par Deedee
Ahah, nous y voilà , au legging !!!!
Pour tous ceux ou celles qui ne sauraient pas ? quoi ressemble cette chose très… curieuse, facile. Imaginez un collant, très opaque, et sans pied. Avant d'être fashion, on appelait d'ailleurs le legging "collant sans pied". Evidemment, legging, c'est plus classe.
Le must du legging, c’est d’être porté sous une micro jupe, sous un bermuda, sous une robe. L’avantage est que ça doit certainement tenir bien chaud, un argument qui avait tôt fait de convaincre la frileuse que je suis. Oui mais voilà , après un essayage en bonne et due forme, il apparaît que les leggings et moi, on ne va pas être amis. Pas du tout ! La conclusion de mon expérience tient en un mot : GRO-TESQUE.
Un soir pas fait comme un autre, je décide de tenter l’expérience. Les leggings commencent ? pulluler ça et là - certes, surtout dans les magazines - et j’avoue qu’a priori, je ne suis pas encore hyper fan des premières filles qui l’arborent dans la rue. Premières, oui, car si la tendance a éclos il y a quelques bons mois, voire années, on ne peut pas vraiment dire que la mayonnaise ait pris... Mais après tout, j’ai bien succombé au slim, pourquoi pas aux leggings. Et puis... vous savez ce qu’on dit sur les imbéciles ! Quoi qu’il en soit, je préfère me lancer chez moi bien au chaud. Le miroir a beau ne pas être tendre, son silence a le mérite d’être infiniment moins humiliant que les regards compatissants ou accablants de certaines greluches.
Toute alléchée que je suis par l’expérience, je récupère dans mon carton « sport », celui qui est tout en haut de l’armoire sous trois autres cartons et où s’entassent plus de maillots de bain et de paréos que d’équipements sportifs !, un vieux collant sans pied traîne depuis au bas mot 15 ans, du temps où je faisais de la danse. Inutile de dire qu’il est un chouïa trop petit, je n’ai hélas plus la ligne de mes 15 ans, mais pour un essayage, ça fera l’affaire. Je sors aussi ma mini jupe en jean, celle dont je raffole uniquement l’hiver avec bottes because l’été sans collant, c’est absolument inenvisageable, et zou ! j’enfile le tout. Je lève un œil inquisiteur sur le miroir, et j’ai immédiatement envie de rire aux éclats. Ou de pleurer. C’est bien simple, je ne ressemble à rien. Rien ! Comme je suis de bonne humeur ce soir là , je finis par éclater de rire. La fille qui me fait face semble être un troll déguisé en fashion victim, une fille complètement étriquée dans son legging et surtout, surtout, vulgaire ? souhait. Comprends pas. Dans le métro la semaine dernière, cette fille, elle était tellement canon avec le même accoutrement ! Impossible, il DOIT y avoir une solution... Les chaussures, bon sang mais c’est bien sûr, que n’y ai-je pensé plus tôt ?!!!! J’essaye immédiatement l’intégralité de mon placard à chaussures - et je peux vous dire, ça en fait de la chaussure…- : ballerines à talons, ballerines plates, chaussures à bout rond et hauts talons, chaussures pointues et j’en passe… Toujours rien. La seule paire qui trouvera un chouïa grâce ? mes yeux, c’est ma paire de bottes fétiches, mais, évidemment, le legging dans les bottes, c’est un peu couillon, puisque si vous me suivez bien, on ne voit plus vraiment que c’est un legging dans ce cas l? .
La conclusion est sans appel : le legging et moi, on n’est vraiment pas fait pour s’entendre. Le look Glam’rock tendance années 80 est un peu trop prononcé pour moi, l? , ? ce stade, je n’assume plus. Le legging, c’est un peu la porte ouverte à toutes les fenêtres : moins deux, je me tonds les cheveux et je me les décolore en blond platine à la « Desireless » style.
Pour la peine, le collant de danse retourne illico dans le carton sport pour les 15 prochaines années. Fallait pas m’énerver, non mais.
Bon, moi, ça ne me va pas, mais vous… vous en pensez quoi du legging ?
