Les grandes affaires de l'Histoires

L' ASSASSINAT DE JOHN KENNEDY

"Il est extrêmement difficile de conserver le secret absolu dans une affaire où le nombre de personnes concernées dépasse deux".
Jean-Michel Beau


John Kennedy fut le 35ème président des Etats-Unis élu en 1960 en battant in extremis le républicain Richard Nixon par le plus petit écart électoral de l'Histoire des USA (si l'on excepte évidemment l'épisode tragi-comique du duel Bush-Gore en 2000). Premier catholique à exercer le poste suprême, sa personnalité ne laissait pas indifférent : ou bien on l'admirait pour son charisme qui était réel ou bien on le détestait pour ses options politiques mais il ne laissait en général pas indifférent. En 1963, désireux d'être réélu et conscient que son bilan politique en trois ans restait assez moyen, il se lança dans une très longue campagne électorale. Ses conseillers lui avaient proposé de porter ses efforts sur les Etats du sud où les Démocrates (en Europe, on dirait la gauche) étaient moins populaires que les Républicains (la droite).

En novembre 1963, John Fitzgerald Kennedy se retrouve dans un Etat où la situation du parti démocrate est particulièrement délicate : le Texas, un des fiefs du parti républicain.

Le 22 novembre 1963, John Kennedy débarque en compagnie de son atout charme sa femme Jacqueline Bouvier à Dallas, une ville où il fait l'objet de vives critiques et même de menaces à peine voilées.

Le petit prince maudit de l'Amérique allait y rencontrer son destin.
 
DALLAS, 22 NOVEMBRE 1963, 12H30

Ce jour-là, il faisait beau et doux à Dallas. Hélas, devrait-on écrire car s'il avait plu, rien peut-être ne se serait passé.

A la descente de l'avion Air Force One, John Kennedy et son épouse prennent place à l'arrière d'une somptueuse limousine Ford Lincoln décapotée vu les conditions climatiques favorables. Devant eux se trouvent le gouverneur du Texas John Connally et sa femme. La voiture est pilotée par un agent du Secret service (terme que l'on aurait tort de traduire littéralement par Service secret. Il s'agit en fait d'un service de protection du Président). La Limousine est suivie par un important cortège de voitures officielles.

John Kennedy doit traverser une grande partie de la ville à vitesse réduite pour se rendre à une réception officielle, l'idéal pour saluer la foule qui se presse le long du parcours. Les habitants de Dallas lui réservent un accueil généreux, ce qui ne manque pas d'étonner le couple présidentiel.

Vers 12H30, le cortège arrive sur Dealey Plaza, quasiment en fin de parcours. Soudain, plusieurs coups de feu éclatent (Trois? Quatre? Plus?). Kennedy est touché à la tête, le gouverneur Connally est aussi blessé. Emmenés à l'hôpital Parkland, les médecins tentent l'impossible pour sauver le Président mais ils doivent rapidement constater le décès de l'homme le plus puissant du monde. Les chirurgiens parviendront par contre à sauver Connally.
 
L' ASSASSINAT DE JOHN KENNEDY

"Il est extrêmement difficile de conserver le secret absolu dans une affaire où le nombre de personnes concernées dépasse deux".
Jean-Michel Beau


John Kennedy fut le 35ème président des Etats-Unis élu en 1960 en battant in extremis le républicain Richard Nixon par le plus petit écart électoral de l'Histoire des USA (si l'on excepte évidemment l'épisode tragi-comique du duel Bush-Gore en 2000). Premier catholique à exercer le poste suprême, sa personnalité ne laissait pas indifférent : ou bien on l'admirait pour son charisme qui était réel ou bien on le détestait pour ses options politiques mais il ne laissait en général pas indifférent. En 1963, désireux d'être réélu et conscient que son bilan politique en trois ans restait assez moyen, il se lança dans une très longue campagne électorale. Ses conseillers lui avaient proposé de porter ses efforts sur les Etats du sud où les Démocrates (en Europe, on dirait la gauche) étaient moins populaires que les Républicains (la droite).

