Les autonomistes Kabyles s'intéressent à l'approche marocaine de la régionalisation.

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion tizniti
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Tu es autant le sujet d'un dirigeant que je ne le suis, à la différence près que tu n'hésiterais pas une seule seconde à baisser ton froc devant lui pour qu'il t'agence le fondement avec sa grosse ver...-ve de meilleur diplomate de tous les temps, n'est-ce pas. ;)

Alors que je suis d'une attitude plus critique envers le roi filalien. Si tu étais plus calé en histoire et en anthropologie politique, tu saurais que le mode de transmission ou les titres officiels n'ont aucune incidence sur la nature, la portée ou la transmission effective du pouvoir.

Et pitié, inutile de te la péter avec tes Ben Barka et autres prétentions de renommée. Tu pourrais être la mère cachée de Oufkir, tu resterais le même baratineur ignare.

Je ne suis pas genre à baisser mon pentalon car politicien respecté en Suisse et certaines forumistes féminines te le confirmeront certainement.

Si Ceuta et Mellila étaient algériennes, elles seraient revenus au bercail à coup sûr et cela même n'importe quel politicien le soutien.
 
Je ne suis pas genre à baisser mon pentalon car politicien respecté en Suisse et certaines forumistes féminines te le confirmeront certainement.

Si Ceuta et Mellila étaient algériennes, elles seraient revenus au bercail à coup sûr et cela même n'importe quel politicien le soutien.

Tu as l'art de changer de sujet au gré de tes pannes de discours. Je répète : Qui tu es, je n'en ai strictement rien à foutre. A 15 ans, quand on se vante, on est un frimeur. A 39, on a raté sa vie.

Si Sebta et Mlilia étaient algériennes, les Algériens eussent dû les défendre avec leur sang contre des royaumes ibériques au faîte de leur puissance. Mais non ça marche pas, l'Algérie n'existait pas...

Je réitère donc mes recommandations avant que tu n'introduises une autre de tes attaques préfabriquées sur le Maroc : trouve-toi un bouquin d'Histoire et planche un peu... histoire d'avoir un peu de légitimité intellectuelle en parlant du Maghreb, à défaut de connaître l'Arabe, d'y avoir vécu ou d'y habiter.

Je te laisse par ailleurs le privilège puéril que tu grattes un peu partout sur le forum à force de gesticuler en permanence : Celui d'avoir le dernier mot. Amuse-toi bien.
 
Une autonomie serrait mieux dans la gestion pour les Kabyles plutot que revendiquer une indepandance qui ne servirrait à rien, juste les isoleraient devant un regime sans scrupule qui n'hesitera pas à couper manipuler les autres regions contre, couper les vivres et en faire un foyer de misere, massacre et tenssion.

avec une Autonomie ils pourront ce gerer et profiter d'une part de la richesse du pays qui leur revient de droit... dont les hydrocarbures, pour le devellopement de la regions, qui en fera à coup sur grace avec les cerveaux que compte la jeunesse Kabyles la regions la plus prospere, de l'opposition democratique qui aurra son mot à dire contre cette farce actuel de la dynastie bouteflikienne(Said).
 
Une autonomie serrait mieux dans la gestion pour les Kabyles plutot que revendiquer une indepandance qui ne servirrait à rien, juste les isoleraient devant un regime sans scrupule qui n'hesitera pas à couper manipuler les autres regions contre, couper les vivres et en faire un foyer de misere, massacre et tenssion.

avec une Autonomie ils pourront ce gerer et profiter d'une part de la richesse du pays qui leur revient de droit... dont les hydrocarbures, pour le devellopement de la regions, qui en fera à coup sur grace avec les cerveaux que compte la jeunesse Kabyles la regions la plus prospere, de l'opposition democratique qui aurra son mot à dire contre cette farce actuel de la dynastie bouteflikienne(Said).

Comme pour les Sahraouis, seule une indépendance est viable à long terme pour les Kabyles.

Aucune autonomie ne tient le coup sur le long terme et les cas du pays Basque et de la la Belgique sont des échecs à méditer.
 
Non les Kabyles ont donnertrop de sang pour l'indepandance du pays, ils ne le braderront jamais... la seul indepandance qu'ils cherchent c'est celle contre ces dictateurs usurpateurs de la démocratie de la cliq d'Oujda ces mafieux francophiles dans le fond et panarabistes dans la forme.

Qu'ils finiront bien par bouter hors de la sphere du pouvoir un jour.
 
Non les Kabyles ont donnertrop de sang pour l'indepandance du pays, ils ne le braderront jamais... la seul indepandance qu'ils cherchent c'est celle contre ces dictateurs usurpateurs de la démocratie de la cliq d'Oujda ces mafieux francophiles dans le fond et panarabistes dans la forme.

Qu'ils finiront bien par bouter hors de la sphere du pouvoir un jour.

En Algérie où le président est élu contrairement à ailleurs, les Kabyles sont minoritaires et n'influenceront jamais la politique algérienne. Malheureusement au demeurant.

Il est du reste de même en Suisse où, avec son fédéralisme parvenu à sa fin, c'est la partie alémanique qui fait la pluie et le beau temps alors que la région romande ressemble toujours plus à un "camp d'Indiens".

