Les derniers jours du prophete (saws)

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Sanzo

VIB
Qu'ALLAH VOUS ECLAIRE.

BONNE LECTURE -

Le prophète (qpssl) avait 63 ans, il était bien fatigué et avait beaucoup donné ! Il avait traversé tellement d'épreuves: il avait été orphelin, il avait perdu son père, sa mère, son grand-père, son oncle, 7 de ses enfants étaient morts (4 filles et 3 garçons) deux de ces filles lui avaient été renvoyées, divorcées des fils d'Abou Jahl, avec lesquels elles avaient été mariées avant la révélation. Il avait été frappé, insulté de tous les noms, rejeté par 26 tribus auxquelles il avait proposé de l'accueillir, la femme qui avait partagé 25 ans de sa vie et avait été pour lui un soutien considérable était morte, son honneur était entaché pendant un mois avec l'histoire (fausse) de la trahison d'Aïcha, il avait mené près de 29 batailles en 8 ans, à 55 ans passés, dans des conditions d'extrême dureté à cause de l'environnement hostile, la chaleur et les longs trajets dans le désert d'Arabie! Il avait été blessé à la tête d'un coup d'épée qui avait cassé son casque faisant pénétrer son bout métallique dans sa joue... (tout cela pour que tu deviennes musulman(e))...

Tout cela fit qu'à 63 ans, il n'était plus capable d'accomplir les prières surérogatoires debout et les accomplissait donc assis. Lorsqu'on lui demanda: « Tu pries assis ? Qu'as-tu ya rassoul'Allah ? », il répondit: « Je me suis fatigué à force de me soucier des gens. »

Omar lui dit: « Tu as des cheveux blancs ô messager d'Allah! » Il lui répondit: « Houd m'a fait vieillir! » (Il s'agit d'un bout de verset qui dit 'demeure sur le droit chemin comme il t'est commandé....')

Cette année là, il sortit pour le pèlerinage d'adieu et répéta : « Ô gens! Prenez de moi (en me regardant pour m'imiter) vos actes de dévotion, peut-être que vous ne me trouverez pas à cet endroit après cette année! »

Puis a été révélé le verset : « J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et j'agrée l'Islam comme religion pour vous »

Les gens furent heureux en apprenant ce verset sauf Abou-Bakr qui pleura!

Lorsqu'on lui demanda ce qui le faisait pleurer, il répondit: «C'est (ce verset) l'annonce de la mort (faire-part de décès) du prophète (qpssl)!

C'est le faire-part du décès du prophète (qpssl)! »

[En effet, Abou Bakr avait du discernement, puisque si la religion était parachevée et le message fini, la mission du prophète (qpssl) était arrivée à son terme et donc son existence sur terre aussi!]

Puis le prophète (qpssl) tomba gravement malade pendant treize jours...Neuf jours avant sa mort, le dernier verset est révélé: « Et craignez le jour où vous serez ramenés vers Allah. Alors chaque âme sera pleinement rétribuée de ce qu'elle aura acquis. Et ils ne seront point lésés »

Huit jours avant sa mort, il dit: « Mes frères d'Ohod (les martyrs) me manquent! Je veux leur rendre visite. » Il alla les voir et leur dit: «Assalam aleykoum martyrs d'Ohod! Vous êtes les précurseurs et je suis, inch'Allah, le suivant. »

Sur le chemin du retour, il se mit à pleurer, et ses compagnons lui demandèrent : «Qu'est-ce qui te fait pleurer ya rassoul'Allah? »Il répondit: « Mes frères me manquent! » On lui dit alors : « Ne sommes-nous pas tes frères? » Il dit : « Non! Vous êtes mes compagnons! Mes frères sont des gens qui viendront après moi, croiront en moi alors qu'ils ne m'ont pas vu! »

Puis son état de santé s'aggrava.

Il rassembla alors ses épouses, chez Maymouna, et leur dit : « M'autorisez-vous à me faire soigner chez Aïcha ? » As-tu vu les bonnes manières et le noble comportement envers ses épouses?

Il souhaitait passer les jours de sa convalescence chez Aïcha, ce qui veut dire qu'il ne pourrait pas voir ses autres épouses aux jours habituels, puisque chaque épouse avait son jour]

Elles l'autorisèrent à aller chez Aïcha. Il voulut alors se lever, mais n'y parvint pas! Vinrent alors Ali et Al Fadl pour le soutenir et l'aider à se déplacer jusque chez Aïcha. Les gens virent dans quel état était le prophète (qpssl). Inquiets, ils se rassemblèrent dans sa mosquée sans boire ni manger et attendirent des nouvelles.

Le prophète (qpssl), chez Aïcha essuya la sueur de sur son front et dit: «La ilaha illa Lah! Certes la mort a ses moments d'agonie. »

Puis il demanda : « Qu'est-ce que ce bruit?' (Le bruit venait de la mosquée car sa maison n'est séparée de la mosquée que par une porte avec un rideau). On lui dit alors: « Les gens se sont rassemblés, ils ont peur pour toi. » Il dit: « Emmenez-moi à eux!»

Une fois à la mosquée, il dit: « Ô gens! On dirait que vous avez peur pour moi? » Ils répondirent: « Oui! Ô messager d'Allah! »

Il répliqua : « Ô gens! Mon rendez-vous avec vous n'est pas ici-bas! Mon rendez-vous avec vous est aux abords du bassin (le jour du jugement dernier)!