En novembre 1963, John Fitzgerald Kennedy se retrouve dans un Etat où la situation du parti démocrate est particulièrement délicate : le Texas, un des fiefs du parti républicain.

Le 22 novembre 1963, John Kennedy débarque en compagnie de son atout charme sa femme Jacqueline Bouvier à Dallas, une ville où il fait l'objet de vives critiques et même de menaces à peine voilées.

Le petit prince maudit de l'Amérique allait y rencontrer son destin.
L'affaire DSK !!!!
lol
 
Sur les lieux de l'attentat, la confusion est complète. Des témoins affirment que les tirs sont partis d'un immeuble situé derrière la limousine, d'autres moins nombreux indiquent une butte gazonée entourée d'une barrière en bois se trouvant devant le cortège au moment des détonations. La police boucle le quartier et s'intéresse particulièrement au Texas School Book Depository (TSBD), un immeuble servant de dépôt de livres scolaires et d'où des tirs sont, semble-t-il, partis. Au cinquième étage du TSBD (sixième niveau pour les Américains), les policiers de Dallas découvrent une carabine italienne et trois douilles. Très vite et assez bizarrement, une description très vague (homme blanc, trentaine, 1m80) d'un homme vu à la fenêtre de cet étage est communiquée aux patrouilles de la police de Dallas. Vers 13H15, dans un quartier éloigné de plusieurs kilomètres des lieux du crime, un agent de police du nom de Tippit remarque un homme qui correspond au signalement. Il tente de le contrôler mais l'homme sort un revolver et le tue. Plus tard, à proximité, un homme fort nerveux pénètre dans une salle de cinéma sans payer. La police est avertie et pénètre en force dans le cinéma. Non sans mal, les policiers arrêtent un homme armé. Son nom deviendra célèbre dans le monde entier : Lee Harvey Oswald.

Emmené au commisariat, les choses vont prendre rapidement une mauvaise tournure pour Oswald. Interrogé sur la mort de Tippit et de Kennedy, il nie en restant très maître de lui. Il va d'abord être inculpé du meurtre de l'agent Tippit. Ensuite, il sera longuement interrogé sur l'assassinat de JFK car de lourdes charges pèsent sur lui. Employé au dépôt de livres, il s'y trouvait au moment de l'assassinat. Les policiers ont également la preuve que le fusil retrouvé avait été commandé par Oswald sous un faux nom. La police va également avoir accès aux dossiers de Lee Harvey Oswald détenus par différents services. On découvre que Oswald est un ancien militaire qui séduit par les thèses marxistes a trouvé un moment refuge en URSS. Oswald y travailla quelques années dans une usine à Minsk et y épousa une jeune femme. Par la suite, déçu du communisme, il revint aux Etats-Unis accompagné de sa femme. Cela ne l'empêcha pas de garder une certaine sympathie pour la philosophie extrémiste de gauche et d'afficher publiquement son appui pour Castro. Mais devant la presse, Oswald persiste à nier et lâche cette phrase sibylline : "Je suis un bouc-émissaire".

Le 23 novembre, le procureur et ses services inculpent officiellement Oswald de l'assassinat du Président des Etats-Unis. Oswald qui, notons-le, n'a toujours pas pu bénéficier de l'assistance d'un avocat.

Le lendemain, Oswald doit être transféré à la prison de Dallas. Entouré par de nombreux policiers et devant une meute de journalistes, Oswald doit traverser tout d'abord le parking souterrain de la police. Soudain, un homme bondit devant lui et lui tire une balle dans le ventre. Les policiers se jettent sur le tireur pour l'immobiliser. Ils sont pour le moins surpris : l'homme qui vint de tirer est une de leur vieille connaissance, Jack Ruby un propriétaire de boîtes de strip-tease. Transporté à l'hôpital Parkland, Oswald y décède en emportant son secret. Sommé de s'expliquer sur son geste fatal, Ruby explique avoir simplement voulu venger la mort du Président de manière impulsive et dans un moment de folie.
 
