Les jeunes Marocaines s’en sortent mieux que ...

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Les jeunes Marocaines s’en sortent mieux que les Turques.

La KULeuven s'est penchée sur les immigrés de la seconde génération. Différences surprenantes entre Turcs et Marocains, et entre Anvers et Bruxelles.

Où en est la deuxième génération d’immigrés en termes d’accès à l’enseignement et à l’emploi ? C’est ce que le centre d’enquête sociologiques (CeSO) de la KULeuven a tenté de savoir en interrogeant 1 751 jeunes de 18 à 35 ans à Bruxelles et à Anvers. Les auteurs soulignent d’emblée que leur méthodologie est assez nouvelle par rapport à ce qui s’était fait jusqu’ici. Tout d’abord les deux groupes d’allochtones ont été choisis comme tels en fonction de l’origine géographique de leurs parents et non de leur nationalité (au moins un parent né au Maroc pour le premier groupe, au moins un parent né en Turquie pour le second). Ensuite le troisième groupe, celui des autochtones de référence, a été sélectionné dans les mêmes quartiers, pour obtenir un groupe sociologiquement le plus proche possible des deux premiers.

L’enseignement pour commencer, et d’emblée deux surprises. Tout d’abord, si les jeunes d’origine étrangère sont moins nombreux que les Belges de souche à obtenir un diplôme de l’enseignement supérieur (ce qui n’est, hélas, pas vraiment un scoop), la différence est beaucoup plus marquée à Anvers qu’à Bruxelles.

A Anvers, 38 % des hommes et 47,6 % des femmes d’origine belge y arriveront contre 13,3 % des Marocaines, 6,8 % des Marocains et même 6,4 % des Turques. A Bruxelles, les pourcentages sont comparables pour les jeunes Belges (avec une différence hommes-femmes encore plus marquée) mais les jeunes Marocaines sont tout de même plus de 30 % à finir diplômées du supérieur.

La deuxième surprise se trouve déjà dans les chiffres cités ci-dessus : parmi les immigrés, ce sont systématiquement les Marocainesqui s’en sortent le mieux et les jeunes Turques le moins bien, les hommes des deux pays se retrouvant entre les deux.

Mais l’enquête met d’autres éléments inattendus en avant. Ainsi, à Anvers, un Turc qui a au moins un ami d’origine belge à l’école secondaire a deux fois plus de chances d’accéder à l’enseignement supérieur. Rien d’étonnant là pour Karen Phalet, cheville ouvrière de l’étude. Interrogée par nos confrères du "Standaard", elle explique qu’un ami autochtone projettera le jeune d’origine étrangère dans ce "monde blanc" qu’est encore l’école. La salle des profs reste encore très "blanche". Cet ami va en quelque sorte servir de pont entre deux mondes qui, autrement, restent encore très séparés.

Un autre facteur qui peut aider grandement à franchir le seuil de la haute école ou de l’université est le soutien d’un enseignant. Par contre, se trouver dans une classe où il y a plus de 50 % d’immigrés fait nettement chuter les chances d’accès au supérieur.

Pour ceux et celles qui arrivent au bout de la course au diplôme, le parcours du combattant n’est pas nécessairement fini. Mais là, c’est Bruxelles qui discrimine davantage qu’Anvers. Dans la métropole, un diplômé turc a même plus de chances de décrocher un emploi rémunéré (74,6 %) qu’une femme d’origine belge (72,1 %). A Bruxelles, par contre, vu le niveau général du chômage, les chances sont nettement plus faibles pour tous, à part les femmes belges (70,4 %). Mais si les hommes d’origine belge sont encore à 54,3 %, les diplômés immigrés ont, toutes catégories confondues, moins d’une chance sur deux de décrocher un emploi au sortir des études. Et pour les hommes d’origine marocaine, ce sera même à peine plus d’une chance sur trois (38,3 %).

Enfin, beaucoup d’allochtones (grosso modo la moitié des femmes et les deux tiers des hommes) disent avoir déjà été victimes de discriminations à l’embauche. Et une majorité de Belges pense qu’à diplôme équivalent, l’accès à l’emploi est plus dur pour les immigrés. Bref, si l’on ose dire, il y a du boulot !

LaLibre.be


Les filles, moi je vous dis bravo, parce que...

je sais pas trop mais je vous le dis quand même.
 