Par Allah! C'est comme si je le voyais de là où je suis! Ô gens! Par Allah! Je ne crains pas la pauvreté pour vous! Mais (bien au contraire), je crains pour vous (les mondanités de) la vie d'ici-bas! (Je crains que) vous vous la disputiez comme ceux qui vous ont précédés, et qu'elle vous fasse périr comme elle les a fait périr!! Ô gens! Je vous recommande de prendre soin de vos femmes! Je vous recommande de prendre soin de vos femmes! Ô gens! Je vous en conjure pour la prière! (Ne l'abandonnez pas!)

Ô gens! Si j'ai fouetté (injustement) le dos de quelqu'un (d'entre vous) voici mon dos, qu'il vienne me rendre la pareille!

Si j'ai souillé l'honneur (ou réputation) de quelqu'un, voici mon honneur qu'il me rende la pareille!

Si j'ai pris de l'argent à quelqu'un, voici mon argent qu'il me le reprenne et qu'il ne craigne pas la rancune, elle n'est pas dans ma nature!

Jusqu'à ce que je retrouve Allah avec une âme saine et pure. »

Puis il a dit: « Ô gens! Allah a proposé à un serviteur de choisir entre la vie d'ici-bas et la rencontre d'Allah et il a choisit la rencontre d'Allah!
 
[Seul Abou bakr comprit que le serviteur dont il parlait était lui-même, alors il se leva, coupa la parole au prophète (qpssl) et lui dit: « je sacrifie tout mon avoir pour toi! Je sacrifie mon père pour toi!

Je sacrifie ma mère pour toi! Je sacrifie mon enfant pour toi! »

Les gens ont regardé Abou bakr avec désapprobation et réprimande (car il avait interrompu le prophète (qpssl) (psl) ce qui était un véritable sacrilège !). D'ailleurs les compagnons, dans les récits, utilisaient tous la même formule pour décrire à quel point ils étaient attentifs lorsque le prophète (qpssl) commençait un prêche : « Nous l'écoutions (et nous ne bougions pas) comme si nous avions (chacun) un oiseau sur la tête (et que nous craignions qu'il ne s'envolât, effrayé, si nous bougions)].

Le prophète (qpssl) leur dit: Ô gens! Laissez Abou bakr! (Ne le réprimandez pas!) Par Allah! Aucun d'entre vous ne nous a rendu service sans qu'on l'ait récompensé! Sauf Abou bakr! Je n'ai pas pu le récompenser, alors j'ai laissé sa récompense à Dieu!

Puis, il leva les mains et fit des invocations: « Qu'Allah vous mette à l'abri! Qu'Allah vous assiste! Qu'Allah vous honore! Qu'Allah vous préserve! Qu'Allah vous consolide ! Ô gens! Passez mon salam à quiconque me suivra de ma oumma jusqu'au jour du jugement dernier! »

[C'est bon! nous sommes en 200è et le salam est arrivé! Wa'aleyk assalam ya rassoul'Allah! ]

Puis, le prophète (qpssl) retourna chez lui, sa douleur s'intensifia.. Il s'allongea tellement il était épuisé. Il vit dans la bouche de son beau-frère, Abdel-Rahmane ben Abou Bakr, un 'siwak' mais il fut incapable de le lui demander. Aïcha, avec sa bienveillance, vit sur quoi le regard du prophète (qpssl) était tombé, alors elle retira le siwak de la bouche de son frère et le mit dans la bouche du prophète (qpssl) (par l'autre bout), mais il fut incapable de se frotter les dents avec car celui-ci était dur et le prophète (qpssl) agonisait. Donc Aïcha reprit le siwak et le mit dans sa bouche, à elle, pour le mouiller et le rendre moins dur, puis elle le remit dans la bouche du prophète (qpssl). [Elle s'en souviendra et dira que ce fut un honneur pour elle que ce soit sa salive qui entre en dernier dans la bouche du prophète (qpssl) juste avant sa mort]. Quelle affection!

Le prophète (qpssl) demanda qu'on le laisse seul avec Aïcha, qui vint à côté de lui, et il posa sa tête sur la poitrine de sa femme.

[Quelle scène magnifique! Le prophète (qpssl) de l'humanité mourut dans les bras de sa femme? Oui! »

Il ne mourut pas l'épée à la main en martyr, et Dieu sait que cette mort est belle, ni en lisant le Coran, et Dieu sait que cette mort est belle, ni en priant, et Dieu sait que cette mort est belle! Non!

Il mourut dans les bras de sa femme! Tout un symbole!

Un honneur pour la femme musulmane et un message auquel nous avons été très peu attentifs malheureusement!]

Cela montre aussi toute l'affection et l'amour qu'il y avait dans ce couple.. Puis, il leva la main et dit : « Plutôt la compagnie du Très Haut! Plutôt la compagnie du Très Haut! »

En fait, ce qui se passa, c'est que Jibril entra et salua le prophète (qpssl) : « Assalam aleyk ya rassoul'Allah! » Et le prophète (qpssl) répondit : « Wa 'aleyk Salam ya Jibril!» (Aicha entendit le prophète (qpssl) répondre et comprit que Jibril était présent).

