Les algérien et les canadiens fêtent les 50 ans de l'independance

L’année 2012 marque le 50e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie. À cette

occasion et pour nous aider à mieux comprendre ce pays, son histoire et ses enjeux, Lynda Thalie et trois

compatriotes algériens de Montréal sont retournés dans leur pays d’origine. Ils nous font découvrir leur

Algérie, celle de leur passé et celle qu’ils souhaitent pour l’avenir dans le documentaire MON ALGÉRIEET LA VÔTRE, diffusé en primeur aux GRANDS REPORTAGES de RDI le mardi 27 mars à 20 h, undocumentaire complété par un site internet très éclairant à l’adresse Radio-Canada.ca/algerie.

Il y a environ 50 000 Algériens qui vivent au Québec. C’est la plus importante communauté d’origine maghrébine au Canada qui s’est notamment constituée dans la foulée des horreurs de la guerre civile qui

a fait rage dans les années 90.

MON ALGÉRIE ET LA VÔTRE est une réflexion au-delà des stéréotypes. L’occasion de nous demander quelle est cette communauté algérienne que nous côtoyons, comment est-elle impliquée dans la société canadienne? Quel lien garde-t-elle avec l'Algérie et son rôle comme diaspora? Un regard croisé sur différents aspects dont l’économie, la société, la culture et l’histoire algérienne.

De Montréal en Algérie, nos quatre guides nous font découvrir leur pays à travers la région de prédilection de chacun. Alger et la Casbah, Oran et la basilique, Tlemcen et la mosquée, le Sahara grandiose, les montagnes kabyles, c’est une découverte pour les yeux et l’esprit. Lynda Thalie aborde les thématiques liées à l’exil et à la condition féminine en Algérie, Fouad Filali nous donne un portrait plus pittoresque du

pays et un regard pragmatique sur son économie grandissante. Zahia Belbachir nous plonge dans les traditions de la culture algérienne entre foi et coutumes, et finalement Karim Akouche, poète kabyle, représente cette minorité revendicatrice qui entend défendre sa culture et sa langue dans un système national qui ne lui fait pas vraiment la place belle.

Réalisation: Yves Bernard et Mélanie Pelletier

Production : Telimagin

Présentation : Simon Durivage

Réalisateur-coordonnateur : Georges Amar

DES INFORMATIONS EN PROFONDEUR SUR RADIO-CANADA.CA/ALGERIE

En plus d’offrir un portrait des quatre protagonistes et des images exclusives en coulisses du tournage, le site Radio-Canada.ca/algerie propose une carte interactive nous permettant de situer et de revoir les sites évoqués dans le documentaire, une frise chronologique qui fait ressortir toutes les dates marquantes de l’histoire de ce pays de 1830 à nos jours, ainsi qu’un glossaire de termes indispensables pour bien saisir l’Algérie et son histoire tumultueuse.
 
Lynda Thalie et trois

compatriotes algériens de Montréal sont retournés dans leur pays d’origine. Ils nous font découvrir leur Algérie

Ils vont découvrir une Algérie triste , où il ne fait pas bon de vivre , où la population est pauvre malgrés le petrole , où tout les jeunes veulent faire le hrig , pour la fuire

bie sùr ils ne vont y rester , ils retourneront au canada , où ils sont bien ,avec des avantages sociaux dont ils profitent
 
Ils vont découvrir une Algérie triste , où il ne fait pas bon de vivre , où la population est pauvre malgrés le petrole , où tout les jeunes veulent faire le hrig , pour la fuire

bie sùr ils ne vont y rester , ils retourneront au canada , où ils sont bien ,avec des avantages sociaux dont ils profitent

seulement dans tes rêves cauchemardesques.

Pourquoi les ennemis de l'Algérie colportent tant de misérabilisme??
 
seulement dans tes rêves cauchemardesques.

Pourquoi les ennemis de l'Algérie colportent tant de misérabilisme??

Ce sont aussi les faits que me rapportent des membres de ma famille Algériens.
À un moment faut arrêter de nier le négatif et ne propagander que le positif, la vie est constituée des deux.
Alors si même les algériens sont devenus des ennemis des algériens, ou vont les algériens.
 
Ils vont découvrir une Algérie triste , où il ne fait pas bon de vivre , où la population est pauvre malgrés le petrole , où tout les jeunes veulent faire le hrig , pour la fuire

bie sùr ils ne vont y rester , ils retourneront au canada , où ils sont bien ,avec des avantages sociaux dont ils profitent
et biensur il y'a toujour quel qu'un qui va denegre (y7essed en Arabe)
 
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