....Ainsi, l'étude des trajectoires scolaires des groupes de nationalités permet d'établir qu'ils sont grossièrement divisés selon trois profils: - Au regard du pourcentage de sujets ayant obtenu leur diplôme d'études secondaires supérieures, les ressortissants européens installés en Belgique francophone, tracent un profil « haut ». La moitié de ces groupes nationaux sont en effet diplômés du niveau secondaire supérieur et 20 à 30 % de leurs effectifs poursuivent leur scolarité au niveau supérieur. Très peu de personnes abandonnent donc la scolarité dans ces groupes. - Le groupe national « espagnol, grec et portugais » et celui des Italiens dessinent un profil « moyen » avec 35 à 40 % des sujets diplômés en fin de secondaire, et 10 à 20 % des jeunes scolarisés au niveau supérieur. - Le troisième profil est dû aux Marocains et Turcs, ces derniers, d'ailleurs, présentant une scolarisation secondaire plus défectueuse que les Maghrébins. +/- 20 % seulement des personnes de ces groupes obtiennent leur diplôme de fin d'études secondaires, à peine 10 % sont aux études supérieures. Présentant un profil « bas », les jeunes Turcs semblent également éprouver beaucoup de difficultés en secondaire inférieur, puisqu'à peine 40 % d'entre eux y ont pu obtenir un diplôme.

.....


tiré du lien ci-dessus.
 
Les jeunes Marocaines s’en sortent mieux que les Turques.

La KULeuven s'est penchée sur les immigrés de la seconde génération. Différences surprenantes entre Turcs et Marocains, et entre Anvers et Bruxelles.

Où en est la deuxième génération d’immigrés en termes d’accès à l’enseignement et à l’emploi ? C’est ce que le centre d’enquête sociologiques (CeSO) de la KULeuven a tenté de savoir en interrogeant 1 751 jeunes de 18 à 35 ans à Bruxelles et à Anvers. Les auteurs soulignent d’emblée que leur méthodologie est assez nouvelle par rapport à ce qui s’était fait jusqu’ici. Tout d’abord les deux groupes d’allochtones ont été choisis comme tels en fonction de l’origine géographique de leurs parents et non de leur nationalité (au moins un parent né au Maroc pour le premier groupe, au moins un parent né en Turquie pour le second). Ensuite le troisième groupe, celui des autochtones de référence, a été sélectionné dans les mêmes quartiers, pour obtenir un groupe sociologiquement le plus proche possible des deux premiers.

L’enseignement pour commencer, et d’emblée deux surprises. Tout d’abord, si les jeunes d’origine étrangère sont moins nombreux que les Belges de souche à obtenir un diplôme de l’enseignement supérieur (ce qui n’est, hélas, pas vraiment un scoop), la différence est beaucoup plus marquée à Anvers qu’à Bruxelles.

A Anvers, 38 % des hommes et 47,6 % des femmes d’origine belge y arriveront contre 13,3 % des Marocaines, 6,8 % des Marocains et même 6,4 % des Turques. A Bruxelles, les pourcentages sont comparables pour les jeunes Belges (avec une différence hommes-femmes encore plus marquée) mais les jeunes Marocaines sont tout de même plus de 30 % à finir diplômées du supérieur.

La deuxième surprise se trouve déjà dans les chiffres cités ci-dessus : parmi les immigrés, ce sont systématiquement les Marocainesqui s’en sortent le mieux et les jeunes Turques le moins bien, les hommes des deux pays se retrouvant entre les deux.

Mais l’enquête met d’autres éléments inattendus en avant. Ainsi, à Anvers, un Turc qui a au moins un ami d’origine belge à l’école secondaire a deux fois plus de chances d’accéder à l’enseignement supérieur. Rien d’étonnant là pour Karen Phalet, cheville ouvrière de l’étude. Interrogée par nos confrères du "Standaard", elle explique qu’un ami autochtone projettera le jeune d’origine étrangère dans ce "monde blanc" qu’est encore l’école. La salle des profs reste encore très "blanche". Cet ami va en quelque sorte servir de pont entre deux mondes qui, autrement, restent encore très séparés.

Un autre facteur qui peut aider grandement à franchir le seuil de la haute école ou de l’université est le soutien d’un enseignant. Par contre, se trouver dans une classe où il y a plus de 50 % d’immigrés fait nettement chuter les chances d’accès au supérieur.

Pour ceux et celles qui arrivent au bout de la course au diplôme, le parcours du combattant n’est pas nécessairement fini. Mais là, c’est Bruxelles qui discrimine davantage qu’Anvers. Dans la métropole, un diplômé turc a même plus de chances de décrocher un emploi rémunéré (74,6 %) qu’une femme d’origine belge (72,1 %). A Bruxelles, par contre, vu le niveau général du chômage, les chances sont nettement plus faibles pour tous, à part les femmes belges (70,4 %). Mais si les hommes d’origine belge sont encore à 54,3 %, les diplômés immigrés ont, toutes catégories confondues, moins d’une chance sur deux de décrocher un emploi au sortir des études. Et pour les hommes d’origine marocaine, ce sera même à peine plus d’une chance sur trois (38,3 %).

