Malgré la crise, les crédits immobiliers demeurent en hausse

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion petitbijou
  • Date de début Date de début

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Malgré une plus grande prudence, les banques continuent de financer le secteur : 7,6% de hausse pour l’encours des crédits immobiliers à fin avril. L’habitat social booste l’activité.
credits immobiliers

Malgré une plus grande prudence adoptée par les établissements financiers et une orthodoxie bancaire de plus en plus stricte, à fin avril, l’encours des prêts immobiliers a atteint 211 milliards de DH, soit une hausse de 1,8% par rapport à décembre dernier et près de 7,6% sur un an. Seul bémol, les promoteurs (+2,5%) ont moins profité desdits crédits que les consommateurs (+10%). Il faut dire que les créances en souffrance affichent une hausse de 9,4% à fin avril. Toutefois, banquiers, promoteurs et particuliers sont au diapason dès lors que l’on évoque l’habitat social. Ce dernier booste l’ensemble de l’activité. Ce qui explique peut-être pourquoi, malgré une quantité astronomique d’invendus, doublée d’une situation macroéconomique inquiétante et d’une morosité ambiante, la croissance est au rendez-vous, même timidement. Conscients qu’il s’agit là d’un secteur traditionnel à fort potentiel, les organismes financiers ne craignent pas l’apparition d’une bulle immobilière, à l’instar de ce qui s’est passé chez le voisin ibérique.

http://www.lavieeco.com/news/econom...ts-immobiliers-demeurent-en-hausse-22676.html
 
Malgré une plus grande prudence, les banques continuent de financer le secteur : 7,6% de hausse pour l’encours des crédits immobiliers à fin avril. L’habitat social booste l’activité.
credits immobiliers

Malgré une plus grande prudence adoptée par les établissements financiers et une orthodoxie bancaire de plus en plus stricte, à fin avril, l’encours des prêts immobiliers a atteint 211 milliards de DH, soit une hausse de 1,8% par rapport à décembre dernier et près de 7,6% sur un an. Seul bémol, les promoteurs (+2,5%) ont moins profité desdits crédits que les consommateurs (+10%). Il faut dire que les créances en souffrance affichent une hausse de 9,4% à fin avril. Toutefois, banquiers, promoteurs et particuliers sont au diapason dès lors que l’on évoque l’habitat social. Ce dernier booste l’ensemble de l’activité. Ce qui explique peut-être pourquoi, malgré une quantité astronomique d’invendus, doublée d’une situation macroéconomique inquiétante et d’une morosité ambiante, la croissance est au rendez-vous, même timidement. Conscients qu’il s’agit là d’un secteur traditionnel à fort potentiel, les organismes financiers ne craignent pas l’apparition d’une bulle immobilière, à l’instar de ce qui s’est passé chez le voisin ibérique.

http://www.lavieeco.com/news/econom...ts-immobiliers-demeurent-en-hausse-22676.html

C'est la phrase à retenir, les pauvres et une partie de la classe moyenne, fait tourner l'économie avec du crédit sur 20 et 25 ans et en donnant des marges bénéficiaires de 20% au secteur immobilier et absorbe une bonne partie de l’épargne nationale.

***********************************

Il n'y a pas de bulle immobilière dans l'habitat économique ça c'est sûr, la demande est énorme, mais dans le standing et haut standing c'est autre chose... dans des patelins paumés à Nouacer, des appartements avec une finition bas de gamme sur des terrains acheté probablement à 20 ou 30 Dh/m2, fait par des ouvriers qui touchent 70 dh/j sont proposés à la vente à 8000DH/m2. Et on veut me faire croire que ce n'est pas une bulle immobilière ça !

Pareil à Sidi rahal, même si la finition est de meilleur facture du 800.000 DH un appartement de 100 m2, bati sur des terrains acheté à 30 dh/m2, même aprés aménagement ça ne doit pas dépasser les 60dh/m2.
 
C'est la phrase à retenir, les pauvres et une partie de la classe moyenne, fait tourner l'économie avec du crédit sur 20 et 25 ans et en donnant des marges bénéficiaires de 20% au secteur immobilier et absorbe une bonne partie de l’épargne nationale.

***********************************

Il n'y a pas de bulle immobilière dans l'habitat économique ça c'est sûr, la demande est énorme, mais dans le standing et haut standing c'est autre chose... dans des patelins paumés à Nouacer, des appartements avec une finition bas de gamme sur des terrains acheté probablement à 20 ou 30 Dh/m2, fait par des ouvriers qui touchent 70 dh/j sont proposés à la vente à 8000DH/m2. Et on veut me faire croire que ce n'est pas une bulle immobilière ça !

