Salam, peux tu nous décrire ce reve s'il te plaît?
Salam, bien sûr
Au départ, je me trouvais dans un bâtiment immense, tellement immense qu'on aurait pu y installer une ville entière.
Je courais dans un très grand couloir, large d'au moins dix ou quinze mètres, dans le but de prévenir l'ensemble des personnes se trouvant dans l'immeuble que celui-ci allait s'écrouler et qu'il fallait vite l'évacuer. Il me semble que c'était un cataclysme beaucoup plus global, pas seulement le bâtiment.
À un moment donné, j'arrive dans une pièce où se trouvent trois hommes, assis à une table, d'un âge assez avancé. Je leur dis qu'il faut absolument se sauver d'ici sinon, ils mourront. Les trois ont refusé de partir, en disant qu'ils ont toujours vécu ici, et qu'ils mourront ici. Dans la panique, je leur demande de me donner leurs objets en or (?) parce que je suis conscient d'un effondrement économique imminent, où seul l'or sera valable comme monnaie d'échange, la monnaie officielle n'ayant plus de valeur. Sur ce, ils me donnent leurs bijoux et leurs montres (en or également) puis je m'en vais.
Ensuite, je devais me rendre à un autre endroit de cet immense immeuble. Mais dans mon esprit, il était plus rapide de sortir par une issue, pour y rentrer par une autre entrée. Je ne sais plus pour quel raison, un passage bloqué ou bien un raccourci.
En sortant, je cours dans la rue, et je passe près d'une maison, sur le bord d'une route assez large. Le sol du jardin est couvert de gravier assez gros, de couleur blanc-gris. Je me dis qu'il sera plus rapide de passer par cette maison.
La demeure est absolument somptueuse, faite de marbre blanc finement taillé, tellement brillant que j'ai pensé à de la porcelaine. On aurait dit que la maison entière était taillée dans un seul et même bloc. En entrant à l'intérieur, je suis dans un très long couloir, recouvert du sol au plafond par une tapisserie d'un rouge superbe, extrêmement propre. Tellement propre qu'on aurait dit que c'était neuf, que ça venait d'être posé et que personne n'était entré ici. Dans le couloir, aucune fenêtre, uniquement des portes de part et d'autre. Je parcours le couloir en courant, et c'est à ce moment-là que je me rends compte qu'il s'agit de la maison du Diable, comme si je le savais déjà avant, mais que dans la précipitation, je n'y avais pas pensé en entrant.
Et c'est à ce moment-là que je me réveille.
