux c'était tres comique comme situation :D
 
Classement :


stratajaim 4 points
eshita 3 points
cookdating 2 points
mririkchia 2 points
Crack 2 points
mido94 2 points
Naveen 2 points
FCBG 1 point
inyane 1 point
doonia 1 point
Chebakkia 1 point
miasssa 1 point
kewkew 1 point
missdu30 1 point
Samyrah11 1 point


à toi et félicitations !
 
ton mot n'est pas valide c'est un mot composé que tu nous as fais deviner comme étant un seul

c'est comme si je mettais anti-fumeurs etc...

NOOOOOOOOOOOOON

ça existe, cherche dans ton dictionnaire et arrête de pleurnicher hahaha :D

va d'abord féliciter Naveen ;)


je propose un I
 
La méthode de l'antidiagonale

Il s'agit de démontrer par l'absurde que l'ensemble des nombres réels n'est pas dénombrable,
c'est-à-dire qu'il ne peut exister de bijection de N dans R 5. Ayant préalablement réduit le problème à
l'intervalle [ 0, 1] 6, on le déplace vers un ensemble de suites. Chacun des réels de [ 0, 1] admet un
développement décimal et, tout aussi bien, un développement binal 7 : tout réel de cet intervalle peut
prendre la forme 0, ... , les points de suspension représentant une suite de nombres binaires, c'est-à-
dire de zéros et de uns. On appellera suites binaires de telles suites. Inversement, à toute suite
∞
bn
binaire S = b0 b1 b2 ... , où chacun des bn est l'un des binaires 0 ou 1, correspond le réel ∑ n1 8.
n=0 2

Le problème revient ainsi à démonter par l'absurde que l'ensemble Σ des suites binaires n'est pas
dénombrable. Supposons donc qu'il le soit. Grâce à une bijection σ appliquant N sur Σ, chaque suite
binaire bénéficie d'un numéro d'ordre, aussi appelé indice de la suite.

σ : N → Σ
n → Sn

:cool:
 
La méthode de l'antidiagonale

Il s'agit de démontrer par l'absurde que l'ensemble des nombres réels n'est pas dénombrable,
c'est-à-dire qu'il ne peut exister de bijection de N dans R 5. Ayant préalablement réduit le problème à
l'intervalle [ 0, 1] 6, on le déplace vers un ensemble de suites. Chacun des réels de [ 0, 1] admet un
développement décimal et, tout aussi bien, un développement binal 7 : tout réel de cet intervalle peut
prendre la forme 0, ... , les points de suspension représentant une suite de nombres binaires, c'est-à-
dire de zéros et de uns. On appellera suites binaires de telles suites. Inversement, à toute suite
∞
bn
binaire S = b0 b1 b2 ... , où chacun des bn est l'un des binaires 0 ou 1, correspond le réel ∑ n1 8.
n=0 2

Le problème revient ainsi à démonter par l'absurde que l'ensemble Σ des suites binaires n'est pas
dénombrable. Supposons donc qu'il le soit. Grâce à une bijection σ appliquant N sur Σ, chaque suite
binaire bénéficie d'un numéro d'ordre, aussi appelé indice de la suite.

σ : N → Σ
n → Sn

:cool:
Je sais ce que c'est donne moi te lien plutôt...
 
Retour
Haut