D'où on en revient à la seule solution idoine:l'indépendance au même titre que pour les sahraouis. Il faut être démocrates et accepter que des peuples puissent jouir de leur destin.
 
Epargne nous cette blague STP du president élu il n y a que les types comme toi à l'abri en exile pour croire dur comme fer et essayer de faire gober ce genre de baliverne ont sait tous à l'avance à l'avance que "le future president" à vie dans ce regime sera le fils de Bouteflika.


Une indepandance pour la Kabylie? Mwouai .... pourquoi pas, mais à une condition avec un accord de distribution sur les richesses du sud liberrer autrefois avec le prix du sang de beaucoup de Kabyles...

Mais bon les régions du sud c'est celles des twaregs et leurs freres nomades dont les futurs naturalisé des camp de Lhmada et tindouf ces derniers fils du desert aussi souhaiterront surement parvenire à un choix d'autodetermination soutenu par l'Algerie et ses republiques Bananiere dont l'Angola(Cabinda) ils pourront peut etre eux aussi jouire du destin.


C'est pour quand l'aide et Le soutient financier et autres d'El Mouradia au tibet et les provinces Russes vue qu'apparement c'est dans leur doctrine étrangere.
 
Epargne nous cette blague STP du president élu il n y a que les types comme toi à l'abri en exile pour croire dur comme fer et essayer de faire gober ce genre de baliverne ont sait tous à l'avance à l'avance que "le future president" à vie dans ce regime sera le fils de Bouteflika.


Une indepandance pour la Kabylie? Mwouai .... pourquoi pas, mais à une condition avec un accord de distribution sur les richesses du sud liberrer autrefois avec le prix du sang de beaucoup de Kabyles...

Mais bon les régions du sud c'est celles des twaregs et leurs freres nomades dont les futurs naturalisé des camp de Lhmada et tindouf ces derniers fils du desert aussi souhaiterront surement parvenire à un choix d'autodetermination soutenu par l'Algerie et ses republiques Bananiere dont l'Angola(Cabinda) ils pourront peut etre eux aussi jouire du destin.


C'est pour quand l'aide et Le soutient financier et autres d'El Mouradia au tibet et les provinces Russes vue qu'apparement c'est dans leur doctrine étrangere.

Mais ne t'en déplaise Bouteflika est élu par le peuple algérien à l'inverse de M6 qui hérite d'office du gouvernement de son pays.

Bouteflika n'a pas d'enfant à ce que je sache et même son frère n'est pas certain de lui succéder.

Cela dit, tu ne pourras jamais démonter le fait que l'indépendance est l'unique solution pour les Sahraouis et les Kabyles. Les Sahraouis auron l'avantage de leur sol extrêment riche et les Kabyles devraient bénéficier d'une aide financière algérienne afin d'instaurer leur nation.
 
Mais ne t'en déplaise Bouteflika est élu par le peuple algérien à l'inverse de M6 qui hérite d'office du gouvernement de son pays.

Bouteflika n'a pas d'enfant à ce que je sache et même son frère n'est pas certain de lui succéder.

Cela dit, tu ne pourras jamais démonter le fait que l'indépendance est l'unique solution pour les Sahraouis et les Kabyles. Les Sahraouis auron l'avantage de leur sol extrêment riche et les Kabyles devraient bénéficier d'une aide financière algérienne afin d'instaurer leur nation.

J'espère que c'est une blague que tu racontes là lolll tout le monde sait que Boutflika n'est qu'un pantin désarticulé manipuler par les généraux
De quelle élection tu parles ?? de quelle démocratie?? vous êtes sous un régime de dictature militaire, as tu oublié que ce sont les militaires qui ont renversé les islamistes élu démocratiquement par le peuple algérien ?
Jamais un président algérien sera élu s'il n'obtient pas d'abord l'approbation des généraux, tout président qui s'oppose à ces généraux subira le même sort qu'a subi le président Boudyaf : assassiné.
Tu peux comparer une république avec une autre république mais pas avec une monarchie.
Dans une monarchie c'est le système d'allégeance qui prime. Par contre, tu peux comparer l'élection des parlementaires et des collectivités locales pour mesurer le niveau du progrès démocratique dans les deux formes de régimes.
 
J'espère que c'est une blague que tu racontes là lolll tout le monde sait que Boutflika n'est qu'un pantin désarticulé manipuler par les généraux
De quelle élection tu parles ?? de quelle démocratie?? vous êtes sous un régime de dictature militaire, as tu oublié que ce sont les militaires qui ont renversé les islamistes élu démocratiquement par le peuple algérien ?
Jamais un président algérien sera élu s'il n'obtient pas d'abord l'approbation des généraux, tout président qui s'oppose à ces généraux subira le même sort qu'a subi le président Boudyaf : assassiné.
Tu peux comparer une république avec une autre république mais pas avec une monarchie.
Dans une monarchie c'est le système d'allégeance qui prime. Par contre, tu peux comparer l'élection des parlementaires et des collectivités locales pour mesurer le niveau du progrès démocratique dans les deux formes de régimes.

Bouteflika est libre présentement de l'armée. Il a renvoyé à la maison tous les anciens pontifs de l'ANL (Belkhier, Nezzar, etc). Certains lui font même le grief de n'avoir pas tenu sa parole envers l'armée. Mais comme l'insinue Bouteflika, ces généraux n'éatient que des gamins alors que lui, était déjà le numéro 2 du régime.

