salam ameykom
» Cultures et traditions »
Le thé est omniprésent au Maroc, et dans tout le Sahara.
Qui pourrait croire quil na été introduit quau XIX° siècle ? Rapidement adopté, le thé vert sest répandu partout, et le plus pauvre des marocains, le plus isolé des nomades a toujours avec lui de quoi faire le thé, au minimum une petite théière en métal, quelques verres, un petit plateau, du sucre (encore vendu en pains), et selon la saison, de la menthe (naâ-naâ) ou de labsinthe (cheba). Le visiteur arrirve, le passant est invité, chez soi, ou sous la tente.
Lhospitalité est sacrée, cela vient dune époque où lon mourrait facilement au désert, refuser un peu deau, de nourriture ou simplement dombre pouvait être une condamnation. Le rituel est toujours le même, mettre à bouillir un tout petit peu deau, puis rajouter le thé, et en proportions égales leau, les tiges de menthes couvertes de feuilles et cassées pour entrer dans la théière, et les morceaux de sucre, posés sur les feuilles. Laisser bouillir plus ou moins longtemps selon son goût, servir dans un premier verre, reverser celui-ci dans la théière, recommencer une fois ou deux (cela mélange le sucre), et enfin servir à son hôte, en faisant passer la boisson dun verre à lautre, pour la refroidir et lui donner bon goût.
Savourer.
On ne refuse pas une invitation à boire le thé, cest une insulte grave. Ni une invitation à partager un repas....
Votre hôte vous proposera ce quil a de mieux, de rester chez lui au lieu daller à lhôtel,vous offrant de rester aussi longtemps que vous le voulez . Après avoir bu le thé ensemble, après avoir partagé le sel, vous ne pouvez plus être des ennemis, dans la tradition nomade.
j'ai trouver ça chaleureux et veux partager avec vous
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Le thé est omniprésent au Maroc, et dans tout le Sahara.
Qui pourrait croire quil na été introduit quau XIX° siècle ? Rapidement adopté, le thé vert sest répandu partout, et le plus pauvre des marocains, le plus isolé des nomades a toujours avec lui de quoi faire le thé, au minimum une petite théière en métal, quelques verres, un petit plateau, du sucre (encore vendu en pains), et selon la saison, de la menthe (naâ-naâ) ou de labsinthe (cheba). Le visiteur arrirve, le passant est invité, chez soi, ou sous la tente.
Lhospitalité est sacrée, cela vient dune époque où lon mourrait facilement au désert, refuser un peu deau, de nourriture ou simplement dombre pouvait être une condamnation. Le rituel est toujours le même, mettre à bouillir un tout petit peu deau, puis rajouter le thé, et en proportions égales leau, les tiges de menthes couvertes de feuilles et cassées pour entrer dans la théière, et les morceaux de sucre, posés sur les feuilles. Laisser bouillir plus ou moins longtemps selon son goût, servir dans un premier verre, reverser celui-ci dans la théière, recommencer une fois ou deux (cela mélange le sucre), et enfin servir à son hôte, en faisant passer la boisson dun verre à lautre, pour la refroidir et lui donner bon goût.
Savourer.
On ne refuse pas une invitation à boire le thé, cest une insulte grave. Ni une invitation à partager un repas....
Votre hôte vous proposera ce quil a de mieux, de rester chez lui au lieu daller à lhôtel,vous offrant de rester aussi longtemps que vous le voulez . Après avoir bu le thé ensemble, après avoir partagé le sel, vous ne pouvez plus être des ennemis, dans la tradition nomade.
j'ai trouver ça chaleureux et veux partager avec vous