Le Qatar reste le pays avec le plus important PIB par tete d'habitant en parité du pouvoir d'achat! Cheh les rageux!

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Le Qatar est le pays le plus multiculturel au monde et ça marche : Pas de délinquance, pas de criminalité et une vie paisible
une vie paisible: après 10 - 12 heures de travail sous le cagnard personne n'a la force de se plaindre
ils sont juste content de cuire leur repas sur des réchauds de camping puis de dormir dans leurs chambres surpeuplées.
si tu vas du côtè d'Interlaken
Le 7 mars 2021 les citoyennes et les citoyens suisses se sont exprimés sur l'Initiative populaire «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage».
Avant cette votation, sur un bateau du lac de Thoune, j'ai pu observer de près une femme voilée lécher un cornet de glace en soulevant chaque fois le tissu. Pas facile.
A Interlaken il y a plus de touristes indiens que de qataris.
 
Le diabolisation du pays au monde qui attire avec les Emirats le plus d'étranger est quotidienne est pour cause, c'est le pays ayant sans doute le gouvernement qui s'occupe le mieux de sa population, les qataris vivent dans un pays paisible, sans délinquance ni criminalité alors que c'est le pays qui compte le plus d'immigrés par habitant.
Alors meme qu'accéder à l'UE est la chose la plus facile au monde, les immigrés des 4 coins de la planète font tout pour y vivre et ce en total contradiction avec la propagande des satanistes qui dépeignent ce pays comme l'enfer et que donc les étrangers sont des tarés qui adorent tout simplement avoir mal.

Bref encore une fois les faits défoncent la propagande des haineux.



Comme on sait que la brave morjani n'est pas dérangé par 6500 travailleurs tués dans la construction de stades qui ne serviront qu'un mois, pas plus qu'il ne l'est par les crimes de guerre russes à Boutcha, il n'y a pas de quoi s'étonner de le voir s'indifférer des conditions de travail au quatar, et ne de retenir que l'afllux de travailleurs pauvres, en "oubliant" qu'ils n'y viennent que dans l'espoir essentiellement pour fuir eur misère, et qui vivent un enfer sur terre une fois sur place.


"Des conditions de vie précaires, une eau de mauvaise qualité, des plages horaires de travail étendues, nous savons que ce n’est pas bon pour notre santé, mais avons-nous vraiment le choix ?", s'interroge Krishna Timislina. Cet ouvrier de 36 ans a travaillé plusieurs années sur les chantiers du Mondial au Qatar. "Grâce à notre travail, le Qatar prend forme. Les stades, les centres commerciaux, les ponts, les routes… sortent de terre. C’est magique de voir cette ville grandir, mais c’est un rêve où nous ne sommes pas les bienvenus."

Interrogé par les deux journalistes Sébastian Castelier et Quentin Muller dans leur livre "Les Esclaves de l'homme-pétrole" (Éd. Marchialy), il décrit ses conditions de travail : les cadences infernales – parfois jusqu'à dix-huit heures par jour – tenues à l'aide de boissons énergisantes, les conditions climatiques extrêmes – "l'été, c'est l'enfer sur Terre" –, l'eau douteuse, le logement dans un préfabriqué sans espace ni intimité et surtout les morts d'épuisement ou dans des accidents de chantiers…

Comment expliquer que, malgré ces conditions dramatiques désormais largement connues, des travailleurs continuent d'affluer du Kenya, du Népal, d'Inde, du Pakistan ou du Soudan ?

"Ils jouent à la roulette russe de la migration. Ils savent que le danger n'est pas une certitude absolue donc ils tentent leur chance", explique Sébastian Castelier.
"Ce qui les attire, ce sont les salaires élevés, très élevés par rapport à ceux de leur pays d’origine. C’est une opportunité économique qui vaut les risques."


"Lorsque l’un d’entre nous crève sur un chantier, le Qatar n’enquête pas, n’ordonne pas d’autopsie, ne cherche pas à comprendre pourquoi un homme jeune et en bonne santé meurt soudainement" - Muhammad, ouvrier au Qatar

'Les entreprises du Golfe renvoient ceux qui ne sont plus en capacité de travailler. Handicapés par la maladie, sans possibilité de retrouver un emploi ou de payer les frais médicaux. Ils finissent par mourir dans l'anonymat' - Bishwa Dawadi, ancien employé du Ministère de la Santé au Népal


Mais bon, à part ça, le quatar est un paradis pour le brave Morjani :D
 
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