L'epilepsie de A à Z

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IL s’agit de l’affection neurologique la plus fréquente après la migraine. Elle est estimée : selon les étudee de 0.5 à 1% de la population.



Sa prévalence se situe entre 0,5% et 1% de la population selon les études, soit un sujet sur 200 présente une épilepsie active.



Son incidence s’établit de nos jours à un nouveau patient pour 2000 habitants et par an, soit environ 2 nouveaux patients par jour dans une communauté urbaine d’un million d’habitants. Par extrapolation, le nombre d’épileptiques est évalué à environ 500 000 en France et 100 000 en Ile de France.



Docteur A.NINEB



La crise comitiale isolée peut toucher presque 10% de la population. Elle peut être due à divers facteurs notamment la fatigue, la privation de sommeil, la prise de toxiques ou de médicaments et les sevrages brutaux.

La Perception sociale : Les problèmes d'ostracisme restent les mêmes un peu partout. Très souvent les épileptiques restent confrontés aux vieilles croyances surnaturelles, au rejet social et à la discrimination. Même dans les pays développés, les crises d'épilepsie demeurent tabou et les personnes qui en souffrent préfèrent ne pas en parler.

Tout de même une récente enquête de la SOFRES indique que la société a une vision de ce problème de santé plus proche de sa réalité qu’elle ne l’avait dans le passé. Deux tiers des personnes interrogées considèrent qu’il est préférable qu’une personne souffrant d’épilepsie fasse part de ce problème à son employeur pour que les précautions assurant sa sécurité en cas de crise puissent être prises. Il aurait été intéressant de connaître aussi l’attitude des employeurs face à ce problème.
 
il s’agit de l’affection neurologique la plus fréquente après la migraine. Elle est estimée : Selon les étudee de 0.5 à 1% de la population.



Sa prévalence se situe entre 0,5% et 1% de la population selon les études, soit un sujet sur 200 présente une épilepsie active.



Son incidence s’établit de nos jours à un nouveau patient pour 2000 habitants et par an, soit environ 2 nouveaux patients par jour dans une communauté urbaine d’un million d’habitants. Par extrapolation, le nombre d’épileptiques est évalué à environ 500 000 en france et 100 000 en ile de france.



Docteur a.nineb



la crise comitiale isolée peut toucher presque 10% de la population. Elle peut être due à divers facteurs notamment la fatigue, la privation de sommeil, la prise de toxiques ou de médicaments et les sevrages brutaux.

La perception sociale : Les problèmes d'ostracisme restent les mêmes un peu partout. Très souvent les épileptiques restent confrontés aux vieilles croyances surnaturelles, au rejet social et à la discrimination. Même dans les pays développés, les crises d'épilepsie demeurent tabou et les personnes qui en souffrent préfèrent ne pas en parler.

Tout de même une récente enquête de la sofres indique que la société a une vision de ce problème de santé plus proche de sa réalité qu’elle ne l’avait dans le passé. Deux tiers des personnes interrogées considèrent qu’il est préférable qu’une personne souffrant d’épilepsie fasse part de ce problème à son employeur pour que les précautions assurant sa sécurité en cas de crise puissent être prises. Il aurait été intéressant de connaître aussi l’attitude des employeurs face à ce problème.

ben alorq sur ce forum il y a 10 ayant au moins fait une crise sans lendemain/ vuillez alimenter le sujet svp
 
Retour au sujet.....

N'importe quelle maladie du cerveau peut provoquer une épilepsie. Mais tous les patients atteints de la même maladie du cerveau ne seront pas atteints d'épilepsie.



Il y a encore beaucoup de gens souffrant d'épilepsie pour qui l'on ne peut pas identifier la cause de la maladie. Dans ces cas-là, la théorie la plus largement acceptée à l'heure actuelle est qu'elle est le résultat d'un déséquilibre entre certaines substances chimiques dans le cerveau, en particulier les messagers chimiques connus sous le nom de neurotransmetteurs (entre cellules ihnibitrices et cellules facilitatrices).


Les enfants et les adolescents sont plus susceptibles de souffrir d'épilepsie d'origine inconnue ou génétique. Plus le patient est âgé, plus il y a des risques que la cause de la maladie soit une maladie cérébrale sous-jacente comme une tumeur du cerveau ou une maladie cérébrovasculaire (malfotmation).


Un traumatisme ou une infection du cerveau peuvent entraîner une crise d'épilepsie à tout âge et sont notamment responsables de l'incidence plus élevée de la maladie dans les pays en développement. Par exemple, en Amérique latine, (Mexique, et Portugal) la cysticercose cérébrale (kystes du cerveau dus à une infection par un ténia du porc) est une cause courante d'épilepsie; en Afrique, le paludisme et la méningite en sont d'autres; en Inde, la cysticercose cérébrale et la tuberculose sont autant de causes d'épilepsie.