Reconnaissons à Bouteflika une intelligence au-dessus de la norme même si l'on est pas un de ses fervents et la liste ses exploits est à même de le démontrer: N'importe qui n'amène pas l'Afrique du Sud à reprendre ses esprits et soutenir la cause sahraouie.

Boudiaf et que Dieu ait son âme fut un putschiste puisqu'il fut installé par l'armée, mais ce n'est celle-ci qui l'avait assassiné bien que son rôle ne soit pas exclu.

Cela dit, en Algérie le président est élu alors que tel n'est pas le cas du Maroc et ceci ne fait l'ombre d'aucun doute.
 
Bouteflika est libre présentement de l'armée. Il a renvoyé à la maison tous les anciens pontifs de l'ANL (Belkhier, Nezzar, etc). Certains lui font même le grief de n'avoir pas tenu sa parole envers l'armée. Mais comme l'insinue Bouteflika, ces généraux n'éatient que des gamins alors que lui, était déjà le numéro 2 du régime.

Reconnaissons à Bouteflika une intelligence au-dessus de la norme même si l'on est pas un de ses fervents et la liste ses exploits est à même de le démontrer: N'importe qui n'amène pas l'Afrique du Sud à reprendre ses esprits et soutenir la cause sahraouie.

Boudiaf et que Dieu ait son âme fut un putschiste puisqu'il fut installé par l'armée, mais ce n'est celle-ci qui l'avait assassiné bien que son rôle ne soit pas exclu.

Cela dit, en Algérie le président est élu alors que tel n'est pas le cas du Maroc et ceci ne fait l'ombre d'aucun doute.

J'espère que Votre Boutflika donnera un peu de son intelligence pour soutenir les kabylis dans leur lutte pour l'obtention d'une autonomie
 
J'espère que Votre Boutflika donnera un peu de son intelligence pour soutenir les kabylis dans leur lutte pour l'obtention d'une autonomie

Il ne peut pas chassser deux lièvres à la fois. Déjà qu'il soutient l'indépendance sahraouie à l'instar de son ami Mandela, ne lui revendiquons pas tout à la fois.
 
Oui je sais, tout le monde le sait, sauf Jovial mais que faire ! il est une tête de mule comme il le reconnaît lui même.

Il ne faut pas comparer l'affaire du Sahra Occidental qui reste du ressort de l'ANL et la politique interne algérienne.
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Mais il ne devait pas aller au-delà, ni s'occuper de la gestion interne de l'institution militaire ni intervenir dans sa chaîne de commandement», dit Chafik Mesbah. Bouteflika va remplir son contrat: l'Algérie, peu à peu, redevient un pays fréquentable. Mais il cherche aussi à s'emparer de tous les leviers du pouvoir. Il acquiert, en effet, assez vite la conviction que l'armée n'est peut-être pas aussi forte qu'il y paraît ou qu'elle se plaît à le faire croire. Il rencontre des généraux vulnérables et inquiets, qui craignent de faire l'objet de poursuites judiciaires à l'étranger. Surtout, après que le général Khaled Nezzar, ex-ministre de la Défense, eut été nuitamment «exfiltré» de France pour éviter d'être traduit en justice par la famille d'un jeune islamiste mort sous la torture... Les responsables militaires, eux, découvrent un chef de l'Etat qui n'hésite pas à les traiter publiquement de «tigres de papier» - c'était lors d'un meeting à Tipaza - et ne manque pas une occasion de leur rappeler qu'ils n'étaient que des «gamins» quand il était, lui, déjà, le nO 2 du régime... Autant de propos qui passent mal.

Source:

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/l-armee-et-les-urnes_490041.html
 
Le paradoxe de l'Algérie: Répression du mouvement Kabyle et appui au "Polisario" pour déstabiliser le Maroc


Madrid - Paradoxalement, l'Algérie, qui se mobilise pour la déstabilisation du Maroc en appuyant ouvertement les thèses des séparatistes du "Polisario", mène une guerre sans merci contre la population Kabyle, "l'une des plus pacifiques du pays", relève le journaliste et analyste espagnol, Chema Gil.


"Le gouvernement algérien (...), qui fait tout pour la déstabilisation du Maroc sur le dossier du Sahara occidental, mène la répression des berbères de Kabylie, donnant des ailes aux fondamentalistes qui n'hésiteront pas à exploiter toute faiblesse du régime pour gagner du terrain, un terrain jusque là épargné grâce à la mobilisation des habitants de cette région montagneuse algérienne, au risque de leur sécurité", affirme M. Gil, spécialiste des affaires maghrébines, dans une analyse sur les derniers évènements en Kabylie, publiée sur le site d'informations "Vega Media Presse".

"L'Algérie terrorise les berbères de Kabylie, qui font partie de l'authentique identité algérienne, au moment même où elle mène un sale jeu contre le Maroc", affirme l'analyste espagnol qui critique certains médias notamment espagnols, "qui ont consacré tant d'encre au cas Aminatou Haidar, et qui préfèrent maintenant taire les atrocités commises par l'Algérie en Algérie".