Puis, Jibril dit au prophète (qpssl) : «L'ange de la mort est à la porte, il demande l'autorisation d'entrer et il ne la demandera à personne après toi.» Le prophète (qpssl) lui dit : « Autorise-le à entrer ya Jibril!»

(Aicha entendit cela aussi et elle comprit que l'ange de la mort était présent).

L'ange de la mort entra et dit : « Assalam aleyk ya rassoul'Allah!

Allah m'a envoyé te proposer de choisir entre la vie ici-bas et la rencontre avec Allah. »

Malgré l'agonie, le prophète (qpssl) leva la main et dit : « Plutôt la compagnie du Très Haut! Plutôt la compagnie du Très Haut! »

L'ange de la mort vint alors à côté de la tête du prophète (qpssl) et dit :

« Ô toi, bon esprit ! Esprit de Mohamed ben Abdallah! Sors vers l'agrément et les bonnes grâces d'un Dieu satisfait non fâché (contre toi) ! »

La main du prophète (qpssl) tomba! Et sa tête devint lourde dans les bras de Aïcha. Elle raconta: «Je sus qu'il était mort mais je ne savais pas quoi faire! Alors j'écartai le rideau qui séparait ma maison de la mosquée, [Seul le prophète (qpssl) empruntait cette issue qui donnait sur la mosquée. à chaque fois que le rideau était écarté les gens voyaient apparaître le prophète (qpssl) mais pas cette fois-ci

J'entrai chez les hommes réunis à la mosquée et je criai : Le prophète est mort! Le prophète est mort! Toute la mosquée éclata en sanglots et aucun d'eux ne trouva la force de se lever de sa place! »

Voilà! Le prophète (qpssl) est mort! Le prophète (qpssl) est mort! Il a été mis en terre et couvert de terre...

Fatema, sa fille, a dit à Anas: Ô Anas! Comment avez-vous fait pour (de bon coeur) couvrir de terre le visage du Messager ?

Le prophète a plus de droit sur les croyants qu'ils n'en ont sur eux-mêmes et ses épouses sont leurs mères...' (XXLIII-6)? Donc, si ses épouses sont leurs mères, lui est un père pour eux! Il l'a dit lui-même : '

Il est mort!...

Louange à Allah, Bienfaiteur Miséricordieux. Paix et bénédiction sur son Prophète, Mohammad Ibn Abdallah, Ultime envoyé d'Allah. Guide des législateurs. L'envoyé d'Allah Mohammad, salla Allah u alihi wa sallam, (à lui bénédiction et salut) a dit: «Qu'Allah embellisse le visage de qui, ayant entendu ma parole, la conserve dans son cœur, puis la transmet à d'autres, telle qu'il l'a entendue».

Mohamed, grandeur et bonté Oh gloire à celui qui nous a sauvé Humble serviteur d'Allah l'exalté A toi seul, on peut se référé Mohamed le bien aimé Exemple sur toi, nous prendrons Délivre nos coeurs par le pardon Ton champs d'action est l'islam Tolérance, amour sont deux graines, semées au file du temps Certaines fleurs ont fanés d'autres se sont épanouies. La bulbe restera la même, peut importe l'endroit de l'implant Elle gardera cette empreinte que nul ne pourra effacer Celle du savoir et de la vérité.

Venons et partons ensemble à la découverte de la vie de ce merveilleux personnage nommé Mohammad (que la paix et les bénédictions d'Allah soient sur Lui), car rien d'autre de tel n'a jamais foulé le sol de ce monde. L'exemple de ses enseignements peut révolutionner Ta vie et notre monde, et ce, pour le meilleur.

ya rasulila innaka hubak billah

Abdel Aziz ibn h wazir

Mes Frères, Vous qui prendrez lecture de ce livret, nous vous engageons de ne point le faire d'une manière ordinaire. Nous vous demanderons de le lire avec attention par amour pour Allah, de l'étudier si possible et de le diffuser autour de vous. De là il en ressort que l'Envoyé d'Allah, salla Allah u alihi wa sallam, a dit: «Propagez l'instruction religieuse, et même après votre mort vous aurez la bénédiction de ceux qui l'auront mis en pratique.»

En effet le Saint - Prophète, salla Allah u alihi wa sallam, a dit :

«Celui qui étudiera quarante Hadices pour le bienfait de mes partisans, Allah l'élèvera au jour de la résurrection parmi les saints et les Martyrs et lui dira entre au Paradis par la porte que tu désires.

En agissant ainsi, puisse la grâce d'Allah se répandre sur nous,

Amine.
 
L'AN NEUF DE L'HEGIRE de Victor HUGO

Comme s’il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne un reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s’arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,
Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : « Je touche à mon aube dernière.
Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. »
Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l’étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
« Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. »
Un cheikh lui dit : « Ô chef des vrais croyants ! Le monde,
Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquis une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. »
Lui, reprit : « Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. »
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : « Dieu t’assiste ! »
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : « voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
Tenu tête dans l’ombre aux Anges effrayants
Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C’est ainsi
Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. »
Il ajouta : « Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n’est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept cieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. »
Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
« O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. »
La foule s’écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
Disant : « Mieux vaut payer ici que dans la tombe. »
L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit, couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
« Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. »
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
« Qu’il entre. » On vit alors son regard s’éclairer
De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
Et l’Ange lui dit : « Dieu désire ta présence. »
« Bien », dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.