Une maladie fébrile peut, chez les jeunes enfants, déclencher des crises dites convulsions fébriles. Près de 3 % de ces enfants feront plus tard une épilepsie.
 
IL s’agit de l’affection neurologique la plus fréquente après la migraine. Elle est estimée : selon les étudee de 0.5 à 1% de la population.



Sa prévalence se situe entre 0,5% et 1% de la population selon les études, soit un sujet sur 200 présente une épilepsie active.



Son incidence s’établit de nos jours à un nouveau patient pour 2000 habitants et par an, soit environ 2 nouveaux patients par jour dans une communauté urbaine d’un million d’habitants. Par extrapolation, le nombre d’épileptiques est évalué à environ 500 000 en France et 100 000 en Ile de France.

D’âpres mes informations, chaque jour 100 personnes sont affectées par une première crise et cela concerne 40 millions de malades dans le monde. Si cette pathologie est bénigne dans 75% des cas, ce sont ses conséquences qui ne le sont pas. Le retentissement pour l’épileptique est considérable. Son environnement quotidien bouleversé et au dela de sa maladie, son insertion sociale et familiale sont brouillées. Il faut lutter contre les préjuges, effacer l’idée qu’il y ait là, la manifestation d’une maladie mentale.

Malheureusement le diagnostic présente encore quelques fragilités, et malgré les efforts déployés pour mieux évaluer les origines de la maladie en individualisant de façon optimale les syndromes épileptiques, pour mettre en évidence les lésions anatomiques associées aux crises épileptiques, ou pour localiser les zones epileptogenes, trop d’inconnues demeurent. Il faut différencier la crise épileptique qui est un événement isolé, qui peut se produire une seule fois au cours de la vie, alors que la maladie épileptique est caractérisée par la répétition de crises spontanées sans facteur de provocation et n’atteint que les prédisposées…. Merci pour ce sujet fort intéressent, j’y apporterai ma contribution.
 
D’âpres mes informations, chaque jour 100 personnes sont affectées par une première crise et cela concerne 40 millions de malades dans le monde. Si cette pathologie est bénigne dans 75% des cas, ce sont ses conséquences qui ne le sont pas. Le retentissement pour l’épileptique est considérable. Son environnement quotidien bouleversé et au dela de sa maladie, son insertion sociale et familiale sont brouillées. Il faut lutter contre les préjuges, effacer l’idée qu’il y ait là, la manifestation d’une maladie mentale.

Malheureusement le diagnostic présente encore quelques fragilités, et malgré les efforts déployés pour mieux évaluer les origines de la maladie en individualisant de façon optimale les syndromes épileptiques, pour mettre en évidence les lésions anatomiques associées aux crises épileptiques, ou pour localiser les zones epileptogenes, trop d’inconnues demeurent. Il faut différencier la crise épileptique qui est un événement isolé, qui peut se produire une seule fois au cours de la vie, alors que la maladie épileptique est caractérisée par la répétition de crises spontanées sans facteur de provocation et n’atteint que les prédisposées…. Merci pour ce sujet fort intéressent, j’y apporterai ma contribution.


Je suis totalemenr d'accord sur les causes inconnus pour pas mal de syndromes epileptiques, notament celle du jeune enfant. Ailleurs dans les pays en voie de developpement come j'ai dit les causes restent dominé par les infections.....
Effectivement la repercussion sociele est importante et les troubles neurpsycuiques asociées tels que les syndrome anxio depressif et le teaux de suicide qui serai relativement plus elevée..........


Les crises dite réfractaires sont les plus graves et le patient peut faire des dizaines de crises par jour malgré l"associations de plusieurs medicaments antiepileptiques qui parfois on se demande si elle ne font qu'aggraver les choses sans savoir qui fait quoi exactement



Surtout AMine si tu serais d'accors on s'efforcera à parler des eventuelles therapeutiques de ces affections: l'hygiène de vie, la pharmacologie et la chirurgie.....j'avais entammé une étude sur la stimulation cerebralemagnetique externe mais une fois rentrée au Maroc j'ai pas pu la continuer, j'avais pas encore les resultats definitifs mais c'etait très encourageant...................alors AMine choisi STP quel partie developper et ta contribution sera atrès utile pour une association


Bon courage
 
Les crises dite réfractaires sont les plus graves et le patient peut faire des dizaines de crises par jour malgré l"associations de plusieurs medicaments antiepileptiques qui parfois on se demande si elle ne font qu'aggraver les choses sans savoir qui fait quoi exactement
Tout à fait, j'ai une liste de médicament dont l’aggravation peut se traduire cliniquement par une augmentation du nombre de crises ou par l’apparition de nouveaux types de crises d’épilepsie, voire un état de mal convulsif.