"Apparemment, l'affaire Haidar et le marketing en découlant est plus rentable. Le Front Polisario n'est pas un peuple, comme le Sahara n'a jamais été un Etat, mais pour les libéraux de notre pays (l'Espagne-Ndlr), ce qui se passe en Algérie ne peut être sujet à critiques", s'insurge le journaliste espagnol.

Selon Chema Gil, "les habitants de la montagneuse région de Kabylie ont su se maintenir en dehors des +circuits de la violence+ étatique, du terrorisme islamiste et de la guerre civile larvée qui a secoué ce pays maghrébin", mais au lieu de s'attaquer à la menace islamiste qui ronge le pays, "le gouvernement algérien préfère réprimer la région de Kabylie dont les habitants affrontent les islamistes et des forces de sécurité de plus en plus islamisées", ajoute l'analyste espagnol qui se fait écho de la condamnation par la "Ligue Espagnole pour les droits Humains" de la répression contre les habitants de la région de la Kabylie, menée par les services de sécurité algériens.


"Peut on faire comme si de rien ne se passe ? Évidemment oui, mais on risque de devenir complice d'actions absolument condamnables", affirme en conclusion l'analyste espagnol.
 
Il ne faut pas comparer l'affaire du Sahra Occidental qui reste du ressort de l'ANL et la politique interne algérienne.
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Mais il ne devait pas aller au-delà, ni s'occuper de la gestion interne de l'institution militaire ni intervenir dans sa chaîne de commandement», dit Chafik Mesbah. Bouteflika va remplir son contrat: l'Algérie, peu à peu, redevient un pays fréquentable. Mais il cherche aussi à s'emparer de tous les leviers du pouvoir. Il acquiert, en effet, assez vite la conviction que l'armée n'est peut-être pas aussi forte qu'il y paraît ou qu'elle se plaît à le faire croire. Il rencontre des généraux vulnérables et inquiets, qui craignent de faire l'objet de poursuites judiciaires à l'étranger. Surtout, après que le général Khaled Nezzar, ex-ministre de la Défense, eut été nuitamment «exfiltré» de France pour éviter d'être traduit en justice par la famille d'un jeune islamiste mort sous la torture... Les responsables militaires, eux, découvrent un chef de l'Etat qui n'hésite pas à les traiter publiquement de «tigres de papier» - c'était lors d'un meeting à Tipaza - et ne manque pas une occasion de leur rappeler qu'ils n'étaient que des «gamins» quand il était, lui, déjà, le nO 2 du régime... Autant de propos qui passent mal.

Source:

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/l-armee-et-les-urnes_490041.html

Boutflika n'est qu'un vieillard malade dont l'armée peut s'en débarasser en un clin d'oeil comme a fait disparaitre Boudyaf avant lui et beaucoup d'opposants qui sont soit assassinés soit expulser hors Algérie comme le cas du Leader du MAK ou Abassi Madani ou réprimer comme le cas de Ali Belhaj
 
Boutflika n'est qu'un vieillard malade dont l'armée peut s'en débarasser en un clin d'oeil comme a fait disparaitre Boudyaf avant lui et beaucoup d'opposants qui sont soit assassinés soit expulser hors Algérie comme le cas du Leader du MAK ou Abassi Madani ou réprimer comme le cas de Ali Belhaj

Et pourquoi l'ANL ne chasse donc pas Bouteflika? A cet égard, je ne serais pas opposé car je préfère un Chavez au président algérien. Mais en l'occurrence, on voit mal une armée chassé son chef.

Jusqu'à prevue du contraire à partir 19 juin 1965, seul le Maroc avait vécu des tentaives de putschs en 1971 et 1973 et cela risque de se reproduire. Tous les analystes sérieux craignent l'hypothèse tant l'inventaire de M6 est affligeant.
 
Et pourquoi l'ANL ne chasse donc pas Bouteflika? A cet égard, je ne serais pas opposé car je préfère un Chavez au président algérien. Mais en l'occurrence, on voit mal une armée chassé son chef.

Jusqu'à prevue du contraire à partir 19 juin 1965, seul le Maroc avait vécu des tentaives de putschs en 1971 et 1973 et cela risque de se reproduire. Tous les analystes sérieux craignent l'hypothèse tant l'inventaire de M6 est affligeant.

Et pourquoi elle le chasserait?? c'est un bon serviteur et il sert bien leurs intérêts ...
 
Voici un passage que tout le monde à du lire, mais qui mérite d'être publier à nouveau pour les circonstances :


Citation:
Ni peuple :

…L’Algérie, donne aujourd’hui, le spectacle d’une société cassée, brisée, en miettes, d’un corps disloqué, dont tous les membres se sont désarticulés et n’existent que pour eux-mêmes. En vain cherche-t-on, dans ce désordre social et incohérence des conduites, quelque chose comme un dénominateur commun, un trait d’union, une mémoire ou un projet. Mais en a-t-il jamais été autrement ? La société a t-elle jamais existé ailleurs que dans nos mythes ?

Ce qui apparaît comme un délabrement n’est-il pas l’état permanent de cet ensemble chaotique de régions, tribus, fractions de tribus qui n’ont jamais réussi à s’unir, a se fondre dans un tout, a former une nation ?…« La vérité qui a éclaté à la faveur de la crise, écrit Nourredine Boukrouh dans son livre décapant, c’est que les Algériens avaient en fait peu de choses en commun.

