Le maroc leader mondial de production de sardines, pourtant elles restent un luxe au maroc

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion sevet
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Je me suis arrêtée au titre!
La sardine est un luxe dans d'autres pays notamment en France ou le poisson est chère et il faut plus au moins payé environs 4€ le kilo d'après des vagues souvenirs.
Tandis qu'au Maroc, c'est le poisson le moins cher toujours bon en grillade, en friture, f folane...je pense qu'au max ça doit faire 10DH le kg et même s'arrêter au bord de la mer payé une restauration d'un bon chouwayate de sardine reviendrait à cette fourchette de prix.
N'exagérons rien, je pense que les crevettes sont plus chers et certains poissons, fruits de mers.
 
je viens du rif et je suis assez loin de la cote.....

vers chez nous tu trouves rarement de la sardine sur les marchés et si t'en trouve je te déconseille de l'acheter
loin de la côte dans le rif, ajdir c'est d côté d'el Hoceima?

Vous faites quoi pour que les sardines soit in-mangeable ?

Dis le moi la méditerranée c'est petit toute la côte est peut être gravement pollué
 
Au Japon, seul pays à avoir réussi à quasi-stabiliser et localement restaurer sa ressource halieutique marine, environ 350 modèles de récifs répondant aux besoins de différentes espèces et aux conditions de milieu ont été construits sur environ 20 000 sites (en 2001, avec un budget annuel d'un milliard d'euros pour l’étude et bio-aménagement des fonds marins) après des travaux empiriques, puis scientifiques, basés sur l’étude in-situ des comportements, besoins et capacités de migration/recolonisation des espèces locales. Ces récifs protègent et attirent aujourd’hui des dizaines de millions de poissons et crustacés. Les plus grands de ces récifs mesurent plusieurs milliers de mètres cubes et 80 mètres de haut.

En France, seule une quarantaine d’expérience ont été mises en place, essentiellement à l’initiative de 2 chercheurs spécialisés de l'Université de Montpellier, dont Sylvain Pioch, chercheur au laboratoire GESTER (Gestion des sociétés, des territoires et des risques) à l’Université Paul-Valéry de Montpellier formé au Japon[1]. Quelques autres projets sont en cours (dont ceux étudiés par Egis-eau, qui doit installer 200 récifs au large d'Agde, Hérault) (10 m 3 chacun environ, posés à des profondeurs de 10 à 30 mètres), avec le concours et suivi de l'école des mines d'Alès et le CNRS.[2] La Ville de Marseille a également lancé en 2008 l'opération "Récifs Prado" dans la rade sud de Marseille, pour repeupler les fonds quasi désertique de cette zone (http://www.marseille.fr/sitevdm/environnement/espaces-naturels/recifs-du-prado).

Outre-Mer, La Réunion s'est engagée dans un programme expérimental depuis 2002, à l'initiative des pêcheurs professionnels. Depuis 2007, de nouveaux prototypes en béton recyclé ont été conçus et immergés dans le cadre d'un programme baptisé "CORAIL Réunion", ayant aussi comme objectif de promouvoir la colonisation coralienne sur ces structures[3].

http://fr.wikipedia.org/wiki/Récif_artificiel
 
Au Japon, seul pays à avoir réussi à quasi-stabiliser et localement restaurer sa ressource halieutique marine, environ 350 modèles de récifs répondant aux besoins de différentes espèces et aux conditions de milieu ont été construits sur environ 20 000 sites (en 2001, avec un budget annuel d'un milliard d'euros pour l’étude et bio-aménagement des fonds marins) après des travaux empiriques, puis scientifiques, basés sur l’étude in-situ des comportements, besoins et capacités de migration/recolonisation des espèces locales. Ces récifs protègent et attirent aujourd’hui des dizaines de millions de poissons et crustacés. Les plus grands de ces récifs mesurent plusieurs milliers de mètres cubes et 80 mètres de haut.

En France, seule une quarantaine d’expérience ont été mises en place, essentiellement à l’initiative de 2 chercheurs spécialisés de l'Université de Montpellier, dont Sylvain Pioch, chercheur au laboratoire GESTER (Gestion des sociétés, des territoires et des risques) à l’Université Paul-Valéry de Montpellier formé au Japon[1]. Quelques autres projets sont en cours (dont ceux étudiés par Egis-eau, qui doit installer 200 récifs au large d'Agde, Hérault) (10 m 3 chacun environ, posés à des profondeurs de 10 à 30 mètres), avec le concours et suivi de l'école des mines d'Alès et le CNRS.[2] La Ville de Marseille a également lancé en 2008 l'opération "Récifs Prado" dans la rade sud de Marseille, pour repeupler les fonds quasi désertique de cette zone (http://www.marseille.fr/sitevdm/environnement/espaces-naturels/recifs-du-prado).