Victor Hugo, le 15 janvier 1858.
 
Mais dis donc le post est déja tombé tout en bas de page.

Il ne reste plus qu'a le remonter par la force de mes seuls bras.

Ho hisse !!

As salam aalikoum

Je peux t'aider ? car je pense qu'en ce vendredi il est important de se rappeler la fin de notre prophéte (saws) et savoir que l'un des plus grands poétes de la littérature française lui ai rendu hommage à travers ce poème est une fierté.
 
barrakallahou fik sanzo !!! je le lirai ce soir car comme je me connais ... je suis très sensible et je vais déverser des torrents de larmes par amour pour notre prophète ....

j'ai rdv je dois y aller

merci bcp et il ne faut surtout pas que ce post tombe dans les oubliettes!
 
Barrakallah ou fikoum mes frères, le récit de la mort du prophète se passe de commentaires tellement il est émouvant et il inspire de l'amour pour notre prophète sws . Quant au joli poème de victor Hugo, j'ai beaucoup étudié l'auteur et jamais je n'en ai entendu parlé! C'est vraiment etonnant parce qu'il est très beau mais peu connu je pense..
 
L'AN NEUF DE L'HEGIRE de Victor HUGO

Comme s’il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne un reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s’arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,
Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : « Je touche à mon aube dernière.
Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. »
Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l’étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
« Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. »
Un cheikh lui dit : « Ô chef des vrais croyants ! Le monde,
Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquis une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. »
Lui, reprit : « Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. »
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : « Dieu t’assiste ! »
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : « voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
Tenu tête dans l’ombre aux Anges effrayants
Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C’est ainsi
Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. »
Il ajouta : « Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n’est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept cieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. »
Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
« O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. »
La foule s’écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
Disant : « Mieux vaut payer ici que dans la tombe. »
L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit, couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
« Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. »
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
« Qu’il entre. » On vit alors son regard s’éclairer
De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
Et l’Ange lui dit : « Dieu désire ta présence. »
« Bien », dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.

Victor Hugo, le 15 janvier 1858.

As salam aalikoum

Un peu de poésie..dans un monde de brutes !
 
Barakallahou fikoum...c'est toujours un plaisir de lire la véritable histoire du prophete sallahou3alaihi wassalam...et merci pour ce poeme que je ne connaissez pas.
 
Qu'ALLAH VOUS ECLAIRE.

Les gens furent heureux en apprenant ce verset sauf Abou-Bakr qui pleura!

!


Et c'est donc pour cela qu'a la mort du Prophète il ne pris pas l temps de l'enterer mais se refugia dans un lieu pour decider qui serait son successeur

pourtant un enterrement c'es 3 jours

Le monde islamique est- il si fragile ? pour qu'il se jette sur la califa sans rendre la peine d'enterer notre Saint Prophète !!!!!
 
Et c'est donc pour cela qu'a la mort du Prophète il ne pris pas l temps de l'enterer mais se refugia dans un lieu pour decider qui serait son successeur

pourtant un enterrement c'es 3 jours

Le monde islamique est- il si fragile ? pour qu'il se jette sur la califa sans rendre la peine d'enterer notre Saint Prophète !!!!!

Le chiisme n' est pas remis en question là, merci de ne pas polluer ce magnifique post.

Laisse les compagnons du prophète (sws) tranquilles si tu le respect un peu.
 
L’histoire nous rapporte aussi un évenement d’une grande signification, survenu lors de la maladie grave dont souffrit le Prophète, et empêcherent que l’on lui amenât une tablette et de l’encre.55

Obeyydollah ibn ‘Abdullâh ibn ‘Atabeh rapporte qu’Ibn Abbas a dit :

« La journée du jeudi ! et quel jeudi ! » évoquant le jour de la mort du Prophète. Le plus grand malheur arriva aux musulmans, quand la dispute entre certains compagnons – dont Omar Ibn al-Khattab qui voulait suggérer que l’Envoyé de Dieu était en train de divaguer – empêcha le Saint Prophète d’écrire son dernier testament (ce par quoi les croyants ne s’égareraient point après lui). 56

Lors d’une discussion qu’il eu avec Ibn Abbas, le second calife lui dit :

« L’Envoyé de Dieu voulait mentionner Ali, mais je ne l’ai pas laissé faire. » 57

De nombreux traditionnistes et historiens sunnites ont rapporté cette parole du deuxième calife : « L’Envoyé de Dieu divague. »
D’autres ont essayé d’en atténuer la gravité, en la rapportant comme suit : « Le Prophète ne résiste plus à la douleur de la maladie, nous avons le Livre de Dieu, le Livre de Dieu nous suffit. » 58


Comme si l’Envoyé de Dieu ignorait la valeur du Livre de Dieu et que les compagnons pouvaient l’estimer mieux que lui !