Ils n’étaient pas habitués à vivre ensemble, a vouloir la même chose, a rêver de concert. Pendant trop longtemps, pendant trop de siècles, ils ont vécu les uns a coté des autres, sans communication permanente entre eux, sans imbrication de leurs intérêts mutuels, sans association de leurs énergies, sans système politique et institutionnel issu de leur volonté, sans activités économiques et sociales ».

"l’Algérie retrouvée" de Maurice T. Maschimo (qui s’est jadis converti à l’Islam et avait pris la nationalité Algérienne durant les années d’Euphorie)

__________________
"Le sage s'adonne à la méditation, l'ignorant s'y refuse, apprend à reconnaitre ce qui te fait défaut et se qui entrave ta progression."
 
je suis completement deçu par les propos des gens ici pas tous mais beaucoup qui sont contre algerien, je suis marocain
les algeriens ont chasser les colonisateurs,
quand la premiere vague d'immigres arrivé en france c't difficile (couvre-feux) etc et ces les algeriens qui ont descendu dans la rue pour contester
17 octobre 1961 !!!!!!!!!!!
 
Il serait intéressant de cogiter sur le statut de la régionalisation et démontrer par des exemples concrets que sa formule est perverse.

Dans les cas des Etats-unis, est-il normal que des Etats appliquent la peine mort alors que la législation américaine lui est opposé?

En Suisse, des départements refusent la naturalisation à des étrangers alors qu'ils remplissent toutes conditions requises. Pire une ville au nom d'Emmen s'était ingéniée à faire voter par ses citoyens l'octroi de ladite naturalisation. Un comble et heureusement que le Tribunal fédéral a mis fin à la supercherie car un refus d'accorder la naturalisation doit être motivé afin que le requérant puisse faire appel devant instance judiciaire à son refus.
 
Voici un passage que tout le monde à du lire, mais qui mérite d'être publier à nouveau pour les circonstances :


Citation:
Ni peuple :

…L’Algérie, donne aujourd’hui, le spectacle d’une société cassée, brisée, en miettes, d’un corps disloqué, dont tous les membres se sont désarticulés et n’existent que pour eux-mêmes. En vain cherche-t-on, dans ce désordre social et incohérence des conduites, quelque chose comme un dénominateur commun, un trait d’union, une mémoire ou un projet. Mais en a-t-il jamais été autrement ? La société a t-elle jamais existé ailleurs que dans nos mythes ?

Ce qui apparaît comme un délabrement n’est-il pas l’état permanent de cet ensemble chaotique de régions, tribus, fractions de tribus qui n’ont jamais réussi à s’unir, a se fondre dans un tout, a former une nation ?…« La vérité qui a éclaté à la faveur de la crise, écrit Nourredine Boukrouh dans son livre décapant, c’est que les Algériens avaient en fait peu de choses en commun.

Ils n’étaient pas habitués à vivre ensemble, a vouloir la même chose, a rêver de concert. Pendant trop longtemps, pendant trop de siècles, ils ont vécu les uns a coté des autres, sans communication permanente entre eux, sans imbrication de leurs intérêts mutuels, sans association de leurs énergies, sans système politique et institutionnel issu de leur volonté, sans activités économiques et sociales ».

"l’Algérie retrouvée" de Maurice T. Maschimo (qui s’est jadis converti à l’Islam et avait pris la nationalité Algérienne durant les années d’Euphorie)

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"Le sage s'adonne à la méditation, l'ignorant s'y refuse, apprend à reconnaitre ce qui te fait défaut et se qui entrave ta progression."

Maurice T. Maschino à l'instar de Gilles Perrault sont des intellectuels dont la probité est reconnue et partant le premier nommé a raison dans son constat à propos de l'Algérie.

C'est du reste le pluralisme des mentalités qui fait le charme de l'Algérie. Néanmoins, il faut reconnaître que malgré ces différences de mentalité, toutes les ethnies se rejoignent lorsqu'il s'agit de la sauvegarde de la notoriété de la nation et d'où leur principal défaut à mon avis: un nationalisme exacerbé et unique au monde.
 
Maurice T. Maschino à l'instar de Gilles Perrault sont des intellectuels dont la probité est reconnue et partant le premier nommé a raison dans son constat à propos de l'Algérie.

C'est du reste le pluralisme des mentalités qui fait le charme de l'Algérie. Néanmoins, il faut reconnaître que malgré ces différences de mentalité, toutes les ethnies se rejoignent lorsqu'il s'agit de la sauvegarde de la notoriété de la nation et d'où leur principal défaut à mon avis: un nationalisme exacerbé et unique au monde.

C'est bizzare dés qu'on dit la vérité sur l'algerie on devient un intellectuel dont la probité est reconnue...:)

La vérité blesse toujours !

Le nationalisme exacerbé algerien est un refuge pour oublier la misére et la frustration que subit le peuple algerien au quotidien dans son sol.
Bouteflika l'a bien compris et l'a exploité, sa n'est pas pour vos beaux yeux qu'il a subventionné les vols au soudan, les places gratis et mobilisé l'armée, il a compris que le foot est l'opium du peuple, pendant ce temps la il s'occupe a faire ce qu'il veut des richesses algeriennes ;)
 
C'est bizzare dés qu'on dit la vérité sur l'algerie on devient un intellectuel dont la probité est reconnue...:)

La vérité blesse toujours !