DALLAS, 22 NOVEMBRE 1963, 12H30

Ce jour-là, il faisait beau et doux à Dallas. Hélas, devrait-on écrire car s'il avait plu, rien peut-être ne se serait passé.

A la descente de l'avion Air Force One, John Kennedy et son épouse prennent place à l'arrière d'une somptueuse limousine Ford Lincoln décapotée vu les conditions climatiques favorables. Devant eux se trouvent le gouverneur du Texas John Connally et sa femme. La voiture est pilotée par un agent du Secret service (terme que l'on aurait tort de traduire littéralement par Service secret. Il s'agit en fait d'un service de protection du Président). La Limousine est suivie par un important cortège de voitures officielles.

John Kennedy doit traverser une grande partie de la ville à vitesse réduite pour se rendre à une réception officielle, l'idéal pour saluer la foule qui se presse le long du parcours. Les habitants de Dallas lui réservent un accueil généreux, ce qui ne manque pas d'étonner le couple présidentiel.

Vers 12H30, le cortège arrive sur Dealey Plaza, quasiment en fin de parcours. Soudain, plusieurs coups de feu éclatent (Trois? Quatre? Plus?). Kennedy est touché à la tête, le gouverneur Connally est aussi blessé. Emmenés à l'hôpital Parkland, les médecins tentent l'impossible pour sauver le Président mais ils doivent rapidement constater le décès de l'homme le plus puissant du monde. Les chirurgiens parviendront par contre à sauver Connally.
je sais pas si tu a vu le film SHOOTER TIREUR D ELITE mais dedans ya une replique qui ma plu je sai plu les mots exacte mai ct a peu pre:
"Dit toi que le mec qu'a tué Kennedy, une heure apres c'été lui qu'était mort et enterré dans le desert''
Sous entendu que ces assasinats commandité, le vrai tueur on le retrouvera jamais!!
jai bocou aimé la replique!
 
Il ya karl marx qui a dit: celui qui ne connait pas l'histoire est confronté à la revivre

mais il faut croire que l'histoire est toujours contée par les vainqueurs, on dit que Xerxès est un monstre tyrannique car il était vaincu par Léonidas, que les gaulois étaient des sauvages car il furent vaincu par césar, hitler est un monstre parce qu'il a perdu sadam est un monstre parce qu'il a perdu...etc.seuls les vainqueurs sont ceux qui écrivent l'histoire et osent dire ce qu'ils veulent de leur adversaires
 
je sais pas si tu a vu le film SHOOTER TIREUR D ELITE mais dedans ya une replique qui ma plu je sai plu les mots exacte mai ct a peu pre:
"Dit toi que le mec qu'a tué Kennedy, une heure apres c'été lui qu'était mort et enterré dans le desert''
Sous entendu que ces assasinats commandité, le vrai tueur on le retrouvera jamais!!
jai bocou aimé la replique!

je ne l'ai pas vu.... mais celui passé sur Canal était avec des images d'archives..."JFK, mort en direct " je t'invite à le regarder si cette affaire t'intéresse
 
Il ya karl marx qui a dit: celui qui ne connait pas l'histoire est confronté à la revivre

mais il faut croire que l'histoire est toujours contée par les vainqueurs, on dit que Xerxès est un monstre tyrannique car il était vaincu par Léonidas, que les gaulois étaient des sauvages car il furent vaincu par césar, hitler est un monstre parce qu'il a perdu sadam est un monstre parce qu'il a perdu...etc.seuls les vainqueurs sont ceux qui écrivent l'histoire et osent dire ce qu'ils veulent de leur adversaires

seulement les vainqueurs d'hier sont les vaincus d'aujourd'hui et inversement !

l'histoire se réécrit parfois !
 
l'affaire du Watergate

L’affaire du Watergate est le plus grave scandale politique qu’aient jamais connu les États-Unis. Il contraignit le président en place à démissionner, et modifia pour longtemps les rapports d’influence entre le président et le Congrès, tout comme le prestige attaché à l’institution. Jamais une affaire policière n’avait eu de telles répercussions à l’échelle de la politique intérieure. Et pourtant, tout avait commencé comme une « tentative de cambriolage de troisième ordre » (selon un porte-parole de la Maison Blanche)...