55 Boukhari Sahih tome 1 page 22, Tabari Tarikh tome 2 page 436….
56 Voir Tabaqât d’Ibn Sa’d tome 2 page 242, Musnad d’Ibn Hanbal tome 1 page 336, Sahih de Muslim tome 11 page 95
57 Cela se rapporte à l’incident au cours duquel le Prophète demanda qu’on lui amenât de quoi écrire, et où Omar le second calife, pour empêcher que cela se fasse, avait dit que le Prophète divaguait. Voir à ce sujet : Ibn Abi-al-Hadîd dans son « Charh Nahdf al – Balâgha » tome 3 page 97.
58 Muslim. Sahih tome 3, chapître du testament, page 1259 – Boukhari Sahih tome 4 page 5
 
il n'est pas question de chiisme mais de fait historique un peu d'objectivité
merci de repondre au precedent question



Et c'est donc pour cela qu'a la mort du Prophète il ne pris pas l temps de l'enterer mais se refugia dans un lieu pour decider qui serait son successeur
pourtant un enterrement c'es 3 jours
Le monde islamique est- il si fragile ? pour qu'il se jette sur la califa sans rendre la peine d'enterer notre Saint Prophète !!!!!


C' est l' homme qui est fragile, pas la religion. Abou Bakr sadi9 (ra) a donner toute sa fortune fisabil illah, il s' inquiétait de l' avenir de la communauté, une chose qui tenais a cœur au prophète. Donc ce qu' il a fait va dans le sens de ce que rassoulou llah lui a enseigné.
Et vous arrivez avec votre secte pour détourner les musulmans de la vérité.
 
Lorsque le Prophete à la fin de sa vie bénie, préparait une armée pour faire la guerre aux Byzantins, il lui désigna comme commandant en chef, le jeune Usâma ibn Zayd Hâritha al-Chaybâni.

Le choix de ce jeune homme déplut à beaucoup de compagnons qui pensaient que le Prophète aurait pu choisir un homme parmi les plus anciens dans l’islam et les plus âgés. L’affaire prit des proportions telles que l’on en vint à une dispute verbale en présence du Prophète ; et certains parmi les plus résolus dans leur opposition demandèrent même que le jeune chef militaire soit écarté. Mais le Prophète ne céda en rien.

Malgré les ordres réitérés du Prophète enjoignant à l’armée de se mettre en mouvement, et à Abou Bakr et Omar de rejoindre les rangs des combattants, ces deux hommes désobéirent au commandement clair du Prophète, et refusèrent de se rendre au combat, sous prétexte qu’ils ne pouvait pas supporter de se séparer du Prophète, alors souffrant ... 53

Deux jours avant son décès, le 10 du mois Rabi’al-awwal, le Prophète, profondément indigné des propos de certains compagnons, et bien que gravement souffrant sortit de sa maison pour s’adresser aux gens. Il monta sur la chaire, et après avoir loué Dieu, il dit :

« Ô gens ! Que signifie ce propos qui m’est parvenu, de certains d’entre vous au sujet de ma désignation d’Usâma comme chef (amîr). Si vous critiquez ma designation d’Usâma, vous aviez auparavent dénigré ma désignation de son père, bien avant lui. Dieu sait que son père était qualifié pour le commandement, et son fils possède aussi toutes les qualités requises pour cela."54

L’Envoyé de Dieu s’efforçait de vider Médine de ses principaux chefs des Ansars et des Muhâdjirouns ; c’est dans ce but qu’il prépara l’armée d’Usâma, et lui ordonna de se mettre en mouvement au plus tôt en direction de la Syrie. Il ordonna avec insistance que ses principaux compagnons rejoigent l’étendard d’Usâma, et voulut garder Ali auprès de lui, dans les moments décisifs qui allaient marquer la fin de sa vie. Ces mesures prises par le Prophète ne furent malheureusement pas suivies d’effet, à cause de la désobeissance de certains compagnons.

Jamais le Prophète n’avait mis Ali en qualité de subordonné à un autre chef que lui – même. Bien au contraire, Ali a toujours été le porte-étendard du Prophète, ou le commandant en chef de l’armée, alors que Abou Bakr et Omar étaient là placés sous les ordres d’Usâma, comme ils furent un jour sous les ordres de Amr ibn al-‘As, dans l’expédition de Dhât al-Salâsil.

53 Ibn Hichâm S’îrat tome 4 page 338 ; al-ya’qoubî tome 2 page 92 etc…
54 Ibn Sa’d Tabaghât tome 2 page 249


je vous en prie un peu de discernement dans vos recit
 
« Au sujet des compagnons, le Messager de Dieu a dit:

On amènera des hommes de ma communauté, ils seront conduits à gauche, je dirai: Ô mon Seigneur! Ce sont des gens de parmi mes Compagnons. Le Seigneur me répondra:
Tu ne sais pas ce qu'ils ont fait après toi. - Je dirai ce qu'a dit le serviteur vertueux:
Et je fus témoin contre eux aussi longtemps que je fus parmi eux. Puis, lorsque Tu m'as rappelé, c'est Toi qui devint leur observateur attentif.

- Mon Seigneur ajoutera:

Ceux-là sont retournés à leur ancien état depuis que tu les as quittés.

[Al-Bukhari, explication de la Sourate Al-Ma 'ida, chapitre Ayyuha R-rassul, balligh mâ unzila ilayka, et explication du Verset Al-Anbiya' ; Tirmidhi, chapitre Sifat Al-Qiyama, chapitre 'mâjâ 'a fi sha 'ni l-hashr ainsi que l'explication de la Sourate Tâ-Hâ ].

