L'éthique de l'humour

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Ebion
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Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da quebrada
VIB
Bonjour :timide:

Voilà, en raison des récents événements en France, je lance cette discussion, que j'espère pacifique.

Quels sont les rapports entre humour et éthique?

Qu'est-ce qui donne le droit en principe de rire de quelque chose ou de quelqu'un? Et jusqu'où s'étend ce droit?

À l'inverse, dans quelles circonstances une personne ou une idée (comme un symbole) doivent-elles être prises au sérieux et ne doivent pas être ridiculisées?

Ceux qui sont offensés par des blagues peuvent-ils demander réparation? Dans quelles circonstances?

L'humour, même celui qui offense, peut-il se justifier et même être encouragé par des arguments politiques ou pédagogiques? Si oui, dans quels cas?
 
On peut même élargir la discussion.

Qu'est-ce qui rend quelque chose ou quelqu'un ridicule? Selon quels critères? Et qui décide de cela?
 
Sujet très intéressant !

Je reviendrai casser l’ambiance avec mes théories sur le rire (donc la conséquence de l’humour) et ce qu’il traduit.

Gros bisous @Ebion !
 
Bonjour :timide:

Voilà, en raison des récents événements en France, je lance cette discussion, que j'espère pacifique.

Quels sont les rapports entre humour et éthique?

Qu'est-ce qui donne le droit en principe de rire de quelque chose ou de quelqu'un? Et jusqu'où s'étend ce droit?

À l'inverse, dans quelles circonstances une personne ou une idée (comme un symbole) doivent-elles être prises au sérieux et ne doivent pas être ridiculisées?

Ceux qui sont offensés par des blagues peuvent-ils demander réparation? Dans quelles circonstances?

L'humour, même celui qui offense, peut-il se justifier et même être encouragé par des arguments politiques ou pédagogiques? Si oui, dans quels cas?

J'espère que tu essayeras une réponse @Ebion :cool:
 
D'après moi, un effet comique repose sur un déséquilibre entre les prétentions d'une personne et les moyens qu'elle prend pour cela.

Une personne peut vouloir imposer le respect ou être admirée, mais si elle est moins forte ou moins intelligente que les autres, sa prétention tombe à plat, et il y aura une possibilité de ridicule.

Ou encore un petit chef peut vouloir être craint et obéi, mais si les gens ne le prennent pas au sérieux, cela devient ridicule. Alors que si la même personne s'était contentée d'être humble et sans éclat, il y aurait pas eu ce ridicule.

Ou encore un « illuminé » dit qu'il a reçu un message de Dieu, mais son message est en contradiction avec ce qu'on connaît de la réalité (de l'univers, de l'histoire...). Un sceptique peut trouver cela ridicule.

Mais si une simple personne sans prétention avait dit une fausseté, il y aurait pas eu ce ridicule, ou à peine.
 
Il y a aussi un effet possible de ridicule quand on s'écarte d'une norme sociale.

Mais pas n'importe quelle norme sociale.

Parfois, quand on enfreint une norme, on suscite plutôt l'indignation, la colère, le mépris ou la répugnance.

Mais dans certains cas, on suscite le rire, voire le ricanement.

Parfois c'est une question de perspective. Certaines personnes seront indignées, alors que d'autres riront.

Par exemple c'est le cas de l'humour noir.

En fait ma pensée n'est pas très approfondie à ce sujet.

Toutefois, dès qu'il s'agit de norme, il y a des questions qui se posent : sur quoi se fonde une telle norme? Comment a-t-elle été établie et par qui? Et qui a intérêt à la maintenir? Et qui a intérêt à la contester? Et comment se maintient-elle, par quels procédés?
 
On sait que la bêtise peut faire rire.

Mais qu'est-ce que la bêtise au fait? On la reconnaît facilement, on peut en donner des exemples concrets, mais comment la définir et la caractériser? Et d'où nous vient notre idée de la bêtise? D'ailleurs, combien d'idées de la bêtise existe-t-il?
 
