Pour la Journée internationale du jazz, le 30 avril, des concerts, des masterclasses et des ateliers ont lieu dans 190 pays à travers le monde. L'UNESCO se joint à cette célébration mondiale, aux côtés de l'Ambassadeur de bonne volonté Herbie Hancock et de l'Artiste pour la paix Marcus Miller.
Pour Marcus Miller, Artiste de l'UNESCO pour la paix, le jazz est bien plus qu'un simple genre musical. « C’est une magnifique manière de tisser des liens avec d’autres cultures. Aucun mot ne vient faire obstacle. »
Né dans la ville diverse de La Nouvelle-Orléans au début du XXᵉ siècle, le jazz puise ses racines dans le blues, le ragtime et les musiques traditionnelles africaines. Avec ses rythmes entraînants et son accent mis sur l’improvisation, il est rapidement devenu une plateforme permettant aux artistes de s'exprimer pour la liberté et l’égalité, et de lutter contre le racisme et la discrimination.
À mesure que le jazz gagnait en popularité aux États-Unis et dans le monde entier, il intégrait différentes influences, venues d’Amérique latine, d’Afrique du Nord et d’ailleurs. Il est devenu un dialogue ouvert entre instruments, cultures et communautés, auquel chaque personne apporter ce que Miller appelle « sa saveur personnelle ».
Jazz célèbre l'individualité. Le jazz est une plateforme ouverte. Il apprend aux gens à célébrer leur individualité, mais il leur montre aussi comment faire fonctionner cette individualité au sein d'un groupe.
Marcus Miller
Ce pouvoir unique du jazz - en tant que langage universel de liberté et de créativité - a conduit l'UNESCO à déclarer le 30 avril Journée internationale du jazz en 2011, à l'initiative de la légende de la musique Herbie Hancock. Le lauréat de 14 Grammy Awards et ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO a été un partenaire inébranlable, soutenant les célébrations à travers le Herbie Hancock Institute of Jazz.
Le jazz a toujours eu pour vocation de rassembler les gens, de briser les barrières et d'inspirer la créativité à travers les cultures. La Journée internationale du jazz nous rappelle que la musique a le pouvoir de transcender les frontières, de favoriser le dialogue et de susciter la joie et l'espoir.
Herbie Hancock, ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO
Pour marquer cette journée chaque année, l'UNESCO soutient des spectacles, des festivals et des initiatives éducatives. L'année 2025 ne fait pas exception, avec des milliers d'événements prévus dans plus de 190 pays, allant de représentations intimes à des concerts de grande envergure dans des centres culturels de premier plan.
Nombre d'entre eux auront lieu à Abou Dabi, aux Émirats arabes unis, ville créative de l'UNESCO pour la musique. En tant que ville hôte mondiale cette année, Abou Dabi organise une célébration d'un mois pour mettre en valeur le « jazz arabe » - une tapisserie de traditions musicales, y compris des instruments classiques tels que l'oud, le qanun et le ney.
Des éducateurs, des institutions et des artistes organiseront des masterclasses, des jam sessions, des tables rondes et des ateliers éducatifs, reflétant ainsi l'impact profond du jazz en tant que force unificatrice. Comme le souligne Miller, « la musique est son propre langage, et tout le monde la comprend, tout le monde la ressent ».
Pour Marcus Miller, Artiste de l'UNESCO pour la paix, le jazz est bien plus qu'un simple genre musical. « C’est une magnifique manière de tisser des liens avec d’autres cultures. Aucun mot ne vient faire obstacle. »
Né dans la ville diverse de La Nouvelle-Orléans au début du XXᵉ siècle, le jazz puise ses racines dans le blues, le ragtime et les musiques traditionnelles africaines. Avec ses rythmes entraînants et son accent mis sur l’improvisation, il est rapidement devenu une plateforme permettant aux artistes de s'exprimer pour la liberté et l’égalité, et de lutter contre le racisme et la discrimination.
À mesure que le jazz gagnait en popularité aux États-Unis et dans le monde entier, il intégrait différentes influences, venues d’Amérique latine, d’Afrique du Nord et d’ailleurs. Il est devenu un dialogue ouvert entre instruments, cultures et communautés, auquel chaque personne apporter ce que Miller appelle « sa saveur personnelle ».
Jazz célèbre l'individualité. Le jazz est une plateforme ouverte. Il apprend aux gens à célébrer leur individualité, mais il leur montre aussi comment faire fonctionner cette individualité au sein d'un groupe.
Marcus Miller
Ce pouvoir unique du jazz - en tant que langage universel de liberté et de créativité - a conduit l'UNESCO à déclarer le 30 avril Journée internationale du jazz en 2011, à l'initiative de la légende de la musique Herbie Hancock. Le lauréat de 14 Grammy Awards et ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO a été un partenaire inébranlable, soutenant les célébrations à travers le Herbie Hancock Institute of Jazz.
Le jazz a toujours eu pour vocation de rassembler les gens, de briser les barrières et d'inspirer la créativité à travers les cultures. La Journée internationale du jazz nous rappelle que la musique a le pouvoir de transcender les frontières, de favoriser le dialogue et de susciter la joie et l'espoir.
Herbie Hancock, ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO
Pour marquer cette journée chaque année, l'UNESCO soutient des spectacles, des festivals et des initiatives éducatives. L'année 2025 ne fait pas exception, avec des milliers d'événements prévus dans plus de 190 pays, allant de représentations intimes à des concerts de grande envergure dans des centres culturels de premier plan.
Nombre d'entre eux auront lieu à Abou Dabi, aux Émirats arabes unis, ville créative de l'UNESCO pour la musique. En tant que ville hôte mondiale cette année, Abou Dabi organise une célébration d'un mois pour mettre en valeur le « jazz arabe » - une tapisserie de traditions musicales, y compris des instruments classiques tels que l'oud, le qanun et le ney.
Des éducateurs, des institutions et des artistes organiseront des masterclasses, des jam sessions, des tables rondes et des ateliers éducatifs, reflétant ainsi l'impact profond du jazz en tant que force unificatrice. Comme le souligne Miller, « la musique est son propre langage, et tout le monde la comprend, tout le monde la ressent ».