En effet, le 17 juin 1972, à une heure du matin, le gardien de l’immeuble du siège du Parti démocrate, le Watergate, fait sa ronde de nuit. Il remarque que deux portes, qu’il avait pris soin de fermer quelques temps auparavant, ont été forcées. La police, discrètement alertée, saisit cinq hommes en flagrant délit dans les locaux du parti. Une banale arrestation. Banale? Pas si sûr. A y regarder de plus près, ces cinq cambrioleurs ne ressemblent guère à des cambrioleurs ordinaires. On trouve sur eux de l’argent liquide leur appartenant, un impressionnant arsenal de matériel électronique d’écoute et d’espionnage, qui les fait plus ressembler à des agents secrets qu’à des voleurs.

Tout de suite se pose la question : d’où cet argent vient-il ? Flairant le scoop, deux journalistes du Washington Post, Carl Bernstein et Bob Woodward, vont mener tambour battant une enquête qui va très rapidement les amener jusqu’au CRP (Comité pour la Réélection du Président), et, par delà cet organisme écran, le proche entourage de Nixon. De son côté, l’enquête judiciaire met rapidement en lumière le rôle occulte joué par la CIA, ainsi que ses collusions avec le CRP.

C’est alors que les têtes commencent à tomber. Un homme de main, Hunt, puis le président du CRP, parti « s’occuper de sa famille ». Mais bien d’autres questions restent sans réponse. La plus importante d’abord, pourquoi les cinq hommes se sont-ils introduits dans le quartier général du Parti démocrate ? Pour poser des micros, semble-t-il, mais au profit de qui ? Pour voler des documents, peut-être, mais lesquels ? Ah ! si du moins l’on connaissait le nom du responsable de l’opération, de celui qui a donné le feu vert...
 
De son côté, le 22 juin, le président Nixon a fait une déclaration publique : « La Maison Blanche n’a aucune part dans cet incident précis ». Et l’intérêt pour l’affaire s’affaiblit lentement. Rien de sensationnel à annoncer ou à lire dans ce magouillage politicien. Un relent qui se dégage de la vie politique, rien de plus. Mais le Washington Post, influent, bien informé, empêche que le scandale soit étouffé. Il révèle que des sommes colossales ont été blanchies par le CRP pour soutenir tout un tas d’actions à la légalité plus que douteuse. Le Watergate, c’est déjà en 1972 une scandale qui souligne le financement parfois illégal de la campagne électorale des républicains.

Cependant, l’élection présidentielle est un véritable triomphe pour Nixon. Il en conclut que sa victoire vient de balayer le dernier souffle du scandale et les dernières semaines de 1972 lui donnent raison. Le réveil de 1973 n’en est que plus brutal. C’est le 8 janvier que s’ouvre le procès des cinq « plombiers » du Watergate, plus deux de leurs commanditaires. L’un d’eux, McCord, cède sous la pression et les activités illicites du CRP apparaissent au grand jour. Le juge Sirica reporte la sentence de McCord en espérant que les choses vont se calmer et les langues se délier, mais voilà que le Congrès s’en mêle. En janvier, le chef de la majorité démocrate confie au sénateur Sam Erwin la présidence d’une commission spéciale d’enquête sur la campagne présidentielle. Mais avant même le début de ses travaux, le bruit du scandale commence à remonter jusqu’aux proches du président. De rebondissement en rebondissement, le Watergate se présente comme la révélation de pratiques gouvernementales qui, en utilisant l’abus de pouvoir, ne visent ni plus ni moins qu’à saper les fondements du régime démocratique.