Ahah, nous y voilà , au legging !!!!
Pour tous ceux ou celles qui ne sauraient pas ? quoi ressemble cette chose très… curieuse, facile. Imaginez un collant, très opaque, et sans pied. Avant d'être fashion, on appelait d'ailleurs le legging "collant sans pied". Evidemment, legging, c'est plus classe.
Le must du legging, c’est d’être porté sous une micro jupe, sous un bermuda, sous une robe. L’avantage est que ça doit certainement tenir bien chaud, un argument qui avait tôt fait de convaincre la frileuse que je suis. Oui mais voilà , après un essayage en bonne et due forme, il apparaît que les leggings et moi, on ne va pas être amis. Pas du tout ! La conclusion de mon expérience tient en un mot : GRO-TESQUE.
Un soir pas fait comme un autre, je décide de tenter l’expérience. Les leggings commencent ? pulluler ça et là - certes, surtout dans les magazines - et j’avoue qu’a priori, je ne suis pas encore hyper fan des premières filles qui l’arborent dans la rue. Premières, oui, car si la tendance a éclos il y a quelques bons mois, voire années, on ne peut pas vraiment dire que la mayonnaise ait pris... Mais après tout, j’ai bien succombé au slim, pourquoi pas aux leggings. Et puis... vous savez ce qu’on dit sur les imbéciles ! Quoi qu’il en soit, je préfère me lancer chez moi bien au chaud. Le miroir a beau ne pas être tendre, son silence a le mérite d’être infiniment moins humiliant que les regards compatissants ou accablants de certaines greluches.
Toute alléchée que je suis par l’expérience, je récupère dans mon carton « sport », celui qui est tout en haut de l’armoire sous trois autres cartons et où s’entassent plus de maillots de bain et de paréos que d’équipements sportifs !, un vieux collant sans pied traîne depuis au bas mot 15 ans, du temps où je faisais de la danse. Inutile de dire qu’il est un chouïa trop petit, je n’ai hélas plus la ligne de mes 15 ans, mais pour un essayage, ça fera l’affaire. Je sors aussi ma mini jupe en jean, celle dont je raffole uniquement l’hiver avec bottes because l’été sans collant, c’est absolument inenvisageable, et zou ! j’enfile le tout. Je lève un œil inquisiteur sur le miroir, et j’ai immédiatement envie de rire aux éclats. Ou de pleurer. C’est bien simple, je ne ressemble à rien. Rien ! Comme je suis de bonne humeur ce soir là , je finis par éclater de rire. La fille qui me fait face semble être un troll déguisé en fashion victim, une fille complètement étriquée dans son legging et surtout, surtout, vulgaire ? souhait. Comprends pas. Dans le métro la semaine dernière, cette fille, elle était tellement canon avec le même accoutrement ! Impossible, il DOIT y avoir une solution... Les chaussures, bon sang mais c’est bien sûr, que n’y ai-je pensé plus tôt ?!!!! J’essaye immédiatement l’intégralité de mon placard à chaussures - et je peux vous dire, ça en fait de la chaussure…- : ballerines à talons, ballerines plates, chaussures à bout rond et hauts talons, chaussures pointues et j’en passe… Toujours rien. La seule paire qui trouvera un chouïa grâce ? mes yeux, c’est ma paire de bottes fétiches, mais, évidemment, le legging dans les bottes, c’est un peu couillon, puisque si vous me suivez bien, on ne voit plus vraiment que c’est un legging dans ce cas l? .
La conclusion est sans appel : le legging et moi, on n’est vraiment pas fait pour s’entendre. Le look Glam’rock tendance années 80 est un peu trop prononcé pour moi, l? , ? ce stade, je n’assume plus. Le legging, c’est un peu la porte ouverte à toutes les fenêtres : moins deux, je me tonds les cheveux et je me les décolore en blond platine à la « Desireless » style.
Pour la peine, le collant de danse retourne illico dans le carton sport pour les 15 prochaines années. Fallait pas m’énerver, non mais.
Bon, moi, ça ne me va pas, mais vous… vous en pensez quoi du legging ?