Selon un autre récit:

"Certains de mes compagnons seront refoulés du Bassin, je les reconnaîtrai, alors, je dirai: Ils sont mes Compagnons.Dieu dira: Tu ne sais pas ce qu'ils ont commis après toi."

(Al-Bukhari, Livre Ad-Da'awat. chapitre Fi Al-Hawd; Ibn Màjà. Livre Al-Manâsik, chapitre Al-Khutba yawm an-Nahr, hadith n 5830; Musnad de Ahmad. 1: 453 : 3: 28 : 5 :48)

Dans Sahîh de Muslim, il est rapporté ceci:

"Des hommes qui furent parmi mes compagnons seront refoulés du Bassin, je les apercevrai ... alors, je dirai: Ô Seigneur! Ils sont mes Compagnons.Dieu me répondra: Tu ne sais pas ce qu'ils ont commis après toi ."

(Sahih, de Muslim, Livre Al-Fadâ 'il, chapitre Ithbât Hawd Nabiyyinâ, hadith n° 4). Voir aussi la version en langue française de : Le Compagnon et la question de son équité - Seyyed Murtadha Al-Askari ¬éd. : Rashed - Bruxelles - Belgique - 1421-2000 - p. 22 et suivantes
 
La secte Chiite Ar-Râfida, l’allié principal de tous ceux qui méprisent l’Islam, l’instrument de tous ceux qui s’attaquent à la religion et lui sont malintentionnés...


Dés lors que nous disons, voilà ce qu’Allah a dit [dans Son Livre]... et ce qu’a dit le messager d’Allah - prières et bénédiction d'Allah sur lui - :

Ils répondent aussitôt, voilà ce que disent nos imams...

Ceci est d’une ressemblance incontestée avec les hypocrites quand on les appelle vers Allah [Kitab Allah] et Son messager [As-Sounna], pour juger parmi eux bien qu’Allah – soubhanahou oua ta’ala – dit : « Et ils disent: "Nous croyons en Allah et au messager et nous obéissons". Puis après cela, une partie d'entre eux fait volte-face. Ce ne sont point ceux-là les croyants. * Et quand on les appelle vers Allah et Son messager pour que celui-ci juge parmi eux, voilà que quelques-uns d'entre eux s'éloignent. * Mais s'ils ont le droit en leur faveur, ils viennent à lui, soumis. * Y a-t-il une maladie dans leurs cœurs? ou doutent-ils ? ou craignent-ils qu'Allah les opprime, ainsi que Son messager? Non!... mais ce sont eux les injustes. * La seule parole des croyants, quand on les appelle vers Allah et Son messager, pour que celui-ci juge parmi eux, est: "Nous avons entendu et nous avons obéi". Et voilà ceux qui réussissent. * Et quiconque obéit à Allah et à Son messager, et craint Allah et Le redoute... alors, voilà ceux qui récoltent le succès... » [Sourate An-Nour – 47/52]

http://alghourabaa.free.fr/web/page132.html
 
1er )

Ibn 'Asâkir rapporte le témoignage suivant de Mohammad Fils de Sa'd Abî Waqqâç: «Lorsque j'ai demandé à mon père: "Est-ce que Abû Bakr (al-Çiddîq) fut le premier d'entre vous à embrasser la foi (musulmane)?». Il répondit: "Non, car il y avait plus de cinq personnes qui s'étaient converties avant lui, mais il était le meilleur d'entre nous en Islam"». Al-Tabarî

Ibn Kathîr dit: «Il est clair que la famille de Mohammad - sa femme Khadîjah, son esclave affranchi, Zayd et la femme de celui-ci, Om Aymân, 'Alî et Waraqah - crut en lui avant tous autres». Ibn Athîr, Ibn Khaldûn.

Salim Ibn Abî Ja'd, cité par Ibn Abî Chayhab et Ibn 'Asâkir, dit: «J'ai demandé à Mohammad Ibn Hanîfah: "Abû Bakr fut-il la première personne à embrasser l'Islam?". Il a répondu: "Non". ». "Al-'Aqd al-Farîd"; "Mujrûj al-Thahab"; "Kanz al-'Ummâ".

2ème)

Ou encore ce texte : Al-Tirmithî et al-Hâkim confirment, en se référant à Borayda, que le Messager de Dieu dit: «Le Seigneur m'a ordonné l'amour de quatre hommes et m'a déclaré qu'IL les aime». On lui demanda: «Ô Messager de Dieu! Nomme-les». Il répondit: «'Alî en fait partie (il le répéta trois fois), Abû Thârr, al-Miqdâd et Salmân». (Al-Tirmithî et al-Hâkim)

3eme)

Le Messager de Dieu a dit : «Après moi c'est Ali qui est le chef de tous les croyants» Imam Ahmad ibn Hanbal

Le Prophète a dit également: «Ali est issu de moi, je suis issu de lui, il est le chef de tous croyants après moi» Sahih Attirmidhi !

Le Prophète de Dieu a dit: «Ali est issu de moi, je suis issu de lui, et nul ne peut me représenter sauf lui.» Sounan Ibn Majeh, Sahih Atirmidhi .

Maintenant dis qui est "la partie qui a fait volte face" si tu raisonne
 
Pas une secte tu dis.