C’est l’heure du grand chambardement. Nixon décide enfin d’agir. Le 30 avril, il prononce une allocution télévisée pour faire savoir que ses plus proches collaborateurs, Dean, Ehrlichman et Haldeman démissionnent. Ceci a pour effet de leur coller l’étiquette de coupable sur le dos. S’ils sont responsables, il est innocent. Le reste n’est que manipulation de l’opinion. Mais ce sacrifice reste vain.
 
Merci infiniment pour ton sujet, Benaulit!

Que savons nous de l'attentat de Lockerbie?

Je m'y interesse car, bien entendu, fascinee par l'aviation et specialement les crashs aeriens...

En decembre 1988, les debris d'Boeing 747 de Pan Am s'ecrasent sur le village de Lockerbie (Suisse). 270 passagers et membres d'equipage y trouvent la mort, ainsi que 11 habitants...Le crash a eu lieu suite a l'explosion d'une bombe, soigneusement dissimulee dans une valise.

Apres la syrie, l'iran et la palestine...La libye est accusee: deux libyens sont accuses, et juges et emprisonnes.

En 2009, l'un des deux est libere, pour des raisons de sante (cancer...).

Personne ne connait toujour, quelle est la partie reellement commandite l'attentat...

En rappel, juillet 1988, le vol Iran air 655 est attaque par des missiles provenant d'un navire de guerre americain...290 personnes trouvent la mort, donc 66 enfants...
 
Merci infiniment pour ton sujet, Benaulit!

Que savons nous de l'attentat de Lockerbie?

Je m'y interesse car, bien entendu, fascinee par l'aviation et specialement les crashs aeriens...

En decembre 1988, les debris d'Boeing 747 de Pan Am s'ecrasent sur le village de Lockerbie (Suisse). 270 passagers et membres d'equipage y trouvent la mort, ainsi que 11 habitants...Le crash a eu lieu suite a l'explosion d'une bombe, soigneusement dissimulee dans une valise.

Apres la syrie, l'iran et la palestine...La libye est accusee: deux libyens sont accuses, et juges et emprisonnes.

En 2009, l'un des deux est libere, pour des raisons de sante (cancer...).

Personne ne connait toujour, quelle est la partie reellement commandite l'attentat...

En rappel, juillet 1988, le vol Iran air 655 est attaque par des missiles provenant d'un navire de guerre americain...290 personnes trouvent la mort, donc 66 enfants...

je ne connaissais pas cette dernière affaire !

je vais chercher plus d'infos !

à nous de faire vivre ce topic .....juste pour le plaisir !
 
je ne connaissais pas cette dernière affaire !

je vais chercher plus d'infos !

à nous de faire vivre ce topic .....juste pour le plaisir !

Peu de gens la connaissent...Comme tu le sais, les USA mettent en valeur la partie qui les innocente, et brouillent le reste des pistes, en graissant la patte a certains pays pauvres, meme en assassinant et signalant la disparition d'autre...
 
Peu de gens la connaissent...Comme tu le sais, les USA mettent en valeur la partie qui les innocente, et brouillent le reste des pistes, en graissant la patte a certains pays pauvres, meme en assassinant et signalant la disparition d'autre...

en faisant des recherches sur le Net, il s'avère que mal mal de grandes affaires sont issues de ce continent ( étrange comme la pilule passe mieux dés que ça touche l'homme blanc ) :prudent:
 
en faisant des recherches sur le Net, il s'avère que mal mal de grandes affaires sont issues de ce continent ( étrange comme la pilule passe mieux dés que ça touche l'homme blanc ) :prudent:

Et justement, sur le vol d'iran air, il y avait une majorite d'iraniens, une bonne partie de syriens aussi...tous civils...Abattus par un croiseur, et oooops! les USA s'excusent de leur erreur en indemnisant les familles et creant tout un scenario comme ce qu'on voit dans leurs films, avec l'heure du tir, les erreures d'instruments...
 
seulement les vainqueurs d'hier sont les vaincus d'aujourd'hui et inversement !

l'histoire se réécrit parfois !