Selon une formule, « on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde ».

Je suis pas d'accord. Peut-être qu'il existe des imbéciles pour rire des choses les plus malséantes, mais ça veut pas dire qu'on a le droit d'en parler.

Que penserait-on de ceux qui plaisanteraient sur le viol, l'inceste, les meurtres en série, les femmes battues ou le génocide? Ou bien rire de groupes comme les Noirs, les homos, les personnes avec le syndrome de Down ou d'autres?

Ce qui fait problème plus précisément, c'est le rapport entre l'humour et la catégorie du « sacré », donc les symboles religieux ou les personnages religieux.

Je me demande sérieusement si une société peut se maintenir sans sacré, sans symboles ou valeurs ou points de repères jugés sacrés.

Qu'on critique certaines formes du sacré, cela est peut-être concevable si on adhère à d'autres formes de sacré, peut-être même antagoniques. Par exemple l'Ancien Testament ridiculise de façon un peu lourde les religions païennes. Mais peut-on argumenter sur ce qui est sacré?

À l'époque moderne, en Occident, la tendance a été de transférer le réceptacle du sacré des symboles religieux vers les êtres humains et leurs droits. Dans certains cas, on peut dire aussi que ce sacré a été transféré vers l'État, vers la Nation ou vers des idéaux politiques, comme le Parti, la Révolution, voire la « Race » (chez les nazis). Pour les croyants, cela est de l'idolâtrie.

Ce processus de désacralisation du Ciel a pris des siècles et a connu des turbulences (comme les luttes entre l'Église et les républicains). Et maintenant on se retrouve en contact avec des groupes et peuples qui ont parcouru une trajectoire très différente, et qui résistent à l'occidentalisation.

J'ai pas de réponse en fait. On est face à un choc de valeurs, et chacun les hiérarchise selon son jugement. La question : comment trouver un consensus, se donner des règles communes pour coexister sans s'entre-déchirer?
 
Ce qui est clair, c'est que des gens, des groupes, seront insatisfaits, quelles que soient les règles qu'on établit.
 
On peut rire de choix que font des personnes, mais non de conditions immuables, congénitales ou immuables, car cela attenterait à la dignité humaine.

Par exemple : un handicap. L'orientation sexuelle. La couleur de la peau. La langue maternelle. L'origine ethnique.

Par contre on trouve acceptable de rire des péripéties des vedettes ou des politiciens, du moins quand ils gaffent. Ce rire a aussi une fonction consistant à égaliser nos conditions (celle du petit peuple par rapport à celle des grands).

Mais même alors il y a des limites à s'acharner sur les vedettes.
 
Les convictions religieuses des gens sont particulières.

Ce sont des choix, c'est pas une fatalité ou une nécessité.

Mais ce sont pas des choix superficiels ou légers : ils sont ancrés dans l'identité et l'estime de soi des personnes. Et dans leur relation au sacré, aux préoccupations ultimes.

Et donc il y a une question éthique : jusqu'où aller dans l'humour?
 
Bonjour :timide:

Voilà, en raison des récents événements en France, je lance cette discussion, que j'espère pacifique.

Quels sont les rapports entre humour et éthique?

Qu'est-ce qui donne le droit en principe de rire de quelque chose ou de quelqu'un? Et jusqu'où s'étend ce droit?

À l'inverse, dans quelles circonstances une personne ou une idée (comme un symbole) doivent-elles être prises au sérieux et ne doivent pas être ridiculisées?

Ceux qui sont offensés par des blagues peuvent-ils demander réparation? Dans quelles circonstances?

L'humour, même celui qui offense, peut-il se justifier et même être encouragé par des arguments politiques ou pédagogiques? Si oui, dans quels cas?
Bonjour :timide:

Voilà, en raison des récents événements en France, je lance cette discussion, que j'espère pacifique.

Quels sont les rapports entre humour et éthique?

Qu'est-ce qui donne le droit en principe de rire de quelque chose ou de quelqu'un? Et jusqu'où s'étend ce droit?

