Al Adl Wa Al Ihsan : Le Maroc est coresponsable des tueries en Egypte
Lemag : Le groupe islamiste dissident Al Adl Wa Al Ihsan, opposant de principe à la monarchie, fait feu de tout bois dans son combat contre elle, la crise sanglante en Egypte fut sa dernière trouvaille pour diaboliser le Maroc et la monarchie en allant les accuser de tremper dans le carnage des frères musulmans en Egypte.
En effet, durant la procession islamiste organisée à Rabat, en soutien aux frères musulmans en Egypte, qui se battent armes à la main, contre l’armée égyptienne, les islamistes marocains se sont adonnées à une véritable démonstration politique, durant laquelle, les accusations les plus invraisemblables ont fusé à l’encontre du Roi et du gouvernement.
Durant cette manifestation qui a tourné au règlement de comptes politicien, Hassan Benajah, le responsable du pôle médiatique de groupe dissident Al Adl Wa Al Ihsane, est allé jusqu’à accuser le Maroc et la royauté, d’être associés de la junte militaire égyptienne dans les tueries d’islamistes, perpétrées lors des prises d’assauts des places Rabaa Adaouia, Ennahda et la mosquée Al Fath au Caire.
«Le Roi a été parmi les premiers à féliciter le président des putschistes Adly Mansour, arrivé au pouvoir sur le dos d’un char» a déclaré Hassan Benajah, ajoutant que par ces félicitations adressés, «Le Maroc se retrouve associé dans le carnage commis en Egypte contre les islamistes».
«Le Maroc soutient les bouchers qui assassinent les islamistes égyptiens et a donné par ses encouragement le feu vert à ses crimes» a vilipendé l’islamiste marocain dissident.
Pour sa part son chef hiérarchique à la Jamaa, le secrétaire général d’Al Adl Wa Al Ihsan, Mohamed Abadi, a été moins virulent mais non moins inventif en accusations et en menaces, que son préposé à la propagande Hassan Benajah.
Ainsi, il a déclaré que la position du Maroc à l’égard des événements en cours en Egypte, «était ambiguë et empreinte d’indécision».
«Nous aurions souhaité que le Maroc exprime plus que sa consternation après les tueries du Caire, il aurait fallu au moins chasser l’ambassadeur d’Egypte à Rabat» a annoncé Abadi, selon un pure player arabophone de la place, avant de menacer en disant «que ceux qui encouragent les putschistes en Egypte par leur félicitations, sachent que leur tours viendra».
le mag .
Lemag : Le groupe islamiste dissident Al Adl Wa Al Ihsan, opposant de principe à la monarchie, fait feu de tout bois dans son combat contre elle, la crise sanglante en Egypte fut sa dernière trouvaille pour diaboliser le Maroc et la monarchie en allant les accuser de tremper dans le carnage des frères musulmans en Egypte.
En effet, durant la procession islamiste organisée à Rabat, en soutien aux frères musulmans en Egypte, qui se battent armes à la main, contre l’armée égyptienne, les islamistes marocains se sont adonnées à une véritable démonstration politique, durant laquelle, les accusations les plus invraisemblables ont fusé à l’encontre du Roi et du gouvernement.
Durant cette manifestation qui a tourné au règlement de comptes politicien, Hassan Benajah, le responsable du pôle médiatique de groupe dissident Al Adl Wa Al Ihsane, est allé jusqu’à accuser le Maroc et la royauté, d’être associés de la junte militaire égyptienne dans les tueries d’islamistes, perpétrées lors des prises d’assauts des places Rabaa Adaouia, Ennahda et la mosquée Al Fath au Caire.
«Le Roi a été parmi les premiers à féliciter le président des putschistes Adly Mansour, arrivé au pouvoir sur le dos d’un char» a déclaré Hassan Benajah, ajoutant que par ces félicitations adressés, «Le Maroc se retrouve associé dans le carnage commis en Egypte contre les islamistes».
«Le Maroc soutient les bouchers qui assassinent les islamistes égyptiens et a donné par ses encouragement le feu vert à ses crimes» a vilipendé l’islamiste marocain dissident.
Pour sa part son chef hiérarchique à la Jamaa, le secrétaire général d’Al Adl Wa Al Ihsan, Mohamed Abadi, a été moins virulent mais non moins inventif en accusations et en menaces, que son préposé à la propagande Hassan Benajah.
Ainsi, il a déclaré que la position du Maroc à l’égard des événements en cours en Egypte, «était ambiguë et empreinte d’indécision».
«Nous aurions souhaité que le Maroc exprime plus que sa consternation après les tueries du Caire, il aurait fallu au moins chasser l’ambassadeur d’Egypte à Rabat» a annoncé Abadi, selon un pure player arabophone de la place, avant de menacer en disant «que ceux qui encouragent les putschistes en Egypte par leur félicitations, sachent que leur tours viendra».
le mag .