Effectivement ma chère, il faut croire
Que chaque peuple a sa part de gloire
Ce qui a mené les nations a leur apogée
Est,désormais celle qui va les abroger
L'histoire est un roman et nous ses personnes
L'auteur est Allah le seigneur de tout les ages
Les hommes sont pareils malgré leur divergences
Ils cherchent le pouvoir peu importe leur croyances
Et répètent toujours les erreurs déjà reconnues
Comme si ces dernières étaient inconnues
Leur nature est ainsi ils ne peuvent rien
Penser à les changer serait vain
 
Effectivement ma chère, il faut croire
Que chaque peuple a sa part de gloire
Ce qui a mené les nations a leur apogée
Est,désormais celle qui va les abroger
L'histoire est un roman et nous ses personnes
L'auteur est Allah le seigneur de tout les ages
Les hommes sont pareils malgré leur divergences
Ils cherchent le pouvoir peu importe leur croyances
Et répètent toujours les erreurs déjà reconnues
Comme si ces dernières étaient inconnues
Leur nature est ainsi ils ne peuvent rien
Penser à les changer serait vain

y'a t-il une affaire de l'histoire qui t'a plus particulièrement touché, ému ou intrigué ?
 
Tu me donnes envie d'ouvrir un topic sur les celebres crashs aeriens...Mais je ne sais pas si les bladinautes embarqueront...c'est certainement morbide, mais fascinant...
 
Tu me donnes envie d'ouvrir un topic sur les celebres crashs aeriens...Mais je ne sais pas si les bladinautes embarqueront...c'est certainement morbide, mais fascinant...

fait le ...à défaut de pouvoir participer activement, pas mal le liront en tout cas !

Beaucoup de mes topics n'ont pas énormément d'interventions mais beaucoup visites néanmoins ! ;)
 
fait le ...à défaut de pouvoir participer activement, pas mal le liront en tout cas !

Beaucoup de mes topics n'ont pas énormément d'interventions mais beaucoup visites néanmoins ! ;)

Difficile de te battre quand tu nous sors tes histoire (S) :langue:, je m'y mets bientot...
 
Tu me donnes envie d'ouvrir un topic sur les celebres crashs aeriens...Mais je ne sais pas si les bladinautes embarqueront...c'est certainement morbide, mais fascinant...
Je serai aussi un des lecteurs de ce peut être futur post comme la dis c'est super intéressent, comment un avion qui est censé être le transport le plus surs au monde peut il ce crasher.
 
scandale de Panama

Le scandale de Panama se solde le 20 mars 1893 par la condamnation à 5 ans de prison d'un ancien ministre des travaux publics, Baïhaut, qui a eu seul la naïveté d'avouer son implication dans cette gigantesque escroquerie. Parmi les autres inculpés, Ferdinand de Lesseps et Gustave Eiffel échappent de justesse à la prison grâce à une prescription bienvenue

Auréolé par la réussite du canal de Suez, Ferdinand de Lesseps s'était proposé de récidiver dix ans après, en 1879, avec le percement de l'isthme de Panama, entre l'océan Pacifique et l'océan Atlantique. L'isthme faisait alors partie de la Colombie.

Le 15 mai 1879, un Congrès international d'études du tunnel transocéanique se réunit à Paris sous la présidence de Lesseps, déjà âgé de 73 ans. Il examine divers projets plus ou moins farfelus (tunnel, chemin de fer pour bateaux, canal à 120 écluses....).