Surtout AMine si tu serais d'accors on s'efforcera à parler des eventuelles therapeutiques de ces affections: l'hygiène de vie, la pharmacologie et la chirurgie.....j'avais entammé une étude sur la stimulation cerebralemagnetique externe mais une fois rentrée au Maroc j'ai pas pu la continuer, j'avais pas encore les resultats definitifs mais c'etait très encourageant...................alors AMine choisi STP quel partie developper et ta contribution sera atrès utile pour une association


Bon courage

Je peux te parler de mon expérience dans le domaine pédiatrique, sujet que je maitrise le mieux. Dans le cas de cette pathologie, je peux te parler des nouveaux traitements pharmacologiques et chirurgicaux qui ont apportés une amélioration dans le quotidien de l’épileptique. En revanche, quand tu as un peu de temps, j’aimerais connaitre l’orientation de ton étude sur le sujet.

La chirurgie des épilepsies pharmacorésistantes de l’enfant connait un développement récent par des équipes spécialisées. Elle nécessite l’utilisation d’une technique appelée enregistrement vidéo electroencephalographique intracrânien. Il s’agit d’une méthode anatomoelectroclinique permettant de localiser le foyer épileptogène à l’origine des crises, qu’il soit ou non lié à une lésion cérébrale. Cette localisation permet ensuite la réalisation d’une exérèse corticale avec un minimum de déficit fonctionnel postoperatoire.Ces investigations sont pratiquées dans une structure chirurgicale car elles nécessitent la mise en place d’électrodes profondes intracrâniennes et ne sont envisagées qu’après des investigations cliniques et paracliniques précises.

Sinon pour les traitements pharmacologiques, il en existe de nouveaux traitements antiépileptiques commercialises (mais je peux te les avoir gratuitement pour les nécessiteux ;)) parmi lesquels on trouve vigabatrin (Sabrilt) : c’est un inhibiteur spécifique et irréversible de la gammaamino-butyrique (GABA) transaminase. Le médicament est complètement absorbé, éliminé dans les urines, non métabolisé, non lié aux protéines. Il est non-inducteur enzymatique et n’interfère avec aucun médicament. Son indication principale est l’épilepsie partielle rebelle. Il est utilisé en première intention dans le syndrome de West (100 à 150 mg/kg/24 heures). Il est contre-indiqué dans les épilepsies myocloniques et dans les épilepsies idiopathiques. Ses effets secondaires sont essentiellement la prise de poids, les troubles du comportement chez des patients aux antécédents psychiatriques. Récemment, des atteintes du champ visuel ont été rapportées à type de rétrécissement concentrique de celui-ci, qui serait définitif. Des études sont actuellement en cours pour préciser l’implication du produit. Le champ visuel est difficile à examiner chez l’enfant de moins de 8 ans. Il est recommandé d’arrêter le traitement en cas d’apparition de signes cliniques patents.

Il y aussi le lamotrigine (Lamictalt) : réduit la libération des acides aminés excitateurs à partir des terminaisons présynaptiques.

Le felbamate (Taloxat) : il a un mécanisme d’action qui n’est pas connu. Il est efficace dans les épilepsies rebelles partielles ou généralisées. Compte tenu de la possibilité d’effets secondaires graves (aplasies irréversibles, atteintes hépatiques sévères), son indication est limitée au syndrome de Lennox-Gastaut et sa prescription uniquement hospitalière

Le gabapentine (Neurontint ) : son mécanisme d’action n’est pas connu. Il n’est pas métabolisé, non lié aux protéines, non inducteur enzymatique. Il est indiqué dans les épilepsies partielles chez l’enfant de plus de 3 ans. Ses effets secondaires sont dominés par la somnolence et l’ataxie

Le tiagabine (Gabitrilt) : c’est un inhibiteur de la recapture du GABA. Il est indiqué dans les épilepsies partielles chez l’enfant de plus de 12 ans. Ses effets secondaires sont essentiellement la somnolence, les vertiges, les secousses des membres

Le topiramate (Epitomaxt) : elle agit par plusieurs mécanismes (blocage des canaux sodiques, potentialisation des flux de chlore, antagoniste du glutamate). Il est indiqué dans les épilepsies partielles de l’enfant de plus de 4 ans. Il peut entraîner des lithiases urinaires chez les sujets exposés. Il est faiblement lié in vitro aux protéines plasmatiques.