Outre-Mer, La Réunion s'est engagée dans un programme expérimental depuis 2002, à l'initiative des pêcheurs professionnels. Depuis 2007, de nouveaux prototypes en béton recyclé ont été conçus et immergés dans le cadre d'un programme baptisé "CORAIL Réunion", ayant aussi comme objectif de promouvoir la colonisation coralienne sur ces structures[3].


http://fr.wikipedia.org/wiki/Récif_artificiel

Le maroc aussi est dans un vaste projet halieutique;)
 
Le poisson en gnrl reste un plat de riche.
Prix fin 2013:
Le merlan, par exemple, se vend entre 80 et 100 DH le kilogramme tandis que la sardine atteint 30 DH.
Au marché central, le pageot frôle la barre des 100 DH alors que le pageot royal se négocie à 20 ou 30 DH de plus. Le saint-pierre est vendu entre 130 et 140 DH de même que la dorade. Les crevettes roses, elles, s’écoulent à 120 DH tandis que le calamar démarre à partir de 100 DH. Le thon affiche 160 DH le kilo, la raie autour de 300 DH et le merlan entre 85 et 95 DH. Les vendeurs, d’habitude ravis par les hausses de prix synonymes de meilleur chiffre d’affaires, se plaignent vu que la consommation ne suit pas. «Les prix trop élevés contraignent les clients à réduire la quantité achetée quand ils ne les font pas fuir tout bonnement», se plaint Abdelwahed, poissonnier au marché central.
 
Prix fin 2013:
Le merlan, par exemple, se vend entre 80 et 100 DH le kilogramme tandis que la sardine atteint 30 DH.
Au marché central, le pageot frôle la barre des 100 DH alors que le pageot royal se négocie à 20 ou 30 DH de plus. Le saint-pierre est vendu entre 130 et 140 DH de même que la dorade. Les crevettes roses, elles, s’écoulent à 120 DH tandis que le calamar démarre à partir de 100 DH. Le thon affiche 160 DH le kilo, la raie autour de 300 DH et le merlan entre 85 et 95 DH. Les vendeurs, d’habitude ravis par les hausses de prix synonymes de meilleur chiffre d’affaires, se plaignent vu que la consommation ne suit pas. «Les prix trop élevés contraignent les clients à réduire la quantité achetée quand ils ne les font pas fuir tout bonnement», se plaint Abdelwahed, poissonnier au marché central.
Je crois qu'il y a des différences de prix par rapport ou réside l'habitant si t'es plus loin de la mer ou la quantité pêché, etc...
 
Je crois qu'il y a des différences de prix par rapport ou réside l'habitant si t'es plus loin de la mer ou la quantité pêché, etc...
Re didadoune,
Ici ce sont les prix du poisson frais au marché central. Ensuite si tu vas dans des petits ports de pêche les prix seront plus bas (moins de frais).
 
Précision : "luxe" est le mot choisi par Yabiladi.

contrebande, pas contrefaçon..... agadir c'est la cote pas l’intérieur des terres.....
Tu es le seul à avoir compris l'article, enfin "compris" je crois qu'ils n'ont tout simplement pas lu l'article... :prudent:

je viens du rif et je suis assez loin de la cote.....

vers chez nous tu trouves rarement de la sardine sur les marchés et si t'en trouve je te déconseille de l'acheter
Pareil dans la région de mon père, tu ne trouves pas du tout de poisson, il doivent aller jusqu'à Meknès (et encore la sardine est un poisson qui prend facilement de l'odeur, alors avec les conditions de conservation que nous voyons dans nos marchés, je te laisse imaginer le gout... *infecte* ) .
Pourtant la sardine marocaine est très bonne, mais si tu vis dans le Maroc profond (lorsque tu trouves du poisson) le niveau d’hygiène fait peur :malade:
 
loin de la côte dans le rif, ajdir c'est d côté d'el Hoceima?

Vous faites quoi pour que les sardines soit in-mangeable ?

Dis le moi la méditerranée c'est petit toute la côte est peut être gravement pollué
c'est pas le même Ajdir, elles sont juste rarement fraiches .....
 
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