L'Imam 'Ali est le Messager a qui il devait être donné le Qor'an ?
Le Cheikh des Chiites Rawafidhs Chahâta nous fait un tafssir des versets suivants :

"[C'est Lui] qui connaît le mystère. Il ne dévoile Son mystère à personne, sauf à celui qu'Il agrée comme Messager et qu'Il fait précéder et suivre de gardiens vigilants"
[Sourate 72 Verset 26 - 27]

Il ose dire que celui qu'Allah agrée comme Messager est l'Imam !

Le "Cheikh" Rafidhi Et-Toubroussi dit que dans le Qor'an on trouve des Contradictions et des Versets "ridicules" !


Une Traduction du Qor'an pour leurer les Sunnites Francophones !

Les Chiites Rawafidhs ne cachent plus la Mécréance, pour tromper les Musulmans ils n'hésite pas à changer le sens des versets du Qor'an ! ! !
A vous de voir :

Vous pouvez remarquez comment les Chiites Rawafidhs traduisent le Verset 67 de la Sourate intitulé Al-Mâ'idah :
Voici le vrai verset :

يَا أَيُّهَا الرَّسُولُ بَلِّغْ مَا أُنزِلَ إِلَيْكَ مِن رَّبِّكَ وَإِن لَّمْ تَفْعَلْ فَمَا بَلَّغْتَ رِسَالَتَهُ وَاللّهُ يَعْصِمُكَ مِنَ النَّاسِ إِنَّ اللّهَ لاَ يَهْدِي الْقَوْمَ الْكَافِرِينَ

et la traduction :

ش Messager, transmets ce qui t'a été descendu de la part de ton Seigneur. Si tu ne le faisait pas, alors tu n'aurais pas communiqué Son message. Et Allah te protégera des gens. Certes, Allah ne guide pas les gens mécréants.

Et voici la traduction qu'en font les ChiitesRawafidhs :

"Dieu a commandé au Prophète de désigner son successeur par ton Seigneur. Si tu ne le fais pas, tu n'auras pas fait connaître Son Message. Dieu te protégera contre les hommes; Dieu ne dirige pas le peuple incrédule" (Sourate al-Mâ'idah, verset 67)." ! ! !
 
tu en veux d'autres :


Al Mouhhib Al Tabrî a rapporté dans "Dhakhâer Al 'Oqba", p.97, d'après Omar qui a dit : "J'ai entendu le Messager d'Allah (saw) dire à Ali (as) Ô Ali Le Jour de La Réssurection tu rentreras avec moi là où je rentrerai, main dans la main".

Al Kanjî Al Châfi'î dans "Kifâyat Al Tâleb", p.76 et voici ce qui y est dit d'après Anas : Le Prophète(saw) a dit : Le Jours de La Résurrection, nous sera apportée une chamelle des chamelles du Paradis, Ô Ali tu monteras dessus, et nous serons ensemble jusqu'à ce que tu rentres au Paradis".


Le Messager d'Allah (sawa) a dit: «"Celui qui désire mener une vie comme la mienne et avoir une fin comme la mienne, et habiter le Paradis d'Allah planté par DIeu. Il doit suivre après moi Ali et ses partisans, se faire guider par ma progéniture qui a été créée de la même matière que la mienne. Dieu les a doté de ma pensée et de mon Savoir. Gare à ceux de ma communauté qui nient leurs qualités et leurs vertus, qui récusent de par eux mon lien. Dieu les prive de mon intercession» Moustadrak Al-Hakem: Volume 3 page 128

Ibn Al Hajar a rapporté dans son livre "Al Sawâ'iq Al Mouhriqa", p.108, que Ibn Asammân a rapporté dans son livre "Al Mouwâfaqa", d'après Ibn Abbas qui a dit : "Lorsque Abou Bakr et Ali sont venus pour visiter la tombe du Prophète (saw) 6 jours après sa mort, Ali a dit à Abou Bakr : Je t'en prie (de rentrer dans la pièce où se trouve la tombe honorée[du Prophète], Abou Bakr a alors dit : Je ne rentrerai pas avant une personne à propos de laquelle j'ai entendu le Prophète(saw) dire : Ali est à moi, ce que je suis à Dieu." Rapporté également par Al Mouhhib Al Tabarrî Al Shâfi'î dans "Dhakhâer Al 'Oqba", p.64 et dans "Al Riâdh Al Nadhra", vol.2, p.163.


Un homme est venu en jour chez Omar ibn Khattab et lui dit: "Que dois-je faire si je ne trouve pas d'eau après l'acte sexuel?" Omar lui répondit : "Abandonnes les prières" Sahih Al Boukhari

Alors que le Coran dit : "Si vous êtes en état d'impureté et que vous manquiez d'eau, posez-vous alors les mains sur une roche pure..." (Al Mayda, 5)


C 'est qui les egaré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


A TOUS LES MUSULMANS DE CE FORUM ETUDIAIENT LES FAITS HISTORIQUE AVEC LE SAHIH DE MUSLIM ET BOUKHALI ET VOUS VERREZ

VOUS COMPRENDREZ POURQUOI JE NE SUIS PLUS SUNNITE
 
Pas une secte tu dis.


