Les contes de Bouazza

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Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
D'un ami anonyme.

Episode premier.

Bouazza prend un peu d'air frais sur son balcon en contemplant les gens. Il est minuit et le boulevard est encore très fréquenté. La circulation est dense et les flics à moitié endormis tentent tant bien que mal de réguler le trafic. Une bagarre éclate sur le trottoir et le premier automobiliste qui l'aperçoit s'arrête. Non pour séparer les deux gaillards en train de se dépouiller mais pour admirer le spectacle. L'automobiliste qui le suit ne sachant pas pourquoi son prédécesseur s'est arrêté voit rouge. Il appuie violemment sur son klaxonne super puissant qu'il a fait installer sur sa Renault 19 pour affirmer sa virilité. Il est fou de rage contre ce minable qui ose s'arrêter devant lui et lui faire perdre deux minutes de son précieux temps maintenant qu'il a fini son noss-noss* au café et qu'il doit rentrer dîner. Il est prêt à bondir de son char pour aller trucider l'insolent qui a osé perturber la circulation mais ce dernier fini par repartir. Il lui hurle qu'il a de la chance d'avoir fini par comprendre sa bêtise, enclanche la première et démarre mais à peine a-t-il fait deux mètres qu'il aperçoit la bagarre à son tour. Il s'arrête net. Non pas pour aller séparer les deux gaillards en train de se dépouiller mais pour admirer le spectacle. L'automobiliste derrière lui, fou de rage appuie violemment sur le klaxonne...
Bouazza en conclue que ses concitoyens sont vraiment çons et qu'il ferait mieux d'aller se coucher.
* noss-noss = café crème.
 
Suite.

Cela fait une paye que Bouazza sillonne les routes du Maroc (et de Navarre mais c'est un autre sujet). Sur les plus belles routes du plus beau pays du monde, il a constaté que la distance observée par les automobilistes entre eux ainsi que la notion de file (on a habitude de dire indienne mais Bouazza pense qu'elle est plutôt nippone mais c'est un autre sujet) ressemblait étrangement à celle pratiquée chez Rachid le boucher. L'automobiliste du plus beau pays du monde pense que si il laisse 100 mètres de distance entre lui et son prédécesseur, ce dernier serait en train de rouler plus vite que lui, ce qui par conséquent serait une insulte à son expertise en conduite. Le type qui colle Mouloud à la boulangerie pense qu'avec un peu de chance il aura sa baguette avant lui. Un petit moment d'inattention et il pourra le dribbler sait-on jamais. En cela il rejoint l'idée de notre as du volant.
Ne voilà-t-il pas (hhhhh. Mort de rire mais il fallait que je la place. Quoi ? C'est mon récit. Namé). Ne voilà-t-il pas donc, que l'automobiliste de la tête de file (vous suivez toujours ?) indienne ou nippone on n'est plus à un détail près vu la gravité du sujet; s'arrête pour laisser passer un piéton qui empruntait un passage du même nom. Imaginez ce qu'a fait le virtuose du volant qui le suivait. Bingo. Il lui a rétrécit son coffre puis est descendu lui demander l'explication de son arrêt inopiné. Sans attendre une quelconque explication de l'inconscient il lui a asséné que cela ne se faisait pas de s'arrêter comme ça sans en avertir les successeurs et que, par conséquent, il était en mesure de lui faire un procès.
Bouazza s'est dit qu'il était temps d'aller se coucher.
Bonne est votre nuit.
 
D'un ami anonyme.

Episode premier.