Le nationalisme exacerbé algerien est un refuge pour oublier la misére et la frustration que subit le peuple algerien au quotidien dans son sol.
Bouteflika l'a bien compris et l'a exploité, sa n'est pas pour vos beaux yeux qu'il a subventionné les vols au soudan, les places gratis et mobilisé l'armée, il a compris que le foot est l'opium du peuple, pendant ce temps la il s'occupe a faire ce qu'il veut des richesses algeriennes ;)


L'Algérie méconnaît pourtant la prostitution généralisée et internationale comme le Maroc et la Tunisie et comment expliques-tu le phénomène?

N'est-ce pas là une preuve de misère de peuples?
 
C'est bizzare dés qu'on dit la vérité sur l'algerie on devient un intellectuel dont la probité est reconnue...

La vérité blesse toujours !

Le nationalisme exacerbé algerien est un refuge pour oublier la misére et la frustration que subit le peuple algerien au quotidien dans son sol.
Bouteflika l'a bien compris et l'a exploité, sa n'est pas pour vos beaux yeux qu'il a subventionné les vols au soudan, les places gratis et mobilisé l'armée, il a compris que le foot est l'opium du peuple, pendant ce temps la il s'occupe a faire ce qu'il veut des richesses algeriennes


Tu es bien mal placé pour parler de nationalisme ... :rouge:
 
LA PROSTITUTION SÉVIT MASSIVEMENT


Drame et misère

On les croise partout : devant les hôtels, les grands boulevards, aux alentours des résidences universitaires et dans toutes les boîtes de nuit. A force de les voir, on finit par retenir leurs emplacements. Elles sont devenues tellement nombreuses qu’elles font partie de notre décor quotidien. Ce sont les prostituées.

La population algérienne vit, en effet, dans la misère économique dans ses manifestations les plus dégradantes. On l’a entraînée, en l’espace de quelques années, vers les abysses de la pauvreté et de l’insuffisance. Le taux de chômage avoisine les 20 % (année 2004). Près de 8 millions (année 2002), soit 7 778 000, sont des célibataires de plus de 20 ans et n’ont aucune perspective de pouvoir fonder un foyer, à cause notamment de la crise du logement et du problème de l’emploi. Environ 600 000 élèves sont exclus, chaque année, du système scolaire ou l’abandonnent par manque de moyens. Tout cela a fini par créer cet environnement propice à la prolifération des maux sociaux avec un accroissement et une brutalité inégalées, comme le divorce, les conflits familiaux, le suicide, la drogue, la mendicité, la prostitution. Nul ne peut nier que la misère économique est le terreau fertile sur lequel se développe la prostitution.

Cette prostitution qui sévit massivement dans toutes nos villes et même nos petits villages - qui ont du mal à la dissimuler - est l’un des résultats de la catastrophe sociale et de la ruine économique qu’impliquent les politiques d’ajustement structurel, les privatisations, le libre-échange à sens unique ; bref, la mondialisation et ses effets sur l’accroissement des inégalités sociales. Désormais, aujourd’hui, ces malheureuses font partie de la mosaïque des gens de la rue. Elles y passent la plus grande partie de leur temps, elles disent qu’elles y travaillent. Les scènes de contact et les palabres entre la fille de joie et son client sont repérables à vue d’œil, même s’ils sont attablés dans un café.

Il ne faut pas plus de quelques minutes pour que le marché soit conclu ou, dans le cas contraire, le présumé client s’en aille poursuivre sa chasse ailleurs. Ces femmes ont un quotidien qui n’a rien de commun avec le nôtre et leur vie a des lois et des codes différents de ceux que nous connaissons. Parmi les sept femmes qui ont bien voulu nous parler, nous vous livrons le témoignage de trois d’entre elles. Fifi (Fatima), à peine vingt ans, campe face à un hôtel. Cheveux taillés courts et teintés blonds, habillée d’un jean moulé à taille basse, tee-shirt blanc très court faisant apparaître son nombril et une bonne partie de son ventre. Hypermaquillée, elle scrute les automobilistes de ses grands yeux noirs. Fifi a bien voulu nous parler de son histoire, après s’être assurée de notre personne et de notre objectif. Son regard à la fois grave et morose donne l’impression que cette jeune femme voudrait vider tout ce qu’elle a sur le cœur. Elle nous confie que son moral est rarement bon. Elle est pessimiste, a du mal à se concentrer et, comme le veut son âge, veut tout et tout de suite. Malgré son énergie, elle a souvent envie de pleurer, est inquiète et nerveuse, se fait des reproches, se sent déprimée et désespérée en pensant à l’avenir.