À l'inverse, dans quelles circonstances une personne ou une idée (comme un symbole) doivent-elles être prises au sérieux et ne doivent pas être ridiculisées?

Ceux qui sont offensés par des blagues peuvent-ils demander réparation? Dans quelles circonstances?

L'humour, même celui qui offense, peut-il se justifier et même être encouragé par des arguments politiques ou pédagogiques? Si oui, dans quels cas?

un humour qui consiste à amplifier un ou des défauts perçue par l'auteur, que ce soit verbal ou en dessin.

forcement qu'un ou quelque chose est visé, c'est obligatoire, et celui qui met une ligne rouge peut se transformer en dictateur, pour des banalités c'est le danger à éviter, on emprisonne ou tue sans que la personne puisse se défendre, pas d'avocat pour se défendre non plus, voila pourquoi la france ne veut pas d'un pouvoir religieux étatique. l'expérience du passé avec le monde catholique est encore dans les mémoires, l'Iran donne une idée, c'est pire que le temps des rois
 
Autre angle de vue l'instrumentalisation du droit à l'humour, de la caricature, de la libre expression pour banaliser le mépris, la dépréciation et la sous valorisation, qui s'inscrivent en stéréotypes fondés sur des marqueurs (barbes, voiles, etc..) et dans une stratégie à long terme, avec des émetteurs, des relais, des textes de loi, des partis porteurs d'une idéologie suprématiste.
 
Ceux qui sont offensés par des blagues peuvent-ils demander réparation? Dans quelles circonstances?

En France le délit de blasphème n'existe pas, ce qui donne vers une porte ouverte vers l'offense de valeurs defendues par un grand nombre de personnes. Ces personnes sont des victimes car il n'y a aucune loi qui peut les protéger.
 
Salam Ebionino

Depuis l'enfance la société cherche une tête de "turc" et malheureusement certains suivront en usant de raillerie soit dans un sentiment d'appartenance ou simplement pour éviter que l'attention ne soi porté sur soi, on suit...

Peut être que certains confondent humour et sarcasme. Et c'est valable chez toute un chacun.

Prend l'exemple du harcèlement scolaire ou au travail, le groupe ne fait que rire voyons, rire qui mène au suicide de l'enfant ou du travailleur à force de persécution morale. Un jour le vase déborde et tu peux avoir des drames divers suite à un pétage de plomb.

Le respect de son prochain n'a plus un sens aussi fort qu'auparavant, on n'occulte peut être une certaine sensibilité.

Une personne qui humilie une autre de manière récurrente si à son tour elle est humilié c'est peut être une forme de miroir pour la mettre en face de ce que cette personne fait subir, mais l'harceler quotidiennement et la racketter verbalement pour la forcer à adhérer au point de vue du bourreau, je ne pense pas qu'une société saine puisse fonctionner de cette manière.
 
En France le délit de blasphème n'existe pas, ce qui donne vers une porte ouverte vers l'offense de valeurs defendues par un grand nombre de personnes. Ces personnes sont des victimes car il n'y a aucune loi qui peut les protéger.

Bonjour :joueur:

Mais que signifie « protéger » dans ce cas? Faut-il « protéger » des idées comme le sont des croyances religieuses, et comment justifier cela?

Que certains se moquent de religions, cela ne veut pas dire que les croyants seront attaqués physiquement ou qu'ils n'auront plus le droit de pratiquer leur religion, de se rassembler et d'en parler.

La liberté d'expression est une voie à double sens. Les croyants peuvent exprimer leur adhésion à leur religion et peuvent aussi critiquer les autres croyances. Et les non-croyants peuvent critiquer les croyances. Et cela inclut l'humour, bien que ce soit parfois de mauvais goût...

C'est bien naturel que les croyants se sentent offensés.

Mais la liberté d'expression n'existe pas pour que personne ne se sente jamais offensé. Au contraire, cela est inévitable.