C'est finalement... Lesseps qui l'emporte avec le projet d'un canal de 75 km de long, sans écluses comme celui de Suez. La construction est prévue pour durer douze ans et coûter 600 millions de francs.

Comme pour Suez, Lesseps crée le 20 octobre 1880 une société anonyme en vue de collecter les fonds et conduire le projet, la Compagnie universelle du canal interocéanique de Panama. Les travaux débutent l'année suivante.

Mais l'isthme américain est traversé par une cordillère montagneuse très élevée et les premiers travaux se soldent par d'immenses difficultés. On fait venir d'abord des ouvriers chinois puis des Noirs de la Jamaïque. C'est bientôt l'hécatombe : épidémie de fièvre jaune, accidents de terrain, etc... font 20.000 victimes parmi les ouvriers. L'absurdité du projet fait reculer les banques.
 
Ferdinand de Lesseps lance alors plusieurs souscriptions auprès du public français. Mais il utilise les premiers fonds pour «arroser» la presse afin de cacher la réalité. En 1887, il a déjà englouti 1400 millions de francs en ayant seulement déblayé la moitié du terrain (il prévoyait au départ une dépense totale de 600 millions).

Dans l'impasse, il fait appel à l'ingénieur Gustave Eiffel, célèbre en raison de sa tour qui sera inaugurée à la faveur de l'Exposition universelle de 1889. Celui-ci n'hésite pas à engager son prestige au service du vieil entrepreneur et remet à plat le projet en prévoyant notamment des écluses.

Il faut encore trouver de l'argent...

Le scandale du siècle
Or la France entre dans une longue période de dépression économique et les épargnants sont peu enclins à se laisser séduire par l'aventure.

Ferdinand de Lesseps arrose donc la presse selon une pratique courante à l'époque dont témoigne Émile Zola dans son roman L'Argent. Émile de Girardin, député et journaliste réputé, fondateur de La Presse, a d'abord attaqué avec violence le projet avant de s'y rallier, et pour cause : il entre au conseil d'administration de la Compagnie !

Ferdinand de Lesseps corrompt aussi une centaine de ministres et de parlementaires, les «chéquards», pour obtenir des lois sur mesure et notamment le droit d'émettre un emprunt à lots. Quatre millions de francs sont distribués aux uns et aux autres.

Il est servi dans son entreprise de corruption par un affairiste d'origine juive, Cornélius Herz, et un intermédiaire lui aussi israélite, un certain Jacques Reinach, qui s'affuble d'une particule abusive et porte haut le titre de baron attribué à sa famille au siècle précédent par le roi de Prusse. Son cousin Théopraste Reinach, conservateur du musée du Louvre, est à l'origine d'une escroquerie à la tiare de Saitapharnès.

Malgré l'autorisation officielle d'émettre un emprunt à lots, le 9 juin 1888, la déconfiture de la Compagnie s'avère inéluctable dès l'année suivante. Le tribunal de la Seine prononce sa mise en liquidation judiciaire le 4 février 1889. Elle va entraîner la ruine de 85.000 souscripteurs.

Ferdinand de Lesseps sombre dans la sénilité. Il s'éteint tristement en 1895.
 
En 1892, Édouard Drumont, auteur du pamphlet antisémite La France juive (1886), dénonce le scandale de Panama dans son journal, La libre parole. Il souligne l'implication de plusieurs financiers israélites et relance de ce fait l'antisémitisme en France. L'affaire Dreyfus éclatera trois ans plus tard.

Désabusés, les épargnants français vont désormais renoncer aux investissements industriels et leur préfèreront les placements de «père de famille» (comme les emprunts russes qui se solderont en définitive par une déconfiture aussi retentissante !).

Il appartiendra finalement aux Américains de percer l'isthme. Le canal de Panama- avec d'énormes écluses comme il se doit - sera inauguré le 3 août 1914... le jour même de la déclaration de guerre de l'Allemagne à la France.

http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=18930320
 
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