D’ailleurs, elle pense tout le temps au suicide et en a fait deux tentatives. Elle avoue avoir souvent des excès de colère, elle crie fort, frappe et casse. Quand elle parle de santé, elle évoque son mal de tête et les troubles du sommeil (endormissement difficile, réveil nocturne, fatigue accumulée) et ajoute qu’elle n’a jamais consulté de médecin. « Je n’ai pas choisi de vivre dans la rue ni de vendre ma chair. C’est le seul lieu où j’ai trouvé refuge lorsque j’ai été forcée de quitter la maison familiale. ça fait maintenant plus de 4 ans que j’exerce ce métier. » Elle ne dit rien sur les motivations de sa décision de quitter la maison familiale. Son corps frêle a appris à résister aux nuits glaciales de l’hiver. Son regard profond et les cernes qu’elle arrive à peine à camoufler par un épais maquillage sont les témoins de ces longues années d’errance et de souffrance. « Il est difficile pour moi de tolérer le regard des autres qui est plein de mépris. J’aurais souhaité une autre vie. » « Au quotidien, j’ai du mal à me regarder dans la glace, je me déteste, je ne sais pas de quoi sera fait demain. Ce que je fais ici, ça me ronge intérieurement, de la même manière qu’une maladie, ça me bouffe physiquement et ça m’enfonce dans la détresse. De temps en temps, il m’arrive de rigoler, d’avoir le sourire, mais on ne l’a pas vraiment au fond de soi. » Elle nous a affirmé être là (face à l’hôtel) depuis plus de deux heures et avoir déjà accompli trois passes et récolté 3400 DA.
 
Le prix qu’elle prend pour chaque passe varie entre 500 DA et un plafond qui peut atteindre 2000, voire 3000 DA, selon les circonstances et les clients. La liaison sexuelle se déroule le plus souvent dans la voiture du client. Quant aux clients, elle affirme qu’ils sont de toutes les professions, de tous âges et de tous les horizons. Ils disent payer pour assouvir leurs fantasmes, sans égard ni scrupules. Ils ne sont pas nécessairement « étrangers » à la ville, nous confient la plupart des filles interviewées. On trouve, parmi eux, des maçons qui vivent dans leur chantier de travail, loin de leur famille, de plus en plus de Chinois, des quinquagénaires, des marchands ambulants et quelques amateurs de l’acte rapide. Le client tourne, regarde, choisit, discute les prix. Toujours à propos des clients, elle dit qu’« ils sont toujours avides de nouveauté. Lorsqu’une nouvelle personne arrive sur le trottoir, elle a un succès immédiat. Ils veulent plus de beauté, plus de jeunesse et ils veulent tous l’essayer ».

En ce qui concerne la peur, elle dit : « Avec certains clients, on ne sait jamais ce qui peut nous arriver. C’est tous les jours. Quand on monte dans un véhicule, quand on se retrouve attachée pour satisfaire les fantasmes des hommes. Le type peut faire ce qu’il veut. » La peur est toujours omniprésente. D’abord, celle du client et de sa toujours possible violence, celle de la police et celle, surtout, d’être reconnue par des parents, voisins, amis. Peur de l’avenir enfin. Qui souhaite vieillir dans la prostitution ? Le second témoignage est celui de Zouzou (Zohra) rencontrée dans un cabaret du littoral de l’Ouest algérois. « J’avais 16 ans quand j’ai commencé à me prostituer. Après, c’est devenu une habitude. Je ne pourrais pas dire pourquoi. » A l’époque, Zouzou ne vivait plus chez ses parents. « J’étais partie de chez moi pour être libre. » Zouzou n’en dira pas plus. Elle ne veut pas parler de ce qu’elle a vécu dans sa famille. « Quand on est jeune et qu’on a envie d’acheter des robes, on voit qu’on va gagner de l’argent. On ne sait pas que c’est destructeur. On le saura après, mais on ne veut pas l’admettre. Et quand le pli est pris, on continue.

Le problème, c’est l’argent. On se laisse manger par l’argent. On parle de la drogue. Mais l’argent, c’est de la drogue. » Zouzou lâche ses réflexions par bribes. « Vous en connaissez, vous, une p... qui ne prend pas d’alcool, pas de drogue ou de cachetons ? » « Contrairement à la clientèle de la prostitution de la rue, quand ils sont là (les clients), il faut les faire boire au maximum. Un verre de whisky à 600 DA, une bouteille à 5000 DA. Le verre de whisky, il faut le descendre et vite demander au client de nous en reverser un autre. Pour aider, on peut enlever le soutien-gorge et tolérer une caresse. Pendant tout ce temps, on boit aussi, évidemment, une fois que le type est bien gai, on peut demander autant de bouteilles qu’on veut. Quand on sature, on amène une autre fille pour nous aider à boire.

Le patron donne un pourcentage sur chaque bouteille consommée par le client. » « Les clients, on leur dit les choses qu’ils ont envie d’entendre. Des mensonges. En réalité, ils sont moches. Ils nous racontent leur vie. Ils sont mariés. Et quand ils veulent aller plus loin, la passe est rarement inférieure à 3000 DA. L’acte se déroule dans l’une des 4 chambres situées au-dessus et qui nous servent également de lieu d’hébergement (pour les filles qui y travaillent). Les hommes, ce qu’ils ne peuvent faire avec leur femme, ils viennent nous le demander. Ils croient qu’ils peuvent nous faire ce qu’ils voient dans les films pornos. On gagne de l’argent, mais à quel prix ! On perd sa dignité, on n’a plus envie d’hommes. Parmi les clients, il y a les obsédés, mais pas tant que ça. On a de tout. Des cadres, des médecins, des militaires. Enormément de types qui aiment les gamines. Nous travaillons le soir et nous dormons toute la matinée. De ce fait, notre vie est forcément différente des autres personnes dites normales. » Enfin, le troisième témoignage, celui de Hassiba, l’une des victimes des réformes économiques, cette jeune mère de deux enfants, avec ses mèches blondes toujours dans les yeux, raconte sans haine comment elle a commencé à tapiner : « J’étais très heureuse avec mon mari et mes deux enfants.
 
