Vous connaissez tous cette histoire... Les regards du patron, de la vendeuse, de la caissière.. surtout pour les boutique d'un certain standing (ou supposé standing). Parfois c'est même le vigile qui vous a constamment à l'oeil, et pas forcément discrètement.
Cela a bien changé depuis quelques années, et en période de crise on est bien accueilli partout... Mais là ça dépasse les bornes...
Voici donc l'histoire :
Non, je n'avais pas oublié son anniversaire, mais j'aime bien faire les choses au dernier moment. Et le dernier moment c'était dimanche à 23h59... Il était donc 22h, donc presque le dernier moment, et à cette heure ci il n'y a pas trop le choix.. Me voici donc sur les champs élysées, à la boutique Sephora.
Il pleut et je suis en t-shirt.. mais je m'en fous je suis en voiture. J'ai la tête dans le c... aussi, étant sorti du lit à 18h (mais ça c'est une autre histoire).
Je rentre donc dans la boutique, et j'ai vu tellement de belles pubs de parfum que je ne sais lequel prendre.. Il va falloir tester...
Heureusement les vendeuses se sont précipité pour m'aider... et me faire découvrir un tas de parfum l'une après l'autre.
A peine arrivais-je à me débarrasser d'une vendeuse que je me faisait rattraper par une autre au stand suivant.
Le genre de truc qui ne t'arrivent que quand tu es un touriste dans un pays en voie de développement
Même à la caisse, alors que je faisais la queue, on m'en a sorti pour me diriger vers une caisse qui venait d'ouvrir... pour moi !
Le regard sur les maghrébins a t il changé ? On est en droit de se poser la question.
Je me pose par ailleurs une autre question... Pourquoi me parlaient-elles toutes en anglais ? J'aurais peut-être du le leur demander, mais j'étais un peu trop fatigué pour parler