Et c'est pas seulement un problème de religion d'ailleurs. Il y a des idées politiques que plusieurs trouvent offensantes aussi. Ou des idées sur l'économie. Ou des thèmes sociaux, comme la drogue, la maladie mentale, l'homosexualité, l'éducation, les rôles sexuels...

Cependant, il y a des cas où la liberté d'expression ne justifie pas les offenses qui sont faites, comme c'est le cas des discours haineux, racistes, des menaces, des apologies du terrorisme, ou encore de l'éloge de certaines perversions sexuelles.
 
Salam Ebionino

Depuis l'enfance la société cherche une tête de "turc" et malheureusement certains suivront en usant de raillerie soit dans un sentiment d'appartenance ou simplement pour éviter que l'attention ne soi porté sur soi, on suit...

Peut être que certains confondent humour et sarcasme. Et c'est valable chez toute un chacun.

Prend l'exemple du harcèlement scolaire ou au travail, le groupe ne fait que rire voyons, rire qui mène au suicide de l'enfant ou du travailleur à force de persécution morale. Un jour le vase déborde et tu peux avoir des drames divers suite à un pétage de plomb.

Le respect de son prochain n'a plus un sens aussi fort qu'auparavant, on n'occulte peut être une certaine sensibilité.

Une personne qui humilie une autre de manière récurrente si à son tour elle est humilié c'est peut être une forme de miroir pour la mettre en face de ce que cette personne fait subir, mais l'harceler quotidiennement et la racketter verbalement pour la forcer à adhérer au point de vue du bourreau, je ne pense pas qu'une société saine puisse fonctionner de cette manière.

Azul pieuse didadoune! :mignon:

Il faut avoir du courage pour se lever et prendre la défense de ceux qui sont ainsi stigmatisés : cela peut impliquer qu'on subisse soi-même des violences. Au moins on sera en paix avec sa conscience.

En ce moment les groupe de militants et les médias défendent plus que jamais des groupes marginalisés. Il y a une sensibilité qui n'existait pas avant. Souvent on se scandalise des propos ou des gestes de certaines célébrités à cet égard, je veux dire quand elles offensent des personnes marginalisées.

Mais il y a une contre-offensive, un « backlash », surtout sur Internet, où il y a des trolls haineux qui se déchaînent contre des personnes vulnérables ou qui se conforment pas aux anciens rôles sociaux. C'est très laid.
 
La liberté d'expression est une voie à double sens. Les croyants peuvent exprimer leur adhésion à leur religion et peuvent aussi critiquer les autres croyances. Et les non-croyants peuvent critiquer les croyances. Et cela inclut l'humour, bien que ce soit parfois de mauvais goût...

NON ! On peut critiquer une religion ou la pensée des religieux, leur interprétation, mais caricaturer par l'image qui en dit long dans la vulgarité c'est inadmissible. Si je caricature un nazi en train de faire un acte obscène ou autre chose avec une juive déportée, cela choquera certainement les juifs qui ont perdu dans les camps beaucoup d'être chers, et là il y aura aussi une réaction justifiée. Je pourrai dire que c'est ma liberté d'expression et que j'ai le droit de le faire, pourtant moralement je blesserai mon prochain gratuitement.
 
Cependant, il y a des cas où la liberté d'expression ne justifie pas les offenses qui sont faites, comme c'est le cas des discours haineux, racistes, des menaces, des apologies du terrorisme, ou encore de l'éloge de certaines perversions sexuelles.

C'est bien étrange qu'en France le délit de blasphème n'existe pas par conséquent pas puni.
 
Bonjour :timide:

Voilà, en raison des récents événements en France, je lance cette discussion, que j'espère pacifique.

Quels sont les rapports entre humour et éthique?

Qu'est-ce qui donne le droit en principe de rire de quelque chose ou de quelqu'un? Et jusqu'où s'étend ce droit?

À l'inverse, dans quelles circonstances une personne ou une idée (comme un symbole) doivent-elles être prises au sérieux et ne doivent pas être ridiculisées?

Ceux qui sont offensés par des blagues peuvent-ils demander réparation? Dans quelles circonstances?