La fermeture de l’entreprise a été le début des problèmes. Le salaire, notre seule ressource, nous avait permis de vivre décemment. Puis ce fut la cassure. Aux problèmes financiers se sont ajoutés ceux liés à l’environnement, avec au bout le divorce. En charge de mes deux enfants, je devais subvenir à leurs besoins essentiels. Ce qui m’a contrainte à vendre mon corps malgré le dégoût que j’éprouve. Préalablement, j’avais cherché du travail, mais partout où je me présentais, la seule réponse était des propositions malhonnêtes. N’étaient mes deux filles, il y a longtemps que je me serais suicidée. Cela a été très dur, bien sûr, mais je n’avais pas le choix. Et même en prenant la pilule pour ne pas avoir d’enfant, je me suis retrouvée enceinte deux fois. J’ai pratiqué à chaque fois une IVG dans une clinique privée, la seconde fois, j’ai failli y passer. Cela a été très dur, bien sûr, mais je ne pouvais pas les garder. J’avais trop de problèmes. Etre une prostituée me répugne mais, Allah ghaleb, c’est mon destin. » C’est dans ce même décor que vivent d’autres prostituées, même si leur histoire diffère.

Livrées à elles-mêmes, elle parviennent tant bien que mal à créer un environnement qui leur est familier. La rue ou les boîtes de nuit sont devenues leur refuge. Et si elles arrivent plus ou moins à supporter leur métier, cela ne les empêche pas de se sentir humiliées. Aujourd’hui, personne ne peut dire quel est le nombre des prostituées de la rue ou tout autre, même approximativement, encore moins celui des clients. Plutôt plurielle, non organisée, la prostitution en Algérie ne peut entrer dans un cadre clairement défini : de luxe, de rue, de boîte de nuit, de cité universitaire, de fin de journée, de fin de semaine, de fin de mois, de temps à autre, seulement la prostitution a pris des proportions alarmantes.

Personne (à notre connaissance) n’a effectué une recherche sur l’aspect humain de ces personnes, sur leurs véritables besoins et sur les alternatives qui pourraient leur être proposées. La plupart ne voient en elles qu’un seul aspect : elles défigurent le visage des villes. Plus vieux métier du monde, métier tout court, mal nécessaire, esclavage... les affrontements idéologiques et moraux sont innombrables autour de la prostitution. Mais, de vrai débat public, il n’y en a point.

Okba Khiar

Source : elwatan


Sa m'a l'air bien generalisé tout sa et pour 500 DA seulement :(
 
La fermeture de l’entreprise a été le début des problèmes. Le salaire, notre seule ressource, nous avait permis de vivre décemment. Puis ce fut la cassure. Aux problèmes financiers se sont ajoutés ceux liés à l’environnement, avec au bout le divorce. En charge de mes deux enfants, je devais subvenir à leurs besoins essentiels. Ce qui m’a contrainte à vendre mon corps malgré le dégoût que j’éprouve. Préalablement, j’avais cherché du travail, mais partout où je me présentais, la seule réponse était des propositions malhonnêtes. N’étaient mes deux filles, il y a longtemps que je me serais suicidée. Cela a été très dur, bien sûr, mais je n’avais pas le choix. Et même en prenant la pilule pour ne pas avoir d’enfant, je me suis retrouvée enceinte deux fois. J’ai pratiqué à chaque fois une IVG dans une clinique privée, la seconde fois, j’ai failli y passer. Cela a été très dur, bien sûr, mais je ne pouvais pas les garder. J’avais trop de problèmes. Etre une prostituée me répugne mais, Allah ghaleb, c’est mon destin. » C’est dans ce même décor que vivent d’autres prostituées, même si leur histoire diffère.

Livrées à elles-mêmes, elle parviennent tant bien que mal à créer un environnement qui leur est familier. La rue ou les boîtes de nuit sont devenues leur refuge. Et si elles arrivent plus ou moins à supporter leur métier, cela ne les empêche pas de se sentir humiliées. Aujourd’hui, personne ne peut dire quel est le nombre des prostituées de la rue ou tout autre, même approximativement, encore moins celui des clients. Plutôt plurielle, non organisée, la prostitution en Algérie ne peut entrer dans un cadre clairement défini : de luxe, de rue, de boîte de nuit, de cité universitaire, de fin de journée, de fin de semaine, de fin de mois, de temps à autre, seulement la prostitution a pris des proportions alarmantes.

Personne (à notre connaissance) n’a effectué une recherche sur l’aspect humain de ces personnes, sur leurs véritables besoins et sur les alternatives qui pourraient leur être proposées. La plupart ne voient en elles qu’un seul aspect : elles défigurent le visage des villes. Plus vieux métier du monde, métier tout court, mal nécessaire, esclavage... les affrontements idéologiques et moraux sont innombrables autour de la prostitution. Mais, de vrai débat public, il n’y en a point.

Okba Khiar

Source : elwatan


Sa m'a l'air bien generalisé tout sa et pour 500 DA seulement :(

Tu peux nous mettre le lien ! :rouge:

merci
 
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