Enfin, beaucoup d’allochtones (grosso modo la moitié des femmes et les deux tiers des hommes) disent avoir déjà été victimes de discriminations à l’embauche. Et une majorité de Belges pense qu’à diplôme équivalent, l’accès à l’emploi est plus dur pour les immigrés. Bref, si l’on ose dire, il y a du boulot !

LaLibre.be


Les filles, moi je vous dis bravo, parce que...

je sais pas trop mais je vous le dis quand même.


merci , et c'est mérité (za3ma la fille qui se la pète) :cool:
 
mm au Maroc se sont les filles qui ont les meilleures résultats

ca doit être génétique : D

il ne reste plus qu'aux hommes de se bouger un peu pour hausser ce taux de réussite très bas en Belgique...



oué c'est génétique za3ma , :cool: ça sert à rien qu'ils se bougent , c'est peine perdue :cool:
 
et à londres les afro-americaines s'en sortent mieux que les russes:rolleyes:



Je ne prétend nullement que les marocaines sont plus doués que les turques.

Que cela soit des tunisiennes, des congolaises ou encore des vietnamiennes, ça m'est égal.

J'ai voulusimplement à travers mon post rendre hommage à la gente féminine marocaine qui est trop souvent décrié, et en premier lieu, par nous les jeunes marocains.
 
Je ne prétend nullement que les marocaines sont plus doués que les turques.

Que cela soit des tunisiennes, des congolaises ou encore des vietnamiennes, ça m'est égal.

J'ai voulusimplement à travers mon post rendre hommage à la gente féminine marocaine qui est trop souvent décrié, et en premier lieu, par nous les jeunes marocains.

de toutes façons les marocains comme les turques en Belgique cumulent un pourcentage allant de 10 à 20% ce qui est -excusez moi de le dire- médiocre, il n y aucune raison pour en être fière.
¨Par contre cee qui est intéressant dans l'étude c'est de voir que les marocaines s'en sortent mieux que les hommes de la mm communauté.
 
de toutes façons les marocains comme les turques en Belgique cumulent un pourcentage allant de 10 à 20% ce qui est -excusez moi de le dire- médiocre, il n y aucune raison pour en être fière.

C'est sur que c'est médiocre, et il y a un travail à faire et ce des le jardin d'enfance.

J'ai pas statistiques, mais je crois que le phénomène est commun à beaucoup de pays, que ce soit pour un jeune asiatique qui arrive aux states ou un jeune afghan en angleterre; les chances de voir son fils rentrer à l'université sont assez basses.

Ce qu'il faudrait c'est une étude comparative au sein de l'UE, ça permettrait d'en faire sortir des pistes pour améliorer nos systèmes éducatifs.



Par contre cee qui est intéressant dans l'étude c'est de voir que les marocaines s'en sortent mieux que les hommes de la mm communauté.

T'as tout dit.
 
en ce qui concerne la communaute turque c est pas le meme mode de vie famillilal que les marocains.
un grande partie de la communaute turque vit replie sur elle meme.et le poids de la tradition est tres lourd.
une grande partie des famille turque empeche leur filles de frequenter l ecole et sont maries jeunes de preference a un turque de turquie.
les jeunes turques eux aussi sont sous-qualifies et je ne connais aucun turque qui frequentent l universite.
mais bon faut aussi savoir que la majorite des turques et des marocains sont tres intelligent,ils ne veulent pas passer leur plus belles annees assis dans une ecole,ils veulent vivre a fond leur vie et tant pis si il n y pas de diplome ou de qualifications.
 
mais bon faut aussi savoir que la majorite des turques et des marocains sont tres intelligent,ils ne veulent pas passer leur plus belles annees assis dans une ecole,ils veulent vivre a fond leur vie et tant pis si il n y pas de diplome ou de qualifications.

Bonjour albouhali,

enfin, maintenant, je sais que rouler sur la roue arrière d'un vélo, c'est un signe
d'intelligence...

ça doit être pour ça que les "autres" n'y arrivent pas, ils sont tellement ****...

blague à part, je ne sais pas si ton commentaire doit faire rire ou pleurer...
 
Bonjour albouhali,

enfin, maintenant, je sais que rouler sur la roue arrière d'un vélo, c'est un signe
d'intelligence...

ça doit être pour ça que les "autres" n'y arrivent pas, ils sont tellement ****...

blague à part, je ne sais pas si ton commentaire doit faire rire ou pleurer...

desole on a que une seule vie.
et moi je trouve ca *** de passer ses plus belles annees dans une ecole sinistre avec des profs qui sont arrogants.
 
Cette article est une honte limite insultant envers les communautés étrangères de Belgique.
Aaah les séquelles du blanc colonisateur, que de bon souvenir pour eux...
 
desole on a que une seule vie.
et moi je trouve ca *** de passer ses plus belles annees dans une ecole sinistre avec des profs qui sont arrogants.