à suivre
 
bon vous vous faites vos trucs et discutions de docteur, moi je fais un petit résumé de la maladie question que si les curieux veulent connaitre la maladie ça soit plus simple.:langue:

L' épilepsie est une affection neurologique se manifestant par des crises répétées, (de différents types : ca peut être des crises stéréotypées(ex: la personne va ramener une cuillère plusieurs fois à la bouche de façon répétée, motrices, sensitives, sensorielles ou psychique), liées à une acivité hyper synchrone et anormale d'une population de cellules nerveuses


Donc ,Il existe différents types de crises d'épilepsie:

les crises généralisées: qui peut se manifester soit par des absences(c'est à dire une suspension brève et brutal de la conscience,avec arrêt de l'activité en cours , le regard figé et fixe qui se manifeste chez l'enfant) soit pas des crises tonico cloniques*
les crises partielles:
- simples: sans atération de la conscience: ca peut etre des crises motrices, crises sensitives, crise sensorielles ou végétatives, crise psychique.
- complexes: crises avec altération de a conscience
- partielles secondairement généralisées: crise avec une généralisation secondaire tonique, clonique, tonico-clonique
l'état de mal: c'est l'expression maximale de l'épilepsie généralisée tonico-clonique



description de la crise tonico- clonique typique: se déroule en 3 phases
1° Phase tonique: contraction brusque et souteniue de tout les muscles reliés au squelette(également ceux qui permettent la respiration d'ou svt un blocage respiratoire)
tete en hyperextension avec les yx révulsés
aboliton de la conscience
2°Phase clonique : secousse bilatérale, brusque, intenses , généralisées
sécrétion exagérée de salives
la respiration durant cette phase est abolie
parfois morsures de la langue
3°phase résolutive:ou post critique
la personne est immobile , flasque, et reprend une respiration ample et bruyante.
retour a la consicence proressif
courbatures et parfois maux de tête
Amnésie totale de la crise
 
ce qu'il faut savoir lorsqu'une personne fait une crise d'épilepsie et que vous êtes à proximité.
surtout garder son calme mm si c'est impressionnant
il ne faut pas chercher à maitriser une personne en crise: quand la crise commence il faut la laisser se terminer! il est impossible d'empecher le déroulement de la crise qui débute, il ne faut pas entraver ses mouvements
mais ce qui est important c'est de mettre la personne en sécurité :
tout d'abord en éloignant tout objets potentiellement dangereux et essayer de mettre un coussin , oreiller quelque chose de mou derrière la tête .
ne pas essayer de mettre un mouchoir dans la bouche ou votre doigt (si y'a morsure vous pouvez dire aurevoir à votre doigt! :eek: mm si ça part d'une bonne intention qui est d'éviter que la personne n'avale sa langue...:ss )
et essayer de faciliter la respiration en desserrant la cravate par exemple ou la ceinture, ou col de la chemise ect...)

conduite à tenir qui est important:

noter l'heure de début et de fin de la crise...et etre très observateur durant la crise ... chaque détails comptent pr les médecins.

après la crise:lors de la phase de récupération si vous savez le faire mettez la personne en PLS en attendant le médecin.
ne pas donner a boire ou manger (y'a un risque de fausse route majeur, ce qui ne ferait qu'aggraver la situation)
 
bon la je suis défoncée je vais me coucher , je continuerais ma modeste contribution une prochaine fois inchallah.:langue:

;)
 
Si votre anfant est epileptque, il faut toujours prevoir des habits en plus à l'ecole car il peu qy'il y'ait une perte d'urine et l'enfant fasse pipi sur lui...
Evitez la conduite autonile sauf si ey seulement si l'epilepsie est stable et le neurologue atteste que pous pouvez reprendre le volant car autrement vous etes seul à face à la loi, les assurances peuvent ne pas vous aider
 
ma mere est épileptique depuis quelques années
j'avoue que c'est très impressionnant
c'est suite à une dépression il me semble car nous étions jeunes qd tout ceci à commencer et je vous avoue que mis à part etre morte de peur je ne savais pas trop ce qu'il se passait.
aujourdhui les crises sont plus rares
elle suit un traitement de dépakine
c'est horrible de voir sa mere convulsé au sol et faire des bruits comme si on égorgé un mouton du fait que elle a du mal à respirer
ses membres deviennent tres dur et son regard est vraiment "vide"
le soucis c'est qu'apres les crises elles ne se souvient plus de rien
elle doit attendre quelques heures avant de revenir à la raison
chaque crise dégrade son cerveau, et maintenant elle a des pertes de mémoire, elle ne se souvient pas de chemins emprunter des dizaines de fois
elle est devenue plus nerveuse suceptible et se sent persécuté par moment du fait de sa maladie
il lui arrive d'avoir des crises au volant, un jour en traversant un passage piéton elle a eu une crise et a faillit se faire renverser par une voiture
on ne la laisse pas dormir seule la nuit
on est tt le temps en alerte et on évite de la bursquer, de la véxé, on prend sur nous
voila pour mon témoignage
fliflah
 
ma mere est épileptique depuis quelques années
j'avoue que c'est très impressionnant
c'est suite à une dépression il me semble car nous étions jeunes qd tout ceci à commencer et je vous avoue que mis à part etre morte de peur je ne savais pas trop ce qu'il se passait.
aujourdhui les crises sont plus rares
elle suit un traitement de dépakine
c'est horrible de voir sa mere convulsé au sol et faire des bruits comme si on égorgé un mouton du fait que elle a du mal à respirer
ses membres deviennent tres dur et son regard est vraiment "vide"
le soucis c'est qu'apres les crises elles ne se souvient plus de rien
elle doit attendre quelques heures avant de revenir à la raison
chaque crise dégrade son cerveau, et maintenant elle a des pertes de mémoire, elle ne se souvient pas de chemins emprunter des dizaines de fois
elle est devenue plus nerveuse suceptible et se sent persécuté par moment du fait de sa maladie
il lui arrive d'avoir des crises au volant, un jour en traversant un passage piéton elle a eu une crise et a faillit se faire renverser par une voiture
on ne la laisse pas dormir seule la nuit
on est tt le temps en alerte et on évite de la bursquer, de la véxé, on prend sur nous
voila pour mon témoignage
fliflah

Dans l'evotution naturel des crise en en epidemiologie, les crises apparaissen asez jeune ou agé car sit sute à ds traumatisme multiple soit une lesion cerebraleassez fine. Pour le diagnostic topographique, il faut un neurologue avec une bonne maitrise de la semeologie car dire elle est epiletique ne veut absolument rien dire, il faiut une epilepsie partielle avec une generalisation secondaire, une psychologie revelatrice de troubles de comportement et là c'est une crise sans generation secondaire ceci peut etre aussi un etat de mal non convilsivant: s'il te plait ma soeur ne comfond pas abec Djinn et shoor c'est une maladie sui doit etre prise en charge de façon serieuse un bon EEG fait par un electrphysiologiste et une bonne IRM encephalique pas à la va vite dire au medecin d'injecter une bonne dose gadolilum car avec l'age l'atrphuie cerebrale peut engendrer une epilepsie
IL faut detenir un calendrier de crise et si elle en fait plus que ce qu'il faut penson à la maniere francophone rajouter une seconde molecule et les tradition français c'est changer de molecule, moi je peux vous aider sur ce sujet car en plus je suis epileptologue dis moi quel est son poid? combiende crise par moi les resulats par messagerie que tu peux recuperer de chez bladi en attendantla mise en liberation

heureusement plusiers molecules nouvelles et effices sont entrée sur le marché Français j'ai l'habitu de demanier ces molecules avant leur arrivé au Maroc

et je peux beaucoup d'aider si tu souhaite l'aide concernant ta maman si juste tu veux dider ton sac je suis la aussi
 
ce qu'il faut savoir lorsqu'une personne fait une crise d'épilepsie et que vous êtes à proximité.
surtout garder son calme mm si c'est impressionnant
il ne faut pas chercher à maitriser une personne en crise: quand la crise commence il faut la laisser se terminer! il est impossible d'empecher le déroulement de la crise qui débute, il ne faut pas entraver ses mouvements
mais ce qui est important c'est de mettre la personne en sécurité :
tout d'abord en éloignant tout objets potentiellement dangereux et essayer de mettre un coussin , oreiller quelque chose de mou derrière la tête .
ne pas essayer de mettre un mouchoir dans la bouche ou votre doigt (si y'a morsure vous pouvez dire aurevoir à votre doigt! :eek: mm si ça part d'une bonne intention qui est d'éviter que la personne n'avale sa langue...:ss )
et essayer de faciliter la respiration en desserrant la cravate par exemple ou la ceinture, ou col de la chemise ect...)

conduite à tenir qui est important:

noter l'heure de début et de fin de la crise...et etre très observateur durant la crise ... chaque détails comptent pr les médecins.

après la crise:lors de la phase de récupération si vous savez le faire mettez la personne en PLS en attendant le médecin.
ne pas donner a boire ou manger (y'a un risque de fausse route majeur, ce qui ne ferait qu'aggraver la situation)

Meri miss 30 certains au lieu de mettre le pouce mettre une fourchette et casent la dentition du pauvre...........
ertain mette ausi des clés: hchouma encore
 
Les crises partielles sont classées en double catégorie :

1- Des crises partielles simples
Par définition lors de ses sevices, le patient ne présente pas d'altération de la vigilance; c'est-à-dire que la personne se rappelle exactement de tous les évènements avant, pendant ou après la crise.

2- Des crises partielles complexes
Le malade présente dans ce cas une altération de sa vigilance lors de la crise, et donc ne se souvient ni des évènements ayant précédés la crise ni de la crise elle même. En effet, il peut apparaitre hébété et confus, déambuler sans but précis, marmonner, tourner la tête de côté et d'autre ou tirer sur ses vêtements (automatismes ou mouvements caractéristiques répétitifs).


Autres exemples de crises partielles complexes



- Type cognitif.

Troubles épisodiques de la mémoire avec impression de déjà vu ou déjà vécu. Pensée forcée et obsédante, parfois même une impression de rêve éveillé.