Pareil à Sidi rahal, même si la finition est de meilleur facture du 800.000 DH un appartement de 100 m2, bati sur des terrains acheté à 30 dh/m2, même aprés aménagement ça ne doit pas dépasser les 60dh/m2.

Il faut en finir avec les rumeurs qui génèrent l'attentisme entretenu à des fins "révoltigènes voir révolutionnaires", que la crise se creuse ..., que le chômage s'accentue ..., que le mécontentement diffuse ..., que les prix baissent bezez, que le noir disparaisse ..., que le fisc préampte et liquide ...., que les banques financent des opérations à l'étranger ou purement financières, boursicotent au lieu de soutenir l'immobilier ....

Si les marges étaient aussi importantes, il n'y aurait pas de crise, prix du terrain à 20 et 30 dh le m² ? C'est une belle blague ou l'auteur doit réaprendre à transformer um prix à l'hectare en m², même pas pour des moulkias non édificandi ou rurales ... Les prix des terrains couverts par un plan d'aménagement ont flambé....
De fortes marges si elles existent concernent uniquement les terrains des domaines publics, passés dans le domaine privé et acquis par des investisseurs à un bas prix, et qui s'alignent sur le prix du marché lors de la vente des apparts : Tamesna, zoo, quoique avec la crise des disponibilités, ils ont revu certains tarifs à la baisse .... S'il abaissent trop les prix, ils cassent ceux qui opèrent sans avantages ni privilèges ...
Enfin une bulle financière dans l'immobilier se définit d'une autre manière et avec les marocains qui achètent pour eux-mêmes après de longs marchandages et va et viens, non pour spéculer, il faudrait l'importer ...
 
Il faut en finir avec les rumeurs qui génèrent l'attentisme entretenu à des fins "révoltigènes voir révolutionnaires", que la crise se creuse ..., que le chômage s'accentue ..., que le mécontentement diffuse ..., que les prix baissent bezez, que le noir disparaisse ..., que le fisc préampte et liquide ...., que les banques financent des opérations à l'étranger ou purement financières, boursicotent au lieu de soutenir l'immobilier ....

Si les marges étaient aussi importantes, il n'y aurait pas de crise, prix du terrain à 20 et 30 dh le m² ? C'est une belle blague ou l'auteur doit réaprendre à transformer um prix à l'hectare en m², même pas pour des moulkias non édificandi ou rurales ... Les prix des terrains couverts par un plan d'aménagement ont flambé....
De fortes marges si elles existent concernent uniquement les terrains des domaines publics, passés dans le domaine privé et acquis par des investisseurs à un bas prix, et qui s'alignent sur le prix du marché lors de la vente des apparts : Tamesna, zoo, quoique avec la crise des disponibilités, ils ont revu certains tarifs à la baisse .... S'il abaissent trop les prix, ils cassent ceux qui opèrent sans avantages ni privilèges ...
Enfin une bulle financière dans l'immobilier se définit d'une autre manière et avec les marocains qui achètent pour eux-mêmes après de longs marchandages et va et viens, non pour spéculer, il faudrait l'importer ...


Voici du chiffre. Marge nette d’addoha en 2010 s’établit à 22.2%. Tu peux le vérifier par toi-même.
Il n’y a que les petits promoteurs immobiliers et les particuliers qui achètent des terrains aménagés, les grands promoteurs achètent des terrains sur le point d’être aménagé. Et quand ils achètent des terrains déjà aménagés c’est pour faire du haut standing.

Je l’ai bien dit des patelins paumés avec des vaches qui broutent à 100 mètres de chez-toi et à 25 minutes de Casablanca. Tu ne vas pas me dire que ça se vend à 500 dh/m2 ? Si tu achète des hectares à ce prix, je te l’annonce tu t’es fait avoir.

(4 Ha soit 40.000 m2 à 30Dh/m2 ça fait 12.000.000 DH) sur un terrain où on ne peut bâtir aujourd’hui mais qui sera bientôt aménagé.

Eh oui Mr, il y a de la spéculation, du crédit, la vente aux MRE et les étrangers qui n’habitent pas les logements qu’ils achètent (ça ne te rappelle pas l’Espagne ça ?)….etc, et la façon de voir s’il y a une bulle immobilière et voir la masse monétaire investit dans l’immobilier comparativement avec d’autres pays et comparativement au PIB. Je n’ai pas cette statistique sous la main, mais je suis sûr que ça doit être un chiffre effrayant.

ET comme je l’ai dit précédemment, les logements économiques ne sont pas concernés par la bulle immobilière même s’il y a là aussi de la spéculation la demande reste largement supérieur à l’offre actuellement donc la machine continue de tourner, mais dans le standing et le haut standing ça commence déjà à s’essouffler.
 
Retour
Haut