salamolaikom
je ne suis pas nouveau sur ce site,je ne vais pas dévoila ma personnalité,mon français est nul,désolé pour les démagogues,mais je serais toujours trouver les mots pour dire ce que je veux dire.je vais aussi changer tout les noms,les personnes ,les villes,peut être que je garderais le nom des pays,Maroc,France,Belgique,pay s-bas,Turquie...ce n'est pas très intelligent de savoir qui je suis,mais c'est vraiment important pour moi de le dire.
cette histoire a toujours était imprévisible, moi même qui a vécu tout ça je n'arrive pas a trouver le sens de ces faits,ce clandestin qui va traverser 3 pays ,deux jours et demi de train,3000 km,la peur dans le ventre a chaque point douane,dans les gares ,dans les métros de Lille,dans les bus de Leiden ou les trams d'Amsterdam ,tout cela n'est ni pour un passeport ni pour 50.000 euros,ni pour devenir riche ou même rechercher un autre eldorado, tout cela pour savoir la vérité,et rien que la vérité.
elle,je vais l'appeler ici sahra,qui veux dire en arabe "désert",comme dans mon rêve le plus fou de ma vie,un homme blanc habiller en Jelabba blanche,dans un désert immense,a pieds nu ,je n'ai pas réussi a voir son visage,il était grand ,fort mais serin,on dirait qu'il était sur de ses pas,il marchais ni lentement,ni rapidement,juste a ma vitesse que je puisse le suivre.dans ce désert ou rien n'est autour,de temps a autre on vois apparaitre quelques arbres qui résistent a cette immense monde,la mort et si proche que la peur ne veux plus rien dire.il marchait sans arrêt,je suivais ses pas comme si c'était ma boussole dans une mer qui vas s'agiter soudainement,je le fixais avec mes yeux,de peur de le perdre de vue.
a ce moment je vivais encore a Casablanca,avec mes parents dans un quartier populaire,il y avait deux deux mondes,celui de la journée et celui d'après 8 h du soir.les rues étouffés par la poussière,c'était au mois de avril 1999,le soleil commençait déjà a taper fort a cette période de l'année,en tout cas pour les surfeurs du spot 23 commençais déjà a enlever leurs combinaisons,l'intensité de la lumière me poussais a fermer un peu mes yeux,ma mère me disais que je fessais la tête souvent avec ce visage
je ne suis pas nouveau sur ce site,je ne vais pas dévoila ma personnalité,mon français est nul,désolé pour les démagogues,mais je serais toujours trouver les mots pour dire ce que je veux dire.je vais aussi changer tout les noms,les personnes ,les villes,peut être que je garderais le nom des pays,Maroc,France,Belgique,pay s-bas,Turquie...ce n'est pas très intelligent de savoir qui je suis,mais c'est vraiment important pour moi de le dire.
cette histoire a toujours était imprévisible, moi même qui a vécu tout ça je n'arrive pas a trouver le sens de ces faits,ce clandestin qui va traverser 3 pays ,deux jours et demi de train,3000 km,la peur dans le ventre a chaque point douane,dans les gares ,dans les métros de Lille,dans les bus de Leiden ou les trams d'Amsterdam ,tout cela n'est ni pour un passeport ni pour 50.000 euros,ni pour devenir riche ou même rechercher un autre eldorado, tout cela pour savoir la vérité,et rien que la vérité.
elle,je vais l'appeler ici sahra,qui veux dire en arabe "désert",comme dans mon rêve le plus fou de ma vie,un homme blanc habiller en Jelabba blanche,dans un désert immense,a pieds nu ,je n'ai pas réussi a voir son visage,il était grand ,fort mais serin,on dirait qu'il était sur de ses pas,il marchais ni lentement,ni rapidement,juste a ma vitesse que je puisse le suivre.dans ce désert ou rien n'est autour,de temps a autre on vois apparaitre quelques arbres qui résistent a cette immense monde,la mort et si proche que la peur ne veux plus rien dire.il marchait sans arrêt,je suivais ses pas comme si c'était ma boussole dans une mer qui vas s'agiter soudainement,je le fixais avec mes yeux,de peur de le perdre de vue.
a ce moment je vivais encore a Casablanca,avec mes parents dans un quartier populaire,il y avait deux deux mondes,celui de la journée et celui d'après 8 h du soir.les rues étouffés par la poussière,c'était au mois de avril 1999,le soleil commençait déjà a taper fort a cette période de l'année,en tout cas pour les surfeurs du spot 23 commençais déjà a enlever leurs combinaisons,l'intensité de la lumière me poussais a fermer un peu mes yeux,ma mère me disais que je fessais la tête souvent avec ce visage