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Si il savait combien le l'avocat ne veut pas de lui.non plus ..
Tunisie 11 millions d'habitants sur 165000 km2
Algerie 43 millions, le Maroc 39millions... edt ce vraiment leur avis qui va peser sur k'avenig d un grand Maghreb ? Encore moins l'avis d un parti
L'Algérie n'a pas attendu la France pour exister. Au maghreb, il y a toujours eu trois entités.L'Algérie fut crée par la France après une longue période de domination turque ottomane.
Mdrrrr mais par définition y a rien de plus au gherb que.... le Maroc non ?On peut comprendre l'hostilité du partie islamiste tunisien envers la monarchie du Maroc qui ne les soutien pas,
mais aller jusqu'à vouloir écarter le Peuple marocain qui a toujours été au cœur de l'histoire du Maghreb
pour ne pas dire un peuple qui a fait l'histoire du Maghreb, c'est tout de même une position extrême et
incompréhensible
Tunisie : Ghannouchi veut un Maghreb sans le Maroc et la Mauritanie
Le chef du Parti Ennahda et président du Parlement tunisien ne se prive pas d’étaler publiquement sa proximité avec l’Algérie. Il en a apporté une nouvelle preuve à l’occasion d’une interview accordée, mardi, à la Radio Diwan FM, en plaidant pour un Maghreb à trois, composé uniquement de l’Algérie, la Tunisie et la Libye.
«Ce noyau doit être le point de départ de la relance du rêve de l’Union du Maghreb Arabe, qui contribuera à résoudre les problèmes de la Tunisie dans un cadre régional», a-t-il souligné. Ghannouchi a confié qu’il souhaite que ce «noyau» réalise de grands projets, tels «l'ouverture des frontières entre les trois pays et l'unification de la monnaie car l'avenir de ces pays du Maghreb est commun». Le président d’Ennahda a, par ailleurs, qualifié ses relations avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune d’«excellentes».
La proximité entre le voisin de l’Est et le chef d’Ennahda a été scellée lors des visites qu’il a effectuées à Alger en 2013, 2014, 2016 et 2017 où il a été accueilli avec les honneurs dus à un chef d'Etat et reçu par l’ancien président Abdelaziz Bouteflika. Une alliance qui dure encore malgré le changement de locataire au Palais d'Al Mouradia.
Suites aux sorties de l’ancien président tunisien, Moncef Marzouki, accusant l’Algérie d’avoir avorté la révolution du jasmin, la direction d’Ennahda avait salué dans un communiqué «les positions algériennes en appui à la Tunisie, particulièrement à l'expérience démocratique émergente dans le pays, et les efforts des deux pays pour consolider la coopération entre eux, notamment dans le domaine économique, la lutte contre le terrorisme et faire face à la pandémie du Covid-19».
Ne dis pas cela, il risque de nous forcer à changer de nom.Mdrrrr mais par définition y a rien de plus au gherb que.... le Maroc non ?
Faudra pas oublier de changer le nom "Maghreb" une fois le Maroc exclu
Mdrrrr mais par définition y a rien de plus au gherb que.... le Maroc non ?
Faudra pas oublier de changer le nom "Maghreb" une fois le Maroc exclu
HahahaAlgérie + Tunisie, je me demande ce que ça va donner
..... réflexion faite , ça ne va rien donner
On peut comprendre l'hostilité du partie islamiste tunisien envers la monarchie du Maroc qui ne les soutien pas,
mais aller jusqu'à vouloir écarter le Peuple marocain qui a toujours été au cœur de l'histoire du Maghreb
pour ne pas dire un peuple qui a fait l'histoire du Maghreb, c'est tout de même une position extrême et
incompréhensible
Tunisie : Ghannouchi veut un Maghreb sans le Maroc et la Mauritanie
Le chef du Parti Ennahda et président du Parlement tunisien ne se prive pas d’étaler publiquement sa proximité avec l’Algérie. Il en a apporté une nouvelle preuve à l’occasion d’une interview accordée, mardi, à la Radio Diwan FM, en plaidant pour un Maghreb à trois, composé uniquement de l’Algérie, la Tunisie et la Libye.
«Ce noyau doit être le point de départ de la relance du rêve de l’Union du Maghreb Arabe, qui contribuera à résoudre les problèmes de la Tunisie dans un cadre régional», a-t-il souligné. Ghannouchi a confié qu’il souhaite que ce «noyau» réalise de grands projets, tels «l'ouverture des frontières entre les trois pays et l'unification de la monnaie car l'avenir de ces pays du Maghreb est commun». Le président d’Ennahda a, par ailleurs, qualifié ses relations avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune d’«excellentes».
La proximité entre le voisin de l’Est et le chef d’Ennahda a été scellée lors des visites qu’il a effectuées à Alger en 2013, 2014, 2016 et 2017 où il a été accueilli avec les honneurs dus à un chef d'Etat et reçu par l’ancien président Abdelaziz Bouteflika. Une alliance qui dure encore malgré le changement de locataire au Palais d'Al Mouradia.
Suites aux sorties de l’ancien président tunisien, Moncef Marzouki, accusant l’Algérie d’avoir avorté la révolution du jasmin, la direction d’Ennahda avait salué dans un communiqué «les positions algériennes en appui à la Tunisie, particulièrement à l'expérience démocratique émergente dans le pays, et les efforts des deux pays pour consolider la coopération entre eux, notamment dans le domaine économique, la lutte contre le terrorisme et faire face à la pandémie du Covid-19».