L'Imam 'Ali est le Messager a qui il devait être donné le Qor'an ?
Le Cheikh des Chiites Rawafidhs Chahâta nous fait un tafssir des versets suivants :

"[C'est Lui] qui connaît le mystère. Il ne dévoile Son mystère à personne, sauf à celui qu'Il agrée comme Messager et qu'Il fait précéder et suivre de gardiens vigilants"
[Sourate 72 Verset 26 - 27]

Il ose dire que celui qu'Allah agrée comme Messager est l'Imam !

Le "Cheikh" Rafidhi Et-Toubroussi dit que dans le Qor'an on trouve des Contradictions et des Versets "ridicules" !


Une Traduction du Qor'an pour leurer les Sunnites Francophones !

Les Chiites Rawafidhs ne cachent plus la Mécréance, pour tromper les Musulmans ils n'hésite pas à changer le sens des versets du Qor'an ! ! !
A vous de voir :

Vous pouvez remarquez comment les Chiites Rawafidhs traduisent le Verset 67 de la Sourate intitulé Al-Mâ'idah :
Voici le vrai verset :

يَا أَيُّهَا الرَّسُولُ بَلِّغْ مَا أُنزِلَ إِلَيْكَ مِن رَّبِّكَ وَإِن لَّمْ تَفْعَلْ فَمَا بَلَّغْتَ رِسَالَتَهُ وَاللّهُ يَعْصِمُكَ مِنَ النَّاسِ إِنَّ اللّهَ لاَ يَهْدِي الْقَوْمَ الْكَافِرِينَ

et la traduction :

ش Messager, transmets ce qui t'a été descendu de la part de ton Seigneur. Si tu ne le faisait pas, alors tu n'aurais pas communiqué Son message. Et Allah te protégera des gens. Certes, Allah ne guide pas les gens mécréants.

Et voici la traduction qu'en font les ChiitesRawafidhs :

"Dieu a commandé au Prophète de désigner son successeur par ton Seigneur. Si tu ne le fais pas, tu n'auras pas fait connaître Son Message. Dieu te protégera contre les hommes; Dieu ne dirige pas le peuple incrédule" (Sourate al-Mâ'idah, verset 67)." ! ! !


CE SONT TELS SEULS ARGUMENTS

100 fois j'ai dit que les hommes qui ont dit que Ali aurait du etre le messager a ETE BRULER PAR ALI EN PERSONNE a son epoque

trouve autre chose
 
CE SONT TELS SEULS ARGUMENTS

100 fois j'ai dit que les hommes qui ont dit que Ali aurait du etre le messager a ETE BRULER PAR ALI EN PERSONNE a son epoque

trouve autre chose

Ali (ra) était un compagnon du prophète (sws), il ne tolérait pas le mensonge. Pas comme les menteurs chiites d'aujourd'hui.
Trouves autre chose.

Ils disent même que le Coran est falsifié et que leur imam peut interdire et autoriser alors que cela a été interdit même au prophète (sws).
Qui sont les égarés? je sais pas , mais les chiites c' est sure qu' ils le sont.
 
Pas une secte tu dis.


Voici le vrai verset :

يَا أَيُّهَا الرَّسُولُ بَلِّغْ مَا أُنزِلَ إِلَيْكَ مِن رَّبِّكَ وَإِن لَّمْ تَفْعَلْ فَمَا بَلَّغْتَ رِسَالَتَهُ وَاللّهُ يَعْصِمُكَ مِنَ النَّاسِ إِنَّ اللّهَ لاَ يَهْدِي الْقَوْمَ الْكَافِرِينَ



"Dieu a commandé au Prophète de désigner son successeur par ton Seigneur. Si tu ne le fais pas, tu n'auras pas fait connaître Son Message. Dieu te protégera contre les hommes; Dieu ne dirige pas le peuple incrédule" (Sourate al-Mâ'idah, verset 67)." ! ! !

tu es un menteur voici la traduction en francais du verset que tu cite sur le cite albouraq.org

67. ô Messager, transmets ce qui t'a été descendu de la part de ton Seigneur. Si tu ne le faisait pas, alors tu n'aurais pas communiqué Son message. Et Allah te protégera des gens. Certes, Allah ne guide pas les gens mécréants
 
Ali (ra) était un compagnon du prophète (sws), il ne tolérait pas le mensonge. Pas comme les menteurs chiites d'aujourd'hui.
Trouves autre chose.

Ils disent même que le Coran est falsifié et que leur imam peut interdire et autoriser alors que cela a été interdit même au prophète (sws).
Qui sont les égarés? je sais pas , mais les chiites c' est sure qu' ils le sont.

il n'y a que les wahabittes c'est detracteurs de l'islam qui donnent ses propos au chiite imaites
 
tu es un menteur voici la traduction en francais du verset que tu cite sur le cite albouraq.org

67. ô Messager, transmets ce qui t'a été descendu de la part de ton Seigneur. Si tu ne le faisait pas, alors tu n'aurais pas communiqué Son message. Et Allah te protégera des gens. Certes, Allah ne guide pas les gens mécréants

C' est une traduction chiite, je sais que c' est un mensonge. C' est ce que j' arêtes pas de te dire.
Les chiites sont des menteurs, tu l' avoues c' est bien.

Bonne journée. Fin de la discutions.
 
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