Bouazza prend un peu d'air frais sur son balcon en contemplant les gens. Il est minuit et le boulevard est encore très fréquenté. La circulation est dense et les flics à moitié endormis tentent tant bien que mal de réguler le trafic. Une bagarre éclate sur le trottoir et le premier automobiliste qui l'aperçoit s'arrête. Non pour séparer les deux gaillards en train de se dépouiller mais pour admirer le spectacle. L'automobiliste qui le suit ne sachant pas pourquoi son prédécesseur s'est arrêté voit rouge. Il appuie violemment sur son klaxonne super puissant qu'il a fait installer sur sa Renault 19 pour affirmer sa virilité. Il est fou de rage contre ce minable qui ose s'arrêter devant lui et lui faire perdre deux minutes de son précieux temps maintenant qu'il a fini son noss-noss* au café et qu'il doit rentrer dîner. Il est prêt à bondir de son char pour aller trucider l'insolent qui a osé perturber la circulation mais ce dernier fini par repartir. Il lui hurle qu'il a de la chance d'avoir fini par comprendre sa bêtise, enclanche la première et démarre mais à peine a-t-il fait deux mètres qu'il aperçoit la bagarre à son tour. Il s'arrête net. Non pas pour aller séparer les deux gaillards en train de se dépouiller mais pour admirer le spectacle. L'automobiliste derrière lui, fou de rage appuie violemment sur le klaxonne...
Bouazza en conclue que ses concitoyens sont vraiment çons et qu'il ferait mieux d'aller se coucher.
* noss-noss = café crème.



Toujours les mêmes stories bidons du même abruti que tu partage souvent...un style de collégien...une frustration d'octogénaire..et une finesse d'esprit de segpa 🤣
 
Tu te crois sérieusement intéressant ?


Tu te braques car je dit que ta source est superficielle ???

je n'ai jamais clamé ou réclamé de l'attention ou un quelconque intérêt à mes interventions, c'est ton interprétation, ce forum n'est pas un centre d'aide sociale.

mais bon cette interprétation ne m'étonnes pas d'un esprit qui s'abreuve à des sources bidons et minables
 
Tu te braques car je dit que ta source est superficielle ???

je n'ai jamais clamé ou réclamé de l'attention ou un quelconque intérêt à mes interventions, c'est ton interprétation, ce forum n'est pas un centre d'aide sociale.

mais bon cette interprétation ne m'étonnes pas d'un esprit qui s'abreuve à des sources bidons et minables
Tu ne connais pas ma source.
Noureddine et Majid (deux écrivains connus) signent leurs écrits et je ne me permettrai jamais de les partager sans les citer.
Ta spécialité ici (et depuis ton adhésion) a toujours consisté à dénigrer sans aucun argument de valeur tout ce qui ne va pas dans ton sens.
Le minable est celui qui juge avec des œillères tout en se croyant intéressant.
 
c'est le style de ta source habituelle, celui qui ne prend sa plume que pour cracher sur l'islam et les pays maghrébins, je ne me rappelle plus du nom mais c'est peut étre "tellal" ou quelque chose comme cela en tout les cas cela ressemble à son pauvre style
Tu n'arriveras jamais à sa cheville mon pauvre. Tu ne le connais que par les quelques partages que j'ai rapporté. Tu n'as ni son niveau culturel ni social. Contente toi de dénigrer et pleurnicher. Gnagna l'islam, Gnagna les maghrébins.
C'est un marocain, directeur d'une grande banque et musulman mais pas en pacotille. Il applique à la lettre l'adage "qui aime bien châtie bien". Un adage qui te dépasse.
Ceci dit, ce n'est pas de lui. Le récit est réel et ne crache que sur les çons.
 
Spéciale dédicace 😂😂

Les défenseurs du peuple...

Le Marocain est kamouni... Et il est le premier à le reconnaître ! Il est bourré de défauts mais il a une immense qualité... Il le reconnaît sans se faire prier !
Le peuple est le premier à se gausser de ses travers et nulle part ailleurs, on ne pratique l'autodérision à un tel degré de finesse et d'excellence...

Je voudrais donc m'adresser à tous ceux qui nous reprochent de "critiquer les Marocains" que nos compatriotes, "9echabtthoum ous3a"...
Que les "hlay9ias", les troubadours et les amuseurs font partie de notre culture ancestrale...

Il se trouve aussi que beaucoup de ces avocats qui se sont commis d'office pour défendre l'honneur des Marocains mis à mal par quelques sketchs ou chroniques bon enfant sont des francophones accomplis qui n'ont certainement pas eu l'occasion de fréquenter les enfants du peuple sur les bancs de l'école... Circonstance atténuante, donc !

Qui croient que le Marocain se complait dans la médiocrité et qu'il y a surtout lieu de le laisser s'y vautrer... Soyez à l'écoute du peuple, chers amis et vous commencerez enfin à le connaître... À appréciez son sens de l'humour...
Et même à connaître ses besoins !

N. Tallal
 
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