Les sexygenaires

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Esperluette
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Apparemment... c'est ce que j ai cru comprendre aussi ! Je pense que c'est dû à la concentration de certaines communautés dans certains quartiers... les juifs du 2 ème arrondissement ... les auvergnats du 11 ème... enfin j imagine !!!!
Cela peut être une bonne explication. J'avais peut être pensé que les différents accents étaient dû peut être selon l'origine sociale : un langage ouvrier à Belleville et l'est parisien et un peu bourgeois dans l'ouest et plus populaire dans le centre avec le titi parisien
Mais ton explication est crédible. Les communautés ouvrières venaient des mêmes régions avec une migration provinciale (forgerons d'Auvergne ?) peut être que les accents viennent de là
 
Cela peut être une bonne explication. J'avais peut être pensé que les différents accents étaient dû peut être selon l'origine sociale : un langage ouvrier à Belleville et l'est parisien et un peu bourgeois dans l'ouest et plus populaire dans le centre avec le titi parisien
Mais ton explication est crédible. Les communautés ouvrières venaient des mêmes régions avec une migration provinciale (forgerons d'Auvergne ?) peut être que les accents viennent de là
Aussi oui bien-sûr ! Et comme tu dis souvent le rang social est lié à l origine ... encore plus à cet époque ! À mon avis les deux angles de lecture se rejoingnent ...
 
Aussi oui bien-sûr ! Et comme tu dis souvent le rang social est lié à l origine ... encore plus à cet époque ! À mon avis les deux angles de lecture se rejoingnent ...
Je ne sais pas si les auvergnats qui étaient sans doute la communauté provinciale la +nombreuse étaient considérés comme intégré et donc représentant un certain accent parisien ou au contraire considéré toujours comme des provinciaux. Je dirai plutôt la 2eme hypothèse vu le terme de bougnat très présent pour les décrire.
 
Je ne sais pas si les auvergnats qui étaient sans doute la communauté provinciale la +nombreuse étaient considérés comme intégré et donc représentant un certain accent parisien ou au contraire considéré toujours comme des provinciaux. Je dirai plutôt la 2eme hypothèse vu le terme de bougnat très présent pour les décrire.
Alors là aucune idée ma grande ... comme toi je découvre le sujet :D va falloir que je me documente dessus ! mais j ai déjà entendu patler de la réussite auvergnate à paris ... ils s en sont plutot bien sorti je pense :D
 
Alors là aucune idée ma grande ... comme toi je découvre le sujet :D va falloir que je me documente dessus ! mais j ai déjà entendu patler de la réussite auvergnate à paris ... ils s en sont plutot bien sorti je pense :D
Je connais pas grand chose. Mais dans mon école, il y a des photos et des images anciennes et il y en une immense d'un bar avec pleins d'ouvriers devant et sur l'enseigne il y a écrit "café-bougnat". Du coup le documentaliste m'a un peu expliqué leur histoire que je connaissais pas du tout !
 
Le Chant des partisans

Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne

Ohé, partisans, ouvriers et paysans c'est l'alarme
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes.

Montez de la mine, descendez des collines, camarades,
Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades,

Ohé, les tueurs, à vos armes et vos couteaux, tirez vite,
Ohé, saboteurs, attention à ton fardeau, dynamite.

C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères
La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère.

II y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves
Ici, nous, vois-tu, nous on marche, nous on tue ou on crève.

Ici, chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l'ombre à ta place.

Demain du sang noir séchera au grand soleil sur nos routes
Chantez, compagnons, dans la nuit la liberté nous écoute.

Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne
Ami, entends-tu le vol noir du corbeau sur la plaine.

Le Chant des partisans, ou Chant de la libération, est l’hymne de la Résistance française durant l’occupation par l’Allemagne nazie, pendant la Seconde Guerre mondiale. La musique, initialement composée en 1941 sur un texte russe, est due à la Française Anna Marly, ancienne émigrée russe qui en 1940 avait quitté la France pour Londres.

Le 17 mai 1943, la mélodie, sifflée, devient l'indicatif d'une émission de la France libre diffusée par la BBC. Les paroles en français sont écrites le 30 mai 1943 par Joseph Kessel, également d’origine russe, et son neveu Maurice Druon qui venaient tous deux de rejoindre les Forces françaises libres. Germaine Sablon, alors compagne de Kessel, en sera la créatrice en l'interprétant dès le lendemain dans le film de propagande Three Songs about Resistance.

Le manuscrit original, apporté clandestinement en France en juillet 1943, est classé monument historique.

 
Par les temps qui courent, il va peut-être falloir investir dans une crécelle

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Instrument dont se servaient les lépreux, au Moyen-Âge, pour annoncer leur approche. Instrument de musique dans lequel des lames, en bois ou en métal, sont mises en vibration par les dents d'une roue autour de laquelle elles tournent.

 
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