Si une nuit BaMoulay, fidèle à sa mission,
S'avise de me venir cueillir, vous le verrez bientôt
Chercher contre moi refuge auprès de Dieu.
Le lion à qui j'administre un soufflet
Saigne du mufle et s'enfuit à la hâte,
Mes ongles ayant fait offense à ses griffes.
Que je me porte au-dessus des lances
Que l'on se risque à dresser contre moi,
Et elles se briseront en touchant ma poitrine.
Qu'on me laisse déféquer en paix:
Je ne me soulage que sur mon âne BaMoulay!
Ce n'est pas moi qui a commencé mais c'est bien toi et comme toujours tu cherches des réponses
échaptoires
Allez souhaite-moi bon anniverssaire c.est aujourd'hui le mien