L'humour, même celui qui offense, peut-il se justifier et même être encouragé par des arguments politiques ou pédagogiques? Si oui, dans quels cas?
faut pas faire rire les autres ils doivent rire d eux meme et faut pas qu il y a de financement ou de magouille dirriere
ce qui se passe france sont des magouilles d etat et d interet
 
NON ! On peut critiquer une religion ou la pensée des religieux, leur interprétation, mais caricaturer par l'image qui en dit long dans la vulgarité c'est inadmissible. Si je caricature un nazi en train de faire un acte obscène ou autre chose avec une juive déportée, cela choquera certainement les juifs qui ont perdu dans les camps beaucoup d'être chers, et là il y aura aussi une réaction justifiée. Je pourrai dire que c'est ma liberté d'expression et que j'ai le droit de le faire, pourtant moralement je blesserai mon prochain gratuitement.
si tout le monde etait au boulot on aurait pas le temps de perdre son temps avec tout ca
tout ces problemes viennent de l inactivité humaine
 
Salam Ebionino

Depuis l'enfance la société cherche une tête de "turc" et malheureusement certains suivront en usant de raillerie soit dans un sentiment d'appartenance ou simplement pour éviter que l'attention ne soi porté sur soi, on suit...

Peut être que certains confondent humour et sarcasme. Et c'est valable chez toute un chacun.

Prend l'exemple du harcèlement scolaire ou au travail, le groupe ne fait que rire voyons, rire qui mène au suicide de l'enfant ou du travailleur à force de persécution morale. Un jour le vase déborde et tu peux avoir des drames divers suite à un pétage de plomb.

Le respect de son prochain n'a plus un sens aussi fort qu'auparavant, on n'occulte peut être une certaine sensibilité.

Une personne qui humilie une autre de manière récurrente si à son tour elle est humilié c'est peut être une forme de miroir pour la mettre en face de ce que cette personne fait subir, mais l'harceler quotidiennement et la racketter verbalement pour la forcer à adhérer au point de vue du bourreau, je ne pense pas qu'une société saine puisse fonctionner de cette manière.
dadadoune fait attention a ce que tu dis tu peux etre attaqué pour racisme tu as dit " tete de turc"
on va demandé a maitre belgika ici present qui travail au barreaux de bruxelles
 
Bonjour :joueur:

Mais que signifie « protéger » dans ce cas? Faut-il « protéger » des idées comme le sont des croyances religieuses, et comment justifier cela?

Que certains se moquent de religions, cela ne veut pas dire que les croyants seront attaqués physiquement ou qu'ils n'auront plus le droit de pratiquer leur religion, de se rassembler et d'en parler.

La liberté d'expression est une voie à double sens. Les croyants peuvent exprimer leur adhésion à leur religion et peuvent aussi critiquer les autres croyances. Et les non-croyants peuvent critiquer les croyances. Et cela inclut l'humour, bien que ce soit parfois de mauvais goût...

C'est bien naturel que les croyants se sentent offensés.

Mais la liberté d'expression n'existe pas pour que personne ne se sente jamais offensé. Au contraire, cela est inévitable.

Et c'est pas seulement un problème de religion d'ailleurs. Il y a des idées politiques que plusieurs trouvent offensantes aussi. Ou des idées sur l'économie. Ou des thèmes sociaux, comme la drogue, la maladie mentale, l'homosexualité, l'éducation, les rôles sexuels...

Cependant, il y a des cas où la liberté d'expression ne justifie pas les offenses qui sont faites, comme c'est le cas des discours haineux, racistes, des menaces, des apologies du terrorisme, ou encore de l'éloge de certaines perversions sexuelles.
les religions monotheiste vont etre supprimés
ils vont dire soyez libre ne pratiqué aucune religion si vous voulez beneficié
de la protection de l etat
tout ces problemes c est l etat qui derrière
le peuple lui en general il s en fou du moment qui la du pain et des jeux
faut les deux pied gauche pied droit
 
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