Si tu n'as pas envie d'apprendre, de trouver un boulot, c'est ton choix
mais ne fais pas croire que tous les marocains sont comme toi
certains apprennent à l'école car ils savent que c'est le seul moyen
de trouver un travail.

c'est vrai que c'est dur pour eux, mais ça le sera encore plus s'ils
n'ont aucun bagage.

personne ne s'amuse à l'école, ça n'a pas été créé pour s'amuser !
 
Si tu n'as pas envie d'apprendre, de trouver un boulot, c'est ton choix
mais ne fais pas croire que tous les marocains sont comme toi
certains apprennent à l'école car ils savent que c'est le seul moyen
de trouver un travail.

c'est vrai que c'est dur pour eux, mais ça le sera encore plus s'ils
n'ont aucun bagage.

personne ne s'amuse à l'école, ça n'a pas été créé pour s'amuser !


je suis desole je ne partage pas ton opinion.


1- la vie est trop courte pour faire de trop longues etudes.

2-on peut tres bien se tuer a l ecole pour obtenir un diplome et puis mourrir au moment d avoir fini ses etudes.mais arreter de penser comme les europpeens.
il faut s en remettre a allah et vivre a fond sa vie.
 
en ce qui concerne la communaute turque c est pas le meme mode de vie famillilal que les marocains.
un grande partie de la communaute turque vit replie sur elle meme.et le poids de la tradition est tres lourd.
une grande partie des famille turque empeche leur filles de frequenter l ecole et sont maries jeunes de preference a un turque de turquie.
les jeunes turques eux aussi sont sous-qualifies et je ne connais aucun turque qui frequentent l universite.
mais bon faut aussi savoir que la majorite des turques et des marocains sont tres intelligent,ils ne veulent pas passer leur plus belles annees assis dans une ecole,ils veulent vivre a fond leur vie et tant pis si il n y pas de diplome ou de qualifications.


Que de clichés!!!
D'où tiens-tu tes sources?
Excuse-moi mais je ne suis absolument pas d'accord avec TOUT ce que tu as écris...
Je vis peut-être sur une autre planète... mdr
 
je suis desole je ne partage pas ton opinion.


1- la vie est trop courte pour faire de trop longues etudes.

2-on peut tres bien se tuer a l ecole pour obtenir un diplome et puis mourrir au moment d avoir fini ses etudes.mais arreter de penser comme les europpeens.
il faut s en remettre a allah et vivre a fond sa vie.

evidement, si c'est allah qui t'envoie ton chèque à la fin du mois pour payer ton
loyer et vivre, c'est autre chose...
 
evidement, si c'est allah qui t'envoie ton chèque à la fin du mois pour payer ton
loyer et vivre, c'est autre chose...

Et qui tu croyais que c' était, si Allah décide que demain tu crève, tu crèveras, si il décide qu' on te vole tout tes économies, cela se fera, que tu perds ton job pareil et ainsi de suite.
Il y a que les gens trop attaché à la dounia qui ne comprendront pas cela
 
Et qui tu croyais que c' était, si Allah décide que demain tu crève, tu crèveras, si il décide qu' on te vole tout tes économies, cela se fera, que tu perds ton job pareil et ainsi de suite.
Il y a que les gens trop attaché à la dounia qui ne comprendront pas cela

ce n'est pas la peine de t'enerver, je sais qu'allah est capable de tout, mais
je ne savais pas qu'il envoyait aussi des chèques...

tu pourrais me donner ses coordonnées ?
 
je suis desole je ne partage pas ton opinion.


1- la vie est trop courte pour faire de trop longues etudes.

2-on peut tres bien se tuer a l ecole pour obtenir un diplome et puis mourrir au moment d avoir fini ses etudes.mais arreter de penser comme les europpeens.
il faut s en remettre a allah et vivre a fond sa vie.

Si tu es musulman, tu devrais connaitre le premier versé révélé et l'importance de son message.

Concernant ce qu'il y a en gras; faut arrêter de voir le mal partout chez les non musulmans.
 
ce n'est pas la peine de t'enerver, je sais qu'allah est capable de tout, mais
je ne savais pas qu'il envoyait aussi des chèques...

tu pourrais me donner ses coordonnées ?

Ses coordonnées, tu pries 5 fois par jour minimum, mais ça tu dois le savoir déjà...
La vie ne se résume pas qu' à l' argent.
 
Ses coordonnées, tu pries 5 fois par jour minimum, mais ça tu dois le savoir déjà...
La vie ne se résume pas qu' à l' argent.

Mais chercher la facilité et le bien être, ici bas, n'est pas à mon avis contre islamique.

Si l'argent et les études permettent d'y arriver alors pourquoi ne pas en user, tant que ça respecte les préceptes religieux.
 
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