* Type Psychosensoriel

survenue d'hallucinations auditives, visuelles, olfactives, peur non expliquée...



* Type psychomotrice :

Des déambulations ou des gestes forcés.



* Type verbale :

Discours incohérent qui ne s'arrête pas, passage du coq à l'âne, insultes...
 
L'épilepsie n'est pas une forme de névrose.

Bien que ce soient les médecins avec qui je me trouvais qui ont posé ce diagnostic, je viens de vérifier, je cite:
" Les crises névrotiques, ou pseudo-crises épileptiques, ne comportent pas de véritable perte de connaissance (mais se présentent comme telles) et durent souvent plusieurs dizaines de minutes ou plus.
Elles marquent un conflit psychique."
 
Bien que ce soient les médecins avec qui je me trouvais qui ont posé ce diagnostic, je viens de vérifier, je cite:
" Les crises névrotiques, ou pseudo-crises épileptiques, ne comportent pas de véritable perte de connaissance (mais se présentent comme telles) et durent souvent plusieurs dizaines de minutes ou plus.
Elles marquent un conflit psychique."

Ca se saurait si les médecins ne se trompaient jamais dans leur diagnostic...
Le "pseudo" dans "pseudo-crises épileptiques" infirme la possibilité qu'il puisse s'agir d'une véritable crise d'épilepsie. Ce type de manifestation n'est ni plus ni moins que de l'hystérie...
Les patients que les médecins abhorent par dessus tout...avec les colopathes fonctionnels...
 
Ca se saurait si les médecins ne se trompaient jamais dans leur diagnostic...
Le "pseudo" dans "pseudo-crises épileptiques" infirme la possibilité qu'il puisse s'agir d'une véritable crise d'épilepsie. Ce type de manifestation n'est ni plus ni moins que de l'hystérie...
Les patients que les médecins abhorent par dessus tout...avec les colopathes fonctionnels...

Il ne me semble pas avoir dit le contraire... Même si douter du diagnostic de plusieurs professeurs d'université et qq étudiants me paraît délicat...
Je crois que l'on parlait des termes "pseudo crise d'épilepsie" et "crise névrotique", que je croyais synonymes. ;)
 
Il ne me semble pas avoir dit le contraire... Même si douter du diagnostic de plusieurs professeurs d'université et qq étudiants me paraît délicat...
Je crois que l'on parlait des termes "pseudo crise d'épilepsie" et "crise névrotique", que je croyais synonymes. ;)

En quelques sortes vous n'avez pas tord, souvent lorsque un medecin dit pseudo crise ceci sous entend de l'hysterie ou du moins pas une vraie crise: c'est pejoratif d'utiliser le mot hysterie ou psy devant les patient donc entre toubib ils se comprennent en disant pseudo crise

La complexité du problème est du au fait que parfois des patients vrais épileptiques font aussi des pseudo crise et comme souvent les crises sont rapportée il est pas evident de faire la part des choses, d'où l'interet des holter EEG c'est des EEG de longues durée pour s'assurer de l'authenticité des crises ou la video EEG,

En fait il est parfois très compliqué de trancher entre vraie crise épileptique et manifestations purement psy car comme on a deja cité il existe des crises à manifestations psychiques notamment les crises partiels du lobe temporal qui ne s'accompagne pas de perte de connaisance et que parfois même à EEG on ne visualise rien
 
Ce type de manifestation n'est ni plus ni moins que de l'hystérie...

Salut Blablote,

Sauf erreur de ma part, le terme adéquat est malaise. Des crises non épileptiques ils en existent des tas. Il peut s’agir de syncope vagales ou cardioplégiques, de spasmes du sanglot, de migraines, de crises dites psychogène, de crise hypoglycémiques, ect…
Dans le cas d’une cardioplégique, une syncope qui provoque un arrêt cardiaque transitoire peut faire a tort penser à une épilepsie. Il existe peu ou pas de signes annonciateurs et si la récupération ne se fait pas rapidement, l’arrêt cardiaque nécessite un massage cardiaque externe.

Les spasmes du sanglot sont une forme de syncope du nourrisson ou du très jeune enfant qui survient à l’ occasion d’une colère avec pleurs, d’une peur brutale ou d’une frustration. L’enfant bloque sa respiration, perd conscience, devient raide et son visage bleuit ou pâlit, mais la recuperation est rapide
Sinon, une crise isolée ne suffit pas pour affirmer le diagnostique d’épilepsie. Il faut que les crises se répètent pour pouvoir évoquer l’existence d’une maladie épileptique et pour l’affirmer, le médecin pose deux examens.L’examen clinique et la réalisation d’un électroencéphalogramme ( EEG)
 
Salut Blablote,

Sauf erreur de ma part, le terme adéquat est malaise. Des crises non épileptiques ils en existent des tas. Il peut s’agir de syncope vagales ou cardioplégiques, de spasmes du sanglot, de migraines, de crises dites psychogène, de crise hypoglycémiques, ect…
Dans le cas d’une cardioplégique, une syncope qui provoque un arrêt cardiaque transitoire peut faire a tort penser à une épilepsie. Il existe peu ou pas de signes annonciateurs et si la récupération ne se fait pas rapidement, l’arrêt cardiaque nécessite un massage cardiaque externe.

