le négationnisme du peuple palestinien...

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ennemideta

...de passage nous sommes...
salut les galettes

bon ramadan

definition avant tout :
Selon l’article II de la Convention de 1948 sur la prévention et la répression du crime de génocide le génocide s’entend de l’un quelconque des actes ci-après, commis dans l’intention de détruire , ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :

  • Meurtre de membres du groupe ;
  • Atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe ;
  • Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ;
  • Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ;
  • Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe ».
Comme le précise une explication des Nations Unies sur la Convention sur le génocide : « La définition du génocide se compose de deux éléments, à savoir l’élément physique, qui renvoie aux actes commis, et l’élément mental, qui renvoie à l’intention . L’intention est l’élément le plus difficile à déterminer. Pour qu’il y ait génocide, il doit y avoir une intention avérée de la part des auteurs de détruire physiquement un groupe national, ethnique, racial ou religieux. La destruction culturelle ne suffit pas, ni l’intention de simplement disperser un groupe, bien qu’elle puisse constituer un crime contre l’humanité tel qu’indiqué dans le Statut de Rome. C’est cette intention spécifique (ou dolus specialis) qui fait du génocide un crime si unique . Pour parler de génocide, il doit également être établi que les victimes sont ciblées de manière délibérée et non aléatoire, en raison de leur appartenance réelle ou perçue à l’un des quatre groupes protégés par la Convention. Cela signifie que la cible de la destruction doit être le groupe en tant qu’entité, ou même une partie du groupe, mais pas ses membres à titre individuel. »

une question qui me turlipine
peux t on taxer de négationnisme les medias européen qui font du dénis pour le genocide du peuple palestinien commis par les dirigeants juifs de Palestine ou faut il attendre le verdict de la cour international de justice?

autre chose selon wikipedia concernant un fait historique
je cite
"L’exode palestinien de 1948 fait référence à l'expulsion et à l'exode d'une partie de la population arabe de Palestine qui se produit avant et pendant la guerre israélo-arabe de 1948. L'événement reste présent dans la mémoire collective palestinienne en tant que Nakba (en arabe : النكبة, An-Nakbah, lit. « désastre » ou « catastrophe »). Entre 700 000 et 750 000 palestiniens — sur les 900 000 qui vivaient dans les territoires qui seront sous contrôle israélien à l'issue de la guerre — fuient ou sont chassés de leurs terres."

ne s agit il pas plutôt d une deportation ? comme ce que l on vit actuellement mise a par que a l heure actuelle c est une deportation qui s affiche sans taboux par les dires du president ricain et juif de palestine
 
« QUAND REAGAN ET BEGIN DISCUTAIENT DE L’EXPULSION DES PALESTINIENS »

« Quand Reagan et Begin discutaient de l’expulsion des Palestiniens » (du Liban) titre Haaretz le 6 juin 2022. Le 21 juin 1982, le premier ministre israélien rend visite au président américain.

L’invasion israélienne du Liban a commencé deux semaines avant. Menahem Begin souhaite « trouver une solution au problème » des réfugiés palestiniens — 400 000 au Liban à l’époque.

Il faut les en expulser « au moins en partie », argue-t-il. Le président américain Ronald Reagan répond :
« Quelqu’un a-t-il pris le temps de demander aux Palestiniens ce qu’ils en pensent ? ». Expulser les réfugiés n’est pas réaliste, plaide-t-il.

« Une solution, on la trouve quand on a la volonté de la trouver », rétorque Begin. Une discussion entre amis.

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Sabra et Chatila: retour sur un massacre impuni

Pendant quarante heures, entre le 16 et le 18 septembre 1982, des centaines de civils palestiniens, en majorité des femmes et des enfants, sont massacrés dans les camps de Sabra et de Chatila. Quarante ans après, on en sait un peu plus sur ce carnage pour lequel personne n’a jamais été condamné.

Dans l’après-midi, tandis que la tuerie se poursuit dans certains secteurs, les premiers journalistes, dont des Européens, pénètrent à Chatila. Les rues sont jonchées de cadavres d’enfants, de femmes et d’hommes. Certains ont les poings et les chevilles liés, d’autres, surpris dans leur sommeil, sont en sous-vêtements ou en pyjama.

Des corps mutilés à l’arme blanche

Beaucoup de corps portent des traces de mutilations et de torture. Ici, une femme enceinte éventrée.

Là, un nourrisson coupé en deux, plus loin, un homme la tête tranchée. Les tueurs ont déployé une cruauté innommable, massacrant à l’arme blanche tout ce qui bougeait, n’épargnant rien ni personne, pas même les chevaux.

« Les dix doigts étaient coupés comme avec une cisaille de jardinier […] Les bouts des doigts, les phalangettes, avec l’ongle, étaient dans la poussière », écrira Jean Genet dans un récit poignant. Les corps boursouflés en décomposition gisaient encore dans les rues d’où se dégageait une insupportable puanteur.

