Hasard du calendrier, toutes les polices municipales seront mardi autorisées à utiliser le Taser, ce pistolet à impulsion électrique qui avait créé la polémique, quelques jours après qu'un jeune a été blessé par cette arme. Une généralisation qui sera officialisée par un décret au «Journal officiel».
Cette arme, dite de neutralisation, équipe déjà la police nationale et la gendarmerie depuis plusieurs mois. Selon «Le Parisien», il y en aurait 3.800 en circulation.
Onze communes en ont déjà fait la demande, affirme le journal: il sagit de Hem (Nord), Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), Le Raincy (Seine-Saint-Denis), Claye-Souilly, Emerainville (Seine-et-Marne), Etampes (Essonne), Dole dans le Jura, Orange dans le Vaucluse, Venelles (Bouches du Rhône) et Toulouse en Haute-Garonne.
De quoi relancer le débat sur la dangerosité du Taser. En novembre 2007, le Comité de l'ONU contre la torture avait estimé que l'utilisation du pistolet à impulsions électriques constituait «une forme de torture» et «pouvait même provoquer la mort».
Sa. C.
Cette arme, dite de neutralisation, équipe déjà la police nationale et la gendarmerie depuis plusieurs mois. Selon «Le Parisien», il y en aurait 3.800 en circulation.
Onze communes en ont déjà fait la demande, affirme le journal: il sagit de Hem (Nord), Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), Le Raincy (Seine-Saint-Denis), Claye-Souilly, Emerainville (Seine-et-Marne), Etampes (Essonne), Dole dans le Jura, Orange dans le Vaucluse, Venelles (Bouches du Rhône) et Toulouse en Haute-Garonne.
De quoi relancer le débat sur la dangerosité du Taser. En novembre 2007, le Comité de l'ONU contre la torture avait estimé que l'utilisation du pistolet à impulsions électriques constituait «une forme de torture» et «pouvait même provoquer la mort».
Sa. C.