Les spasmes du sanglot sont une forme de syncope du nourrisson ou du très jeune enfant qui survient à l’ occasion d’une colère avec pleurs, d’une peur brutale ou d’une frustration. L’enfant bloque sa respiration, perd conscience, devient raide et son visage bleuit ou pâlit, mais la recuperation est rapide
Sinon, une crise isolée ne suffit pas pour affirmer le diagnostique d’épilepsie. Il faut que les crises se répètent pour pouvoir évoquer l’existence d’une maladie épileptique et pour l’affirmer, le médecin pose deux examens.L’examen clinique et la réalisation d’un électroencéphalogramme ( EEG)



Effectivement la syncope convulsivante peut etre l'un des diagnostic differentiel les plus difficile à eleminer
Parmi les signes qui peuvent aider c'est que dans la syncope on devientpale et dans la crise bleu (cyanose) et après la syncope on a rarement de confusion post critique, on reprend vite conscience......

L'examen clinique et neurologique est souvent normal dans les deux cas et l'EEg post crise peut l'etre aussi: ce qui rend les choses encore plus difficile donc on se base sur l'interrogatoire qui est souvent loin d'etre fiable
 
Salut Blablote,

Sauf erreur de ma part, le terme adéquat est malaise. Des crises non épileptiques ils en existent des tas. Il peut s’agir de syncope vagales ou cardioplégiques, de spasmes du sanglot, de migraines, de crises dites psychogène, de crise hypoglycémiques, ect…
Dans le cas d’une cardioplégique, une syncope qui provoque un arrêt cardiaque transitoire peut faire a tort penser à une épilepsie. Il existe peu ou pas de signes annonciateurs et si la récupération ne se fait pas rapidement, l’arrêt cardiaque nécessite un massage cardiaque externe.

Les spasmes du sanglot sont une forme de syncope du nourrisson ou du très jeune enfant qui survient à l’ occasion d’une colère avec pleurs, d’une peur brutale ou d’une frustration. L’enfant bloque sa respiration, perd conscience, devient raide et son visage bleuit ou pâlit, mais la recuperation est rapide
Sinon, une crise isolée ne suffit pas pour affirmer le diagnostique d’épilepsie. Il faut que les crises se répètent pour pouvoir évoquer l’existence d’une maladie épileptique et pour l’affirmer, le médecin pose deux examens.L’examen clinique et la réalisation d’un électroencéphalogramme ( EEG)

Bonjour Amine,
Merci pour cet exposé...qui me projette quelques années en arrière et me rappelle mes fameuses gardes en pédiatrie;)
En fait, je ne faisais que recadrer ce que certains appelleraient une crise névrotiques pseudo-épileptiques. Dieu sait comme il est difficile de poser un diagnostic tant les tableaux cliniques sont parfois complexes. Le pire, ce sont les absences...avec l'EEG intercritique bien sûr parfaitement normal...
Bref...
Je ne pense pas que ce soit notre verbiage hermétique qui intéresserait nos amis. Mais l'objet de ce post demeure positif, pour sensibiliser, informer...et tordre le cou aux croyances relatives à la possession et autres débilités.
 
Effectivement la syncope convulsivante peut etre l'un des diagnostic differentiel les plus difficile à eleminer
Parmi les signes qui peuvent aider c'est que dans la syncope on devientpale et dans la crise bleu (cyanose) et après la syncope on a rarement de confusion post critique, on reprend vite conscience......

L'examen clinique et neurologique est souvent normal dans les deux cas et l'EEg post crise peut l'etre aussi: ce qui rend les choses encore plus difficile donc on se base sur l'interrogatoire qui est souvent loin d'etre fiable

En effet, elles sont est tres difficile à éliminer car les crises se présentent sous des formes extrêmement variées et le diagnostic pose parfois des problèmes. La crise d’épilepsie est un événement survenant brutalement de façon isolée et brève, qui peut se renouveler ou n’arriver qu’une seule fois. Elle se traduit par une activité ou un comportement qui ne peut être maîtrisé. Les crises différent selon leur localisation cérébrale initiale et l’âge auquel elle surviennent. Elles peuvent être généralisées ou partielles ou pour compliquer, une crise partielle peut évoluer vers une crise généralisée convulsive.