La force des images provoque la stupeur.Les médias israéliens accusent, pour leur part, les milices de la droite chrétienne (Forces libanaises, parti des phalanges-Kataëb et milices du commandant dissident de l’armée libanaise Saad Haddad), d’avoir perpétré le carnage pour venger la mort de Bachir Gemayel.

3 500 victimes, avancés par le journaliste et écrivain israélien Amnon Kapeliouk, auteur de Sabra et Chatila, Enquête sur un massacre (Le Seuil). L’armée israélienne parle de 800 morts.

Une célèbre historienne palestinienne, Bayan Nouyawhed al-Hout, a publié les noms de 1400 victimes, identifiées grâce à des témoignages de survivants et de proches.


Des centaines d’hommes disparus

Mais c’est sans compter les centaines de disparus, essentiellement des hommes, systématiquement séparés de leurs familles et embarqués à bord de véhicules militaires sans jamais réapparaître.

L’énormité du crime provoque une grande émotion de par le monde. Soumis à de fortes pressions, le gouvernement israélien finit par former, le 28 septembre, une « commission d’enquête.

Après des mois d’investigation, la commission publie, en 1983, le rapport Kahane qui conclut à la responsabilité directe des milices chrétiennes, et à la responsabilité indirecte d’Israël.

Les enquêteurs estiment qu’Ariel Sharon, ministre de la Défense à l’époque, n’avait pas pris « des mesures appropriées » susceptibles d’éviter le massacre. Il est invité à remettre sa démission, ce qu’il fera en février 1983, pour être nommé ministre sans portefeuille quelques jours plus tard.

Le Premier ministre Menahem Begin et Yitzhak Shamir, ministre des Affaires étrangères, sont blâmés pour avoir agi avec « indifférence » ou « légèreté ».

Aucune sanction n'est recommandée contre Rafael Eytan, chef d'état-major de l’armée.

L’enquête libanaise, diligentée sous le mandat du président Amine Gemayel, lui-même issu du parti Kataëb, n’aboutira jamais.

Au fil des ans, de nouvelles révélations faites par des chercheurs et des journalistes permettent de mieux comprendre le rôle de chaque acteur dans ce massacre.

En 2012, le chercheur américain à l’University College de Londres, Seth Anziska, a accès en Israël à des annexes secrètes déclassifiées du rapport Kahane.

Dans un article écrit pour le New York Times (NYT), il souligne que les responsables américains étaient au courant de ce qui se passait dans les camps et n’avaient pas réagi pour faire cesser le massacre.

Le chercheur écrit qu’à la suite d’une réunion, le 17 septembre 1982, entre le diplomate américain Morris Draper et l’ambassadeur à Tel-Aviv Sam Lewis, d’une part, Ariel Sharon, Rafael Eytan et Yehoshua Saguy de l’autre, « les Israéliens obtiennent des Américains le maintien des miliciens phalangistes dans les camps pour encore 48 heures ».

Un massacre planifié de longue date.

M. Bergman évoque une réunion secrète, le 19 septembre 1982, entre, d’un côté, des dirigeants libanais chrétiens et, de l’autre, Raphaël Eytan et d’autres responsables militaires israéliens. L’objet de la rencontre, « établir une version unifiée des faits pour la présenter à l’international », alors que les condamnations du massacre commençaient à prendre de l’ampleur.

Le rapport laisse penser que le massacre avait été planifié des semaines avant l’assassinat de Bachir Gemayel.

Le chercheur rapporte que lors d’une réunion le 11 juillet 1982, Ariel Sharon aurait exprimé des propos selon lesquels il fallait « anéantir la partie sud de Beyrouth ».

Malgré toutes ces révélations et bien que 40 ans se soient écoulés, jamais personne n’a été condamné pour ce massacre.

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" Le négationnisme palestinien "

Le négationnisme sur les crimes de guerre, crimes contre l'humanité et nettoyage ethnique envers le peuple palestinien.

Rien que ça c'est énorme et ces sionistes, avec tout le cynisme qui les caractérise, débattent sur l'accusation de génocide.
 
" Le négationnisme palestinien "

Le négationnisme sur les crimes de guerre, crimes contre l'humanité et nettoyage ethnique envers le peuple palestinien.

Rien que ça c'est énorme et ces sionistes, avec tout le cynisme qui les caractérise, débattent sur l'accusation de génocide.

C'est à ça qu'on les reconnait

Battage médiatique et intimidation pour entretenir ce qu'ils ont subi H24 et pressions politiques et judiciaires contre les voix discordantes sur ce qu'ils commettent à leur tour comme crimes expansionistes non pas contre leurs anciens bourreaux mais contre des peuples à des milliers de km du lieu du crime européen.

Les occidentaux ont crée un monstre assoiffé de sang qui les dépassent.

Ils l'acceptent tant qu'ils n'en font pas les frais.

Du moins le pensent ils.

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