salam
LE SCAN POLITIQUE - La candidate à la primaire de la droite, qui s'oppose à l'ouverture de nouvelles mosquées, demande aux musulmans «d'agir».
Nadine Morano est vent debout contre les représentants du culte musulman. Si la candidate à la primaire de la droite, «prend acte des paroles de compassion» des responsables de l'islam de France, elle estime que ces mots «ne suffisent plus». Sur Facebook, l'ancienne ministre estime que «l'islam pose un grave problème en France». «Pourquoi le nier?», s'interroge-t-elle. C'est «le défaut d'organisation du culte (qui) permet aux terroristes de tuer en son nom», ajoute l'eurodéputée.
Elle liste les griefs: imams sans formation, mosquées salafistes qui «prospèrent», «prêches anti-France et anti-républicains totalement hors de contrôle, soumission de la femme et polygamie tolérées, enseignement aux enfants «du mépris de notre culture et de la musique», financements par «des pays islamistes pour ouvrir des mosquées»... «Les responsables musulmans ne peuvent plus se dédouaner de leurs responsabilités», avance Nadine Morano.
LE SCAN POLITIQUE - La candidate à la primaire de la droite, qui s'oppose à l'ouverture de nouvelles mosquées, demande aux musulmans «d'agir».
Nadine Morano est vent debout contre les représentants du culte musulman. Si la candidate à la primaire de la droite, «prend acte des paroles de compassion» des responsables de l'islam de France, elle estime que ces mots «ne suffisent plus». Sur Facebook, l'ancienne ministre estime que «l'islam pose un grave problème en France». «Pourquoi le nier?», s'interroge-t-elle. C'est «le défaut d'organisation du culte (qui) permet aux terroristes de tuer en son nom», ajoute l'eurodéputée.
Elle liste les griefs: imams sans formation, mosquées salafistes qui «prospèrent», «prêches anti-France et anti-républicains totalement hors de contrôle, soumission de la femme et polygamie tolérées, enseignement aux enfants «du mépris de notre culture et de la musique», financements par «des pays islamistes pour ouvrir des mosquées»... «Les responsables musulmans ne peuvent plus se dédouaner de leurs responsabilités», avance Nadine Morano.