Sinon une question revient souvent dans la bouche des parents, est il possible de sentir la crise arriver. Malheureusement il n’est pas possible de prévoir l’arrivée d’une crise longtemps à l’ avance, mais on peut ressentir un malaise mal défini qui annonce sa proximité. Une des caractéristiques de l’épilepsie est justement son imprévisibilité. Certains parents sont capables de reconnaitre chez leurs enfants des modifications du comportement dans les heures et les jours qui précédent la survenue d’une crise, mais c’est inconstant. En revanche, la crise peut commencer par des signes dont ont peut être conscient appelé « auras », variable d’un sujet a un autre mais fixe pour une même personne. Les auras peuvent se traduite par des signes comme une sensation de boule qui monte de l’estomac, de peur d’une image colorée, ect.. La perception de ces débuts de crise vous donne parfois le temps de vous mettre hors de danger avant la crise ne se déroule. Cela va permettre selon les cas, de s’assoir, de se coucher, de ne pas rester au milieu de la rue ou se soustraire a la vue de collègue de travail
 
Bonjour Amine,
Merci pour cet exposé...qui me projette quelques années en arrière et me rappelle mes fameuses gardes en pédiatrie;)
En fait, je ne faisais que recadrer ce que certains appelleraient une crise névrotiques pseudo-épileptiques. Dieu sait comme il est difficile de poser un diagnostic tant les tableaux cliniques sont parfois complexes. Le pire, ce sont les absences...avec l'EEG intercritique bien sûr parfaitement normal...
Bref...
Je ne pense pas que ce soit notre verbiage hermétique qui intéresserait nos amis. Mais l'objet de ce post demeure positif, pour sensibiliser, informer...et tordre le cou aux croyances relatives à la possession et autres débilités.

Je peux te projeter encore plus loin si tu le désires…;) Oui je pense que tu as raison, on va s’en tenir a l’information, sensibilisation, …

Il y a un point très important mais malheureusement souvent négligé, c’est le rôle de l’entourage surtout familial. Dans le cas d’enfant, les parents âpres avoir été informes sur l’épilepsie en cause, doivent élaborer leur propre stratégie éducative et effective. Trop souvent il surprotègent l’enfant malade par crainte de la survenue de crise dans des situations a risques. Cette surprotection est nuisible. Le patient devient dépendant, tend à se replier sur lui-même et a s’isoler. Les craintes de son entourage renforcent les siennes. L’évolution de l’enfant ou la vie quotidienne de l’adulte doivent être les moins possibles entravées. L’entourage doit essayer de comprendre la manière dont le malade vit son épilepsie, l’aider a parler de ses difficultés, de ses frustrations, de ses attentes et de ses désirs et surtout ne lui demander de faire que ce qu’il peut faire suivant les moments et l’évolution de sa maladie. L’entourage a aussi un rôle important pour le suivi thérapeutique. Il doit en effet soutenir le patient quand les médicaments n’ont pas l’efficacité attendue car il peut avoir tendance à oublier ou à tout arrêter brutalement.... Au plaisir de te lire.
 
En effet, elles sont est tres difficile à éliminer car les crises se présentent sous des formes extrêmement variées et le diagnostic pose parfois des problèmes. La crise d’épilepsie est un événement survenant brutalement de façon isolée et brève, qui peut se renouveler ou n’arriver qu’une seule fois. Elle se traduit par une activité ou un comportement qui ne peut être maîtrisé. Les crises différent selon leur localisation cérébrale initiale et l’âge auquel elle surviennent. Elles peuvent être généralisées ou partielles ou pour compliquer, une crise partielle peut évoluer vers une crise généralisée convulsive.

Sinon une question revient souvent dans la bouche des parents, est il possible de sentir la crise arriver. Malheureusement il n’est pas possible de prévoir l’arrivée d’une crise longtemps à l’ avance, mais on peut ressentir un malaise mal défini qui annonce sa proximité. Une des caractéristiques de l’épilepsie est justement son imprévisibilité. Certains parents sont capables de reconnaitre chez leurs enfants des modifications du comportement dans les heures et les jours qui précédent la survenue d’une crise, mais c’est inconstant. En revanche, la crise peut commencer par des signes dont ont peut être conscient appelé « auras », variable d’un sujet a un autre mais fixe pour une même personne. Les auras peuvent se traduite par des signes comme une sensation de boule qui monte de l’estomac, de peur d’une image colorée, ect.. La perception de ces débuts de crise vous donne parfois le temps de vous mettre hors de danger avant la crise ne se déroule. Cela va permettre selon les cas, de s’assoir, de se coucher, de ne pas rester au milieu de la rue ou se soustraire a la vue de collègue de travail


effectivement tu decris les crises du lobe temporal qui sont partiel avec generalisation secondaire ou parfois sans generalisation ceci peut justement être annonciateur et permettre au patient d'eviter les chutes et certains dangers?

Toi qui m'a parlé d'accouchement orgasmique? Connais tu